De la guerre à la communauté universelle
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- Nombre de pages392
- FormatePub
- ISBN978-2-213-66919-9
- EAN9782213669199
- Date de parution06/03/2013
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille837 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
Prendre acte des guerres qui se sont multipliées depuis la fin de la guerre froide et de la défaillance de l'Organisation des Nations unies, qui devait prévenir tout conflit armé, tandis que les instabilités diverses dans le monde globalisé sont lourdes de menaces : notre situation impose de penser une nouvelle organisation de la communauté universelle. Celle-ci doit se démarquer de la pure traduction des rapports de force en présence et s'inscrire dans le projet des Lumières, dans une perspective d'émancipation vers laquelle l'humanité doit tendre.
Si l'on vise la liberté des peuples et le respect des droits de l'homme, il faut alors reprendre la question du droit - une approche peu pratiquée, pourtant porteuse de promesses, notamment de celle d'un renouvellement de la démocratie. Poursuivant une réflexion initiée en 1995 avec Humanité et souverainetés, l'auteur procède à une analyse critique de la violence, de la guerre, de l'Etat et de sa souveraineté.
Conception héritée de l'histoire de l'Europe de l'Ouest, la souveraineté de l'Etat est aujourd'hui un obstacle à la paix, l'Etat ne protégeant pas contre la violence ceux qu'il est censé protéger, et sa souveraineté demeurant incontestée dans un ordre international régi par un droit interétatique. Le droit a été arrimé solidement à l'Etat, lorsque celui-ci s'est constitué. Il est temps de penser son affranchissement.
C'est à cette condition que peut être trouvé un nouveau principe politique, ouvrant la voie à l'expression de communautés politiques à tous les échelons, du local au mondial.
Si l'on vise la liberté des peuples et le respect des droits de l'homme, il faut alors reprendre la question du droit - une approche peu pratiquée, pourtant porteuse de promesses, notamment de celle d'un renouvellement de la démocratie. Poursuivant une réflexion initiée en 1995 avec Humanité et souverainetés, l'auteur procède à une analyse critique de la violence, de la guerre, de l'Etat et de sa souveraineté.
Conception héritée de l'histoire de l'Europe de l'Ouest, la souveraineté de l'Etat est aujourd'hui un obstacle à la paix, l'Etat ne protégeant pas contre la violence ceux qu'il est censé protéger, et sa souveraineté demeurant incontestée dans un ordre international régi par un droit interétatique. Le droit a été arrimé solidement à l'Etat, lorsque celui-ci s'est constitué. Il est temps de penser son affranchissement.
C'est à cette condition que peut être trouvé un nouveau principe politique, ouvrant la voie à l'expression de communautés politiques à tous les échelons, du local au mondial.
Prendre acte des guerres qui se sont multipliées depuis la fin de la guerre froide et de la défaillance de l'Organisation des Nations unies, qui devait prévenir tout conflit armé, tandis que les instabilités diverses dans le monde globalisé sont lourdes de menaces : notre situation impose de penser une nouvelle organisation de la communauté universelle. Celle-ci doit se démarquer de la pure traduction des rapports de force en présence et s'inscrire dans le projet des Lumières, dans une perspective d'émancipation vers laquelle l'humanité doit tendre.
Si l'on vise la liberté des peuples et le respect des droits de l'homme, il faut alors reprendre la question du droit - une approche peu pratiquée, pourtant porteuse de promesses, notamment de celle d'un renouvellement de la démocratie. Poursuivant une réflexion initiée en 1995 avec Humanité et souverainetés, l'auteur procède à une analyse critique de la violence, de la guerre, de l'Etat et de sa souveraineté.
Conception héritée de l'histoire de l'Europe de l'Ouest, la souveraineté de l'Etat est aujourd'hui un obstacle à la paix, l'Etat ne protégeant pas contre la violence ceux qu'il est censé protéger, et sa souveraineté demeurant incontestée dans un ordre international régi par un droit interétatique. Le droit a été arrimé solidement à l'Etat, lorsque celui-ci s'est constitué. Il est temps de penser son affranchissement.
C'est à cette condition que peut être trouvé un nouveau principe politique, ouvrant la voie à l'expression de communautés politiques à tous les échelons, du local au mondial.
Si l'on vise la liberté des peuples et le respect des droits de l'homme, il faut alors reprendre la question du droit - une approche peu pratiquée, pourtant porteuse de promesses, notamment de celle d'un renouvellement de la démocratie. Poursuivant une réflexion initiée en 1995 avec Humanité et souverainetés, l'auteur procède à une analyse critique de la violence, de la guerre, de l'Etat et de sa souveraineté.
Conception héritée de l'histoire de l'Europe de l'Ouest, la souveraineté de l'Etat est aujourd'hui un obstacle à la paix, l'Etat ne protégeant pas contre la violence ceux qu'il est censé protéger, et sa souveraineté demeurant incontestée dans un ordre international régi par un droit interétatique. Le droit a été arrimé solidement à l'Etat, lorsque celui-ci s'est constitué. Il est temps de penser son affranchissement.
C'est à cette condition que peut être trouvé un nouveau principe politique, ouvrant la voie à l'expression de communautés politiques à tous les échelons, du local au mondial.