Prix Nobel de Littérature
De la décadence de la peinture italienne au XVIe siècle. Thèse latine de Romain Rolland cahier n° 9
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- Nombre de pages176
- FormatePub
- ISBN2-226-30361-8
- EAN9782226303615
- Date de parution01/08/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
La thèse latine de doctorat de Romain Rolland, consacrée à la décadence de la peinture en Italie après la Renaissance, méritait à un double titre d'être publiée. D'abord parce qu'aucun écrit de ce grand homme n'est indifférent, en particulier un écrit de sa jeunesse, période où le bouillonnement de l'étudiant répond au bouillonnement de l'époque : or l'une et l'autre, l'époque et l'étudiant, ne sauraient manquer de nous intéresser ; nous sommes en 1895 et ce jeune normalien est déjà tout formé et armé pour frayer sa voie dans les tumultes du nouveau siècle.
En second lieu, les historiens et les critiques d'art trouveront dans cette lecture une utile occasion d'observer les changements de point de vue que cinquante ans peuvent avoir produits en matière d'histoire et de philosophie de l'art.[...]Il y a seulement, en l'occurrence, à rappeler la simple et forte leçon de Romain Rolland, sa préférence résolue, têtue, généreuse pour les grandes choses humaines où palpite l'humain, pour la musique qui ressemble aux tempêtes du coeur comme à celles de la mer, pour les plus dramatiques créations de l'art, celles qui exigent une adhésion de tout notre être, celles qui appellent à une totale communion.
Jean Cassou
En second lieu, les historiens et les critiques d'art trouveront dans cette lecture une utile occasion d'observer les changements de point de vue que cinquante ans peuvent avoir produits en matière d'histoire et de philosophie de l'art.[...]Il y a seulement, en l'occurrence, à rappeler la simple et forte leçon de Romain Rolland, sa préférence résolue, têtue, généreuse pour les grandes choses humaines où palpite l'humain, pour la musique qui ressemble aux tempêtes du coeur comme à celles de la mer, pour les plus dramatiques créations de l'art, celles qui exigent une adhésion de tout notre être, celles qui appellent à une totale communion.
Jean Cassou
La thèse latine de doctorat de Romain Rolland, consacrée à la décadence de la peinture en Italie après la Renaissance, méritait à un double titre d'être publiée. D'abord parce qu'aucun écrit de ce grand homme n'est indifférent, en particulier un écrit de sa jeunesse, période où le bouillonnement de l'étudiant répond au bouillonnement de l'époque : or l'une et l'autre, l'époque et l'étudiant, ne sauraient manquer de nous intéresser ; nous sommes en 1895 et ce jeune normalien est déjà tout formé et armé pour frayer sa voie dans les tumultes du nouveau siècle.
En second lieu, les historiens et les critiques d'art trouveront dans cette lecture une utile occasion d'observer les changements de point de vue que cinquante ans peuvent avoir produits en matière d'histoire et de philosophie de l'art.[...]Il y a seulement, en l'occurrence, à rappeler la simple et forte leçon de Romain Rolland, sa préférence résolue, têtue, généreuse pour les grandes choses humaines où palpite l'humain, pour la musique qui ressemble aux tempêtes du coeur comme à celles de la mer, pour les plus dramatiques créations de l'art, celles qui exigent une adhésion de tout notre être, celles qui appellent à une totale communion.
Jean Cassou
En second lieu, les historiens et les critiques d'art trouveront dans cette lecture une utile occasion d'observer les changements de point de vue que cinquante ans peuvent avoir produits en matière d'histoire et de philosophie de l'art.[...]Il y a seulement, en l'occurrence, à rappeler la simple et forte leçon de Romain Rolland, sa préférence résolue, têtue, généreuse pour les grandes choses humaines où palpite l'humain, pour la musique qui ressemble aux tempêtes du coeur comme à celles de la mer, pour les plus dramatiques créations de l'art, celles qui exigent une adhésion de tout notre être, celles qui appellent à une totale communion.
Jean Cassou