De la signature des choses
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- Nombre de pages340
- FormatePub
- ISBN978-2-246-79664-0
- EAN9782246796640
- Date de parution01/04/2014
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille556 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
Né à Görlitz, en Silésie, Jacob Boehme - 1575-1624 - fut cordonnier, puis mercier ambulant. Il se comptait parmi les humbles auxquels Dieu accorde des visions. L'une d'elles, en 1600 (il a 25 ans) - en observant le jeu de la lumière sur un pot d'étain - le fit pénétrer dans le mystère des origines. Le problème du mal s'est posé à Boehme dans le contexte du protestantisme de l'époque, luthériens et calvinistes s'affrontant sur le sujet de la prédestination.
Héritée de Paracelse, médecin alchimiste qui avait germanisé l'hermétisme de la Renaissance, la notion de signature est fondée, chez Boehme, sur le principe d'analogie : le monde visible est le reflet d'un autre monde, le corps est la figure de l'âme et c'est dans la profondeur de l'âme humaine que le vrai ciel doit être trouvé, car il est la signature de Dieu. Les deux fois nés, seuls, connaissent le vrai ciel.
La seconde naissance est celle de Dieu qui s'engendre en chacun de nous, comme il s'est engendré dans le sein de Marie : nous devenons alors la véritable image de Dieu. Mais pourquoi l'homme est-il tombé malade ? C'est la grande question pour Boehme comme pour les cabalistes, à laquelle il consacre le dernier chapitre de son ouvrage.
Héritée de Paracelse, médecin alchimiste qui avait germanisé l'hermétisme de la Renaissance, la notion de signature est fondée, chez Boehme, sur le principe d'analogie : le monde visible est le reflet d'un autre monde, le corps est la figure de l'âme et c'est dans la profondeur de l'âme humaine que le vrai ciel doit être trouvé, car il est la signature de Dieu. Les deux fois nés, seuls, connaissent le vrai ciel.
La seconde naissance est celle de Dieu qui s'engendre en chacun de nous, comme il s'est engendré dans le sein de Marie : nous devenons alors la véritable image de Dieu. Mais pourquoi l'homme est-il tombé malade ? C'est la grande question pour Boehme comme pour les cabalistes, à laquelle il consacre le dernier chapitre de son ouvrage.
Né à Görlitz, en Silésie, Jacob Boehme - 1575-1624 - fut cordonnier, puis mercier ambulant. Il se comptait parmi les humbles auxquels Dieu accorde des visions. L'une d'elles, en 1600 (il a 25 ans) - en observant le jeu de la lumière sur un pot d'étain - le fit pénétrer dans le mystère des origines. Le problème du mal s'est posé à Boehme dans le contexte du protestantisme de l'époque, luthériens et calvinistes s'affrontant sur le sujet de la prédestination.
Héritée de Paracelse, médecin alchimiste qui avait germanisé l'hermétisme de la Renaissance, la notion de signature est fondée, chez Boehme, sur le principe d'analogie : le monde visible est le reflet d'un autre monde, le corps est la figure de l'âme et c'est dans la profondeur de l'âme humaine que le vrai ciel doit être trouvé, car il est la signature de Dieu. Les deux fois nés, seuls, connaissent le vrai ciel.
La seconde naissance est celle de Dieu qui s'engendre en chacun de nous, comme il s'est engendré dans le sein de Marie : nous devenons alors la véritable image de Dieu. Mais pourquoi l'homme est-il tombé malade ? C'est la grande question pour Boehme comme pour les cabalistes, à laquelle il consacre le dernier chapitre de son ouvrage.
Héritée de Paracelse, médecin alchimiste qui avait germanisé l'hermétisme de la Renaissance, la notion de signature est fondée, chez Boehme, sur le principe d'analogie : le monde visible est le reflet d'un autre monde, le corps est la figure de l'âme et c'est dans la profondeur de l'âme humaine que le vrai ciel doit être trouvé, car il est la signature de Dieu. Les deux fois nés, seuls, connaissent le vrai ciel.
La seconde naissance est celle de Dieu qui s'engendre en chacun de nous, comme il s'est engendré dans le sein de Marie : nous devenons alors la véritable image de Dieu. Mais pourquoi l'homme est-il tombé malade ? C'est la grande question pour Boehme comme pour les cabalistes, à laquelle il consacre le dernier chapitre de son ouvrage.