De l'intérêt général à l'utilité sociale. La reconfiguration de l'action publique entre Etat, associations et participation citoyenne
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- Nombre de pages280
- FormatPDF
- ISBN2-296-14822-0
- EAN9782296148222
- Date de parution01/05/2006
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La notion d'utilité sociale a émergé sur la scène publique dans un contexte de délégation par l'Etat de certaines missions et services d'intérêt général. Si la notion a donné matière à polémiques, tant dans les débats sociopolitiques qu'académiques, deux grandes interprétations prédominent : d'une part, l'utilité sociale des activités associatives fonde leur légitimité vis-à-vis de leurs partenaires et de l'opinion publique, d'autre part, elle peut offrir aux acteurs associatifs l'opportunité de s'interroger sur le sens de leurs interventions en (re)définissant leurs propres valeurs et finalités.
L'organisation d'une journée d'étude entièrement consacrée à cette thématique a été l'occasion de procéder à un état des lieux de la recherche, en réunissant des jeunes chercheurs d'horizons disciplinaires variés (sociologie, économie, sciences politiques, géographie et urbanisme). Les articles rassemblés dans cet ouvrage abordent les formes variées de reconfiguration de l'action publique sous des éclairages à la fois théoriques et empiriques.
Mobilisée dans des champs d'activité aussi divers que la protection de l'environnement, les biotechnologies agricoles, la lutte contre le Sida, en passant par le commerce équitable et le secteur sportif, l'utilité sociale ne peut faire l'objet d'une définition univoque et consensuelle. Cette notion multidimensionnelle sert ainsi de prisme pour saisir les nouvelles caractéristiques de l'action publique caractérisées simultanément : par une co-construction des politiques publiques entre secteur associatif et pouvoirs publics, par l'élaboration de modes de régulation publique de l'action associative, par la transformation des modes d'engagement associatif sous l'effet d'une professionnalisation accrue et par une forte territorialisation des interventions menées au nom de l'utilité sociale.
Au fil de l'ouvrage, un constat s'impose : l'enjeu apparaît moins dans la recherche d'une définition universelle que dans l'identification, toujours contextualisée, des finalités poursuivies par les différents protagonistes.
L'organisation d'une journée d'étude entièrement consacrée à cette thématique a été l'occasion de procéder à un état des lieux de la recherche, en réunissant des jeunes chercheurs d'horizons disciplinaires variés (sociologie, économie, sciences politiques, géographie et urbanisme). Les articles rassemblés dans cet ouvrage abordent les formes variées de reconfiguration de l'action publique sous des éclairages à la fois théoriques et empiriques.
Mobilisée dans des champs d'activité aussi divers que la protection de l'environnement, les biotechnologies agricoles, la lutte contre le Sida, en passant par le commerce équitable et le secteur sportif, l'utilité sociale ne peut faire l'objet d'une définition univoque et consensuelle. Cette notion multidimensionnelle sert ainsi de prisme pour saisir les nouvelles caractéristiques de l'action publique caractérisées simultanément : par une co-construction des politiques publiques entre secteur associatif et pouvoirs publics, par l'élaboration de modes de régulation publique de l'action associative, par la transformation des modes d'engagement associatif sous l'effet d'une professionnalisation accrue et par une forte territorialisation des interventions menées au nom de l'utilité sociale.
Au fil de l'ouvrage, un constat s'impose : l'enjeu apparaît moins dans la recherche d'une définition universelle que dans l'identification, toujours contextualisée, des finalités poursuivies par les différents protagonistes.
La notion d'utilité sociale a émergé sur la scène publique dans un contexte de délégation par l'Etat de certaines missions et services d'intérêt général. Si la notion a donné matière à polémiques, tant dans les débats sociopolitiques qu'académiques, deux grandes interprétations prédominent : d'une part, l'utilité sociale des activités associatives fonde leur légitimité vis-à-vis de leurs partenaires et de l'opinion publique, d'autre part, elle peut offrir aux acteurs associatifs l'opportunité de s'interroger sur le sens de leurs interventions en (re)définissant leurs propres valeurs et finalités.
L'organisation d'une journée d'étude entièrement consacrée à cette thématique a été l'occasion de procéder à un état des lieux de la recherche, en réunissant des jeunes chercheurs d'horizons disciplinaires variés (sociologie, économie, sciences politiques, géographie et urbanisme). Les articles rassemblés dans cet ouvrage abordent les formes variées de reconfiguration de l'action publique sous des éclairages à la fois théoriques et empiriques.
Mobilisée dans des champs d'activité aussi divers que la protection de l'environnement, les biotechnologies agricoles, la lutte contre le Sida, en passant par le commerce équitable et le secteur sportif, l'utilité sociale ne peut faire l'objet d'une définition univoque et consensuelle. Cette notion multidimensionnelle sert ainsi de prisme pour saisir les nouvelles caractéristiques de l'action publique caractérisées simultanément : par une co-construction des politiques publiques entre secteur associatif et pouvoirs publics, par l'élaboration de modes de régulation publique de l'action associative, par la transformation des modes d'engagement associatif sous l'effet d'une professionnalisation accrue et par une forte territorialisation des interventions menées au nom de l'utilité sociale.
Au fil de l'ouvrage, un constat s'impose : l'enjeu apparaît moins dans la recherche d'une définition universelle que dans l'identification, toujours contextualisée, des finalités poursuivies par les différents protagonistes.
L'organisation d'une journée d'étude entièrement consacrée à cette thématique a été l'occasion de procéder à un état des lieux de la recherche, en réunissant des jeunes chercheurs d'horizons disciplinaires variés (sociologie, économie, sciences politiques, géographie et urbanisme). Les articles rassemblés dans cet ouvrage abordent les formes variées de reconfiguration de l'action publique sous des éclairages à la fois théoriques et empiriques.
Mobilisée dans des champs d'activité aussi divers que la protection de l'environnement, les biotechnologies agricoles, la lutte contre le Sida, en passant par le commerce équitable et le secteur sportif, l'utilité sociale ne peut faire l'objet d'une définition univoque et consensuelle. Cette notion multidimensionnelle sert ainsi de prisme pour saisir les nouvelles caractéristiques de l'action publique caractérisées simultanément : par une co-construction des politiques publiques entre secteur associatif et pouvoirs publics, par l'élaboration de modes de régulation publique de l'action associative, par la transformation des modes d'engagement associatif sous l'effet d'une professionnalisation accrue et par une forte territorialisation des interventions menées au nom de l'utilité sociale.
Au fil de l'ouvrage, un constat s'impose : l'enjeu apparaît moins dans la recherche d'une définition universelle que dans l'identification, toujours contextualisée, des finalités poursuivies par les différents protagonistes.