De l'entendement considéré dans ses effets. Leçons de philosophie ou essai sur les facultés de l'âme ( II )
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- Nombre de pages478
- FormatPDF
- ISBN2-296-39142-7
- EAN9782296391420
- Date de parution01/04/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille251 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La doctrine de Pierre Laromiguière (1756-1837) est la dernière forme de la philosophie inaugurée par Locke en Angleterre et réduite en système par Condillac. Locke fonde la philosophie de la sensation, Condillac l'organise, Laromiguière la corrige et en commence la dissolution. Au cours de son enseignement à la Sorbonne entre 1809 et 1813, Pierre Laromiguière s'était surtout occupé de deux questions importantes : celle des facultés de l'âme et celle de l'origine des idées.
Le second volume des Leçons de Philosophie proposé ici en fac simile de l'édition originale (1818) porte sur l'entendement considéré dans ses effets ou plus simplement sur les idées. Il recherche d'abord l'origine et la cause des idées, et traite ensuite des différentes espèces d'idées. Après avoir étudié les facultés en elles-mêmes, il faut les connaître dans leurs actes, dans leurs effets. Les actes, les effets des facultés de l'entendement sont les idées.
Mais le germe de toutes nos idées est dans nos sentiments ; c'est la force active et propre de l'esprit qui les fait éclore. Il n'y a pas d'idées innées, car tous nos sentiments ont leur cause dans l'expérience ; mais l'âme n'est pas une table rase ; elle est originairement et essentiellement une force, une activité : ainsi se trouvent conciliés les rationalistes et les sensualistes. L'ouvrage est agrémenté d'une longue introduction sur l'analyse de ce second volume des Leçons de philosophie (1818) et sur les critiques qui en ont été faites à l'époque par Victor Cousin (1792-1867). Ce livre s'adresse aux philosophes et aux psychologues désireux de découvrir l'œuvre d'un grand philosophe du début du XIXe siècle qui n'a pas été republiée depuis 150 ans.
Le second volume des Leçons de Philosophie proposé ici en fac simile de l'édition originale (1818) porte sur l'entendement considéré dans ses effets ou plus simplement sur les idées. Il recherche d'abord l'origine et la cause des idées, et traite ensuite des différentes espèces d'idées. Après avoir étudié les facultés en elles-mêmes, il faut les connaître dans leurs actes, dans leurs effets. Les actes, les effets des facultés de l'entendement sont les idées.
Mais le germe de toutes nos idées est dans nos sentiments ; c'est la force active et propre de l'esprit qui les fait éclore. Il n'y a pas d'idées innées, car tous nos sentiments ont leur cause dans l'expérience ; mais l'âme n'est pas une table rase ; elle est originairement et essentiellement une force, une activité : ainsi se trouvent conciliés les rationalistes et les sensualistes. L'ouvrage est agrémenté d'une longue introduction sur l'analyse de ce second volume des Leçons de philosophie (1818) et sur les critiques qui en ont été faites à l'époque par Victor Cousin (1792-1867). Ce livre s'adresse aux philosophes et aux psychologues désireux de découvrir l'œuvre d'un grand philosophe du début du XIXe siècle qui n'a pas été republiée depuis 150 ans.
La doctrine de Pierre Laromiguière (1756-1837) est la dernière forme de la philosophie inaugurée par Locke en Angleterre et réduite en système par Condillac. Locke fonde la philosophie de la sensation, Condillac l'organise, Laromiguière la corrige et en commence la dissolution. Au cours de son enseignement à la Sorbonne entre 1809 et 1813, Pierre Laromiguière s'était surtout occupé de deux questions importantes : celle des facultés de l'âme et celle de l'origine des idées.
Le second volume des Leçons de Philosophie proposé ici en fac simile de l'édition originale (1818) porte sur l'entendement considéré dans ses effets ou plus simplement sur les idées. Il recherche d'abord l'origine et la cause des idées, et traite ensuite des différentes espèces d'idées. Après avoir étudié les facultés en elles-mêmes, il faut les connaître dans leurs actes, dans leurs effets. Les actes, les effets des facultés de l'entendement sont les idées.
Mais le germe de toutes nos idées est dans nos sentiments ; c'est la force active et propre de l'esprit qui les fait éclore. Il n'y a pas d'idées innées, car tous nos sentiments ont leur cause dans l'expérience ; mais l'âme n'est pas une table rase ; elle est originairement et essentiellement une force, une activité : ainsi se trouvent conciliés les rationalistes et les sensualistes. L'ouvrage est agrémenté d'une longue introduction sur l'analyse de ce second volume des Leçons de philosophie (1818) et sur les critiques qui en ont été faites à l'époque par Victor Cousin (1792-1867). Ce livre s'adresse aux philosophes et aux psychologues désireux de découvrir l'œuvre d'un grand philosophe du début du XIXe siècle qui n'a pas été republiée depuis 150 ans.
Le second volume des Leçons de Philosophie proposé ici en fac simile de l'édition originale (1818) porte sur l'entendement considéré dans ses effets ou plus simplement sur les idées. Il recherche d'abord l'origine et la cause des idées, et traite ensuite des différentes espèces d'idées. Après avoir étudié les facultés en elles-mêmes, il faut les connaître dans leurs actes, dans leurs effets. Les actes, les effets des facultés de l'entendement sont les idées.
Mais le germe de toutes nos idées est dans nos sentiments ; c'est la force active et propre de l'esprit qui les fait éclore. Il n'y a pas d'idées innées, car tous nos sentiments ont leur cause dans l'expérience ; mais l'âme n'est pas une table rase ; elle est originairement et essentiellement une force, une activité : ainsi se trouvent conciliés les rationalistes et les sensualistes. L'ouvrage est agrémenté d'une longue introduction sur l'analyse de ce second volume des Leçons de philosophie (1818) et sur les critiques qui en ont été faites à l'époque par Victor Cousin (1792-1867). Ce livre s'adresse aux philosophes et aux psychologues désireux de découvrir l'œuvre d'un grand philosophe du début du XIXe siècle qui n'a pas été republiée depuis 150 ans.