De sang et d'ébène

Par : Donna Leon
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  • Nombre de pages312
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7021-6518-8
  • EAN9782702165188
  • Date de parution19/09/2018
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille604 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCalmann-Lévy

Résumé

Venise, un soir d'hiver. Un vendeur à la sauvette africain est assassiné au beau milieu de Campo San Stefano. Un groupe de touristes américains était sur la place, marchandant des contrefaçons de sacs de marque, mais personne n'a rien vu qui puisse aider la police. Le commissaire Brunetti est chargé de l'enquête et il a du mal à comprendre les raisons d'un tel crime : les immigrants sans-papiers vivent repliés sur eux-mêmes dans des squats insalubres, sans contact extérieur.
Cela ressemble fort à un règlement de comptes au sein de la communauté et sa hiérarchie lui conseille de laisser tomber ses investigations. Mais Brunetti veut en avoir le cour net. Il fouille les quelques affaires de la victime et dans une petite boîte, il retrouve des diamants bruts dissimulés dans du sel. Qui était réellement cet immigrant ? Et comment s'est-il retrouvé en possession d'un tel trésor ? Et pourquoi cherche-t-on à décourager le commissaire dans son enquête ?« Magnifiquement ciselé, ce polar vénitien frôle la perfection.
»  Le Nouvel Observateur (à propos de Mortes-eaux)« Les saveurs vénitiennes de Donna Leon constituent un régal aussi dépaysant que délétère. »  Madame Figaro« Avec cet art bien à elle, tout en subtilité, de laisser affleurer dans les dialogues un ton de comédie amère, [.] »  Le Parisien
Venise, un soir d'hiver. Un vendeur à la sauvette africain est assassiné au beau milieu de Campo San Stefano. Un groupe de touristes américains était sur la place, marchandant des contrefaçons de sacs de marque, mais personne n'a rien vu qui puisse aider la police. Le commissaire Brunetti est chargé de l'enquête et il a du mal à comprendre les raisons d'un tel crime : les immigrants sans-papiers vivent repliés sur eux-mêmes dans des squats insalubres, sans contact extérieur.
Cela ressemble fort à un règlement de comptes au sein de la communauté et sa hiérarchie lui conseille de laisser tomber ses investigations. Mais Brunetti veut en avoir le cour net. Il fouille les quelques affaires de la victime et dans une petite boîte, il retrouve des diamants bruts dissimulés dans du sel. Qui était réellement cet immigrant ? Et comment s'est-il retrouvé en possession d'un tel trésor ? Et pourquoi cherche-t-on à décourager le commissaire dans son enquête ?« Magnifiquement ciselé, ce polar vénitien frôle la perfection.
»  Le Nouvel Observateur (à propos de Mortes-eaux)« Les saveurs vénitiennes de Donna Leon constituent un régal aussi dépaysant que délétère. »  Madame Figaro« Avec cet art bien à elle, tout en subtilité, de laisser affleurer dans les dialogues un ton de comédie amère, [.] »  Le Parisien

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 3 notes dont 1 avis lecteur
Mort d'un africain anonyme
Sur la Campo San Stefano, un homme a été froidement abattu, l'oeuvre de professionnels qui ont profité de la présence d'un groupe de touristes américains sur la place pour se glisser dans la foule, commettre leur forfait et disparaître discrètement. Mais qui donc s'est donné tant de mal pour éliminer un ''vu compra'', un de ces clandestins venus d'Afrique qui vendent des contrefaçons aux quatre coins de Venise ? Ces hommes sans nom, sans visage ne font généralement pas parler d'eux, sont rarement impliqués dans des affaires criminels, essaient de ne pas se faire remarquer. Alors qu'a donc pu faire cet homme pour que des tueurs à gage lui règlent son compte ? Voilà les questions que le commissaire Brunetti se pose lorsqu'il est chargé de l'affaire. Son enquête démarre mal : on ne sait pas qui est la victime, son nom, son pays d'origine et ses ''collègues'' refusent de collaborer avec la police. Peu importe de toute façon puisque, très vite, le commissaire est dessaisi sur ordre du vice-questeur Patta, lui-même obéissant à des instances supérieures. Brunetti le sait, l'affaire va être étouffée... Quatorzième enquête du flic vénitien, amateur de bonne chair qui affronte le froid hivernal pour enquêter sur la mort d'un africain anonyme tandis que dans le confort de son appartement sa petite famille traverse une crise grave que Paola son épouse essaie de régler au mieux. En effet, leur fille adolescente, lassée de ne jamais voir son père, s'indigne qu'il perde son temps à enquêter sur la mort sans importance d'un vu compra. Ignorance ou racisme, Paola réagit avec une vive et légitime indignation pour finalement s'inquiéter de l'équilibre psychique de sa fille car, comme chacun sait, il n'est pas bon de critiquer ouvertement ses enfants...Quoi qu'il en soit, ce n'est pas ses parents qui ont mis en tête de telles idées dans la tête de Clara, eux ne sauraient être racistes puisque pour tout dire, ils ne fréquentent guère d'étrangers. A Venise, chinois, africains et italiens ne se mélangent pas, chacun vivant sur sa propre planète. Finalement, le sujet n'est plus abordé chez les Brunetti pour ne pas traumatiser l'adolescente qui, après réflexion, se rendra compte d'elle-même de la stupidité de ses mots...ou pas. Et l'enquête dans tout cela ? Et bien, elle est entre les mains du ministère de l'Intérieur ou bien de celui des Affaires étrangères, peu importe, puisque le but de tout ce beau monde est de l'étouffer au plus vite. Comme souvent, Brunetti, impuissant, doit plier devant plus fort que lui, l'Etat, la maffia, ou les deux. Tout est bien qui finit...en queue de poisson dans cette opus poussif qui pourtant évoque quelques sujets épineux : l'entrée des clandestins en Italie, la vente et la distribution des produits de contrefaçon, l'indifférence coupable de certains face au sort des étrangers, mais sans les traiter en profondeur. Heureusement, Brunetti ne perd jamais l'appétit et Paola continue de le régaler de bons petits plats vénitiens...
Sur la Campo San Stefano, un homme a été froidement abattu, l'oeuvre de professionnels qui ont profité de la présence d'un groupe de touristes américains sur la place pour se glisser dans la foule, commettre leur forfait et disparaître discrètement. Mais qui donc s'est donné tant de mal pour éliminer un ''vu compra'', un de ces clandestins venus d'Afrique qui vendent des contrefaçons aux quatre coins de Venise ? Ces hommes sans nom, sans visage ne font généralement pas parler d'eux, sont rarement impliqués dans des affaires criminels, essaient de ne pas se faire remarquer. Alors qu'a donc pu faire cet homme pour que des tueurs à gage lui règlent son compte ? Voilà les questions que le commissaire Brunetti se pose lorsqu'il est chargé de l'affaire. Son enquête démarre mal : on ne sait pas qui est la victime, son nom, son pays d'origine et ses ''collègues'' refusent de collaborer avec la police. Peu importe de toute façon puisque, très vite, le commissaire est dessaisi sur ordre du vice-questeur Patta, lui-même obéissant à des instances supérieures. Brunetti le sait, l'affaire va être étouffée... Quatorzième enquête du flic vénitien, amateur de bonne chair qui affronte le froid hivernal pour enquêter sur la mort d'un africain anonyme tandis que dans le confort de son appartement sa petite famille traverse une crise grave que Paola son épouse essaie de régler au mieux. En effet, leur fille adolescente, lassée de ne jamais voir son père, s'indigne qu'il perde son temps à enquêter sur la mort sans importance d'un vu compra. Ignorance ou racisme, Paola réagit avec une vive et légitime indignation pour finalement s'inquiéter de l'équilibre psychique de sa fille car, comme chacun sait, il n'est pas bon de critiquer ouvertement ses enfants...Quoi qu'il en soit, ce n'est pas ses parents qui ont mis en tête de telles idées dans la tête de Clara, eux ne sauraient être racistes puisque pour tout dire, ils ne fréquentent guère d'étrangers. A Venise, chinois, africains et italiens ne se mélangent pas, chacun vivant sur sa propre planète. Finalement, le sujet n'est plus abordé chez les Brunetti pour ne pas traumatiser l'adolescente qui, après réflexion, se rendra compte d'elle-même de la stupidité de ses mots...ou pas. Et l'enquête dans tout cela ? Et bien, elle est entre les mains du ministère de l'Intérieur ou bien de celui des Affaires étrangères, peu importe, puisque le but de tout ce beau monde est de l'étouffer au plus vite. Comme souvent, Brunetti, impuissant, doit plier devant plus fort que lui, l'Etat, la maffia, ou les deux. Tout est bien qui finit...en queue de poisson dans cette opus poussif qui pourtant évoque quelques sujets épineux : l'entrée des clandestins en Italie, la vente et la distribution des produits de contrefaçon, l'indifférence coupable de certains face au sort des étrangers, mais sans les traiter en profondeur. Heureusement, Brunetti ne perd jamais l'appétit et Paola continue de le régaler de bons petits plats vénitiens...
Donna Leon
Donna Leon est une romancière américaine née le 28 septembre 1942 dans le New Jersey et vit depuis plus de 25 ans à Venise. Après un voyage à travers le monde au cours duquel elle exerçait tour à tour plusieurs métiers comme guide de voyage à Rome, rédactrice publicitaire à Londres et enseignante en Suisse, en Iran, en Arabie Saoudite, elle pose l’ancre à Venise pour enseigner la littérature dans une base navale de l’armée américaine près de la Cité des Doges. C’est là qu’est née son histoire d’amour avec le roman policier. Parmi sa vingtaine de livres, Les Joyaux du paradis et Brunetti et le mauvais augure font partie de ses romans à succès. Dans « Les joyeux du paradis », l’auteur embarque les lecteurs dans une enquête magistrale qui mêle avec subtilité musique et suspense, fiction et réalité. Elle y raconte l’histoire d’un musicologue italienne appelée à se prononcer sur une succession dans laquelle deux cousins disputent un héritage laissé par un musicien trempé dans une affaire de meurtre de son vivant. Comme le titre du roman l’indique, l’écrivain d’origine américaine raconte dans « Brunetti et le mauvais augure » une histoire d’un commissaire dénommé Brunetti qui enquête sur une scandaleuse affaire de corruption mêlée à un meurtre d’un greffier et un trafic d’influence sous un été caniculaire. Pourtant, son horoscope lui prédisait un été calme.
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