De Giscard à Sarkozy

Par : Roger Chinaud
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  • Nombre de pages281
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8098-0354-9
  • EAN9782809803549
  • Date de parution12/11/2009
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille457 Ko
  • ÉditeurArchipel

Résumé

Engagé dès les années 1960 dans le sillage d'un brillant jeune homme nommé VGE, Roger Chinaud a été associé à la plupart des grandes décisions prises par le président pendant son septennat. Depuis la défaite de 1981, cet acteur important de la « Giscardie » s'était toujours refusé à se raconter. Roger Chinaud a accepté enfin d'évoquer « l'étrange entreprise d'autodémolition orchestrée par Giscard » : « Incapable de prendre la hauteur qui aurait pu lui permettre de retrouver la faveur des Français, cédant aux traits les plus puérils d'un orgueil blessé, celui qui avait été le plus talentueux de sa génération ainsi qu'un chef d'État à la fois inventif et responsable, est devenu insensiblement une sorte de fantôme de la vie publique.
»VGE n'est pas le seul écorché de cette galerie de portraits : on y subit les « colères volcaniques » de Simone Veil, la rancune imagée de Jacques Chirac (« Ce Chinaud, il faudra m'apporter ses couilles sur un plateau »), le règne ubuesque du « très courtois et inodore » Tiberi, les gesticulations de Delanoë, « maire parmi d'autres », ou encore les suaves vacheries de François Mitterrand qui, opposé dans la Nièvre à un certain Me Poignard, confie à Chinaud venu le soutenir : « Heureusement pour moi, votre poignard était mal aiguisé ! » Sans oublier, bien entendu, Nicolas Sarkozy, guetté par le retour du balancier.
Engagé dès les années 1960 dans le sillage d'un brillant jeune homme nommé VGE, Roger Chinaud a été associé à la plupart des grandes décisions prises par le président pendant son septennat. Depuis la défaite de 1981, cet acteur important de la « Giscardie » s'était toujours refusé à se raconter. Roger Chinaud a accepté enfin d'évoquer « l'étrange entreprise d'autodémolition orchestrée par Giscard » : « Incapable de prendre la hauteur qui aurait pu lui permettre de retrouver la faveur des Français, cédant aux traits les plus puérils d'un orgueil blessé, celui qui avait été le plus talentueux de sa génération ainsi qu'un chef d'État à la fois inventif et responsable, est devenu insensiblement une sorte de fantôme de la vie publique.
»VGE n'est pas le seul écorché de cette galerie de portraits : on y subit les « colères volcaniques » de Simone Veil, la rancune imagée de Jacques Chirac (« Ce Chinaud, il faudra m'apporter ses couilles sur un plateau »), le règne ubuesque du « très courtois et inodore » Tiberi, les gesticulations de Delanoë, « maire parmi d'autres », ou encore les suaves vacheries de François Mitterrand qui, opposé dans la Nièvre à un certain Me Poignard, confie à Chinaud venu le soutenir : « Heureusement pour moi, votre poignard était mal aiguisé ! » Sans oublier, bien entendu, Nicolas Sarkozy, guetté par le retour du balancier.