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De Gaulle intime

Par : François Flohic,
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  • Nombre de pages112
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8098-0442-3
  • EAN9782809804423
  • Date de parution08/09/2010
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille884 Ko
  • ÉditeurArchipel

Résumé

Dans ses Souvenirs d'outre-Gaulle (Plon, 1979), l'amiral Flohic évoquait l'action publique et militaire du général de Gaulle. Aujourd'hui, il raconte l'homme qu'il a connu, afin d'en donner « une image différente de celle qui apparaissait en majesté sur les écrans de télévision ». Car « contrairement à ce que dit Malraux, je témoigne qu'il n'a cessé d'exister un Charles qui regardait agir le Général, l'encourageait et le jugeait ».
C'est donc un de Gaulle familier dont on découvre les habitudes, les mots et les réflexions, sur fond de retour aux affaires, de drame algérien (« Cela ne vous fait-il pas l'impression d'un pays fini ? », lui demande-t-il en 1960) ou de contestation sociale... dès le 28 avril 1968, à quelques jours de l'explosion, Flohic est le témoin de la lassitude qui s'empare déjà du Général et lui fait dire : « Cela ne m'amuse plus beaucoup ; il n'y a plus rien de difficile, ni d'héroïque à faire.
»Seul témoin et organisateur de la « fuite » à Baden Baden le 29 mai 1968, il consacre à cet épisode de nombreuses pages. On y découvre un de Gaulle désemparé, qui n'hésite pas à solliciter les conseils de son aide de camp éberlué : « Que va-t-il se passer maintenant ? Que peut-on faire ? Maintenant que je ne suis plus sur le territoire français, le Conseil constitutionnel va constater ma déchéance ! »L'amiral Flohic sera enfin, avec Mme de Gaulle, l'unique compagnon de voyage du Général lors des trois mois qu'il passa en Irlande, en mai-juin 1969, après son retrait du pouvoir.
Mais aussi, tout au long de la présidence, le témoin officiel ou informel de rencontres avec Kossyguine ou encore Kennedy, auquel il servit d'interprète en 1961.
Dans ses Souvenirs d'outre-Gaulle (Plon, 1979), l'amiral Flohic évoquait l'action publique et militaire du général de Gaulle. Aujourd'hui, il raconte l'homme qu'il a connu, afin d'en donner « une image différente de celle qui apparaissait en majesté sur les écrans de télévision ». Car « contrairement à ce que dit Malraux, je témoigne qu'il n'a cessé d'exister un Charles qui regardait agir le Général, l'encourageait et le jugeait ».
C'est donc un de Gaulle familier dont on découvre les habitudes, les mots et les réflexions, sur fond de retour aux affaires, de drame algérien (« Cela ne vous fait-il pas l'impression d'un pays fini ? », lui demande-t-il en 1960) ou de contestation sociale... dès le 28 avril 1968, à quelques jours de l'explosion, Flohic est le témoin de la lassitude qui s'empare déjà du Général et lui fait dire : « Cela ne m'amuse plus beaucoup ; il n'y a plus rien de difficile, ni d'héroïque à faire.
»Seul témoin et organisateur de la « fuite » à Baden Baden le 29 mai 1968, il consacre à cet épisode de nombreuses pages. On y découvre un de Gaulle désemparé, qui n'hésite pas à solliciter les conseils de son aide de camp éberlué : « Que va-t-il se passer maintenant ? Que peut-on faire ? Maintenant que je ne suis plus sur le territoire français, le Conseil constitutionnel va constater ma déchéance ! »L'amiral Flohic sera enfin, avec Mme de Gaulle, l'unique compagnon de voyage du Général lors des trois mois qu'il passa en Irlande, en mai-juin 1969, après son retrait du pouvoir.
Mais aussi, tout au long de la présidence, le témoin officiel ou informel de rencontres avec Kossyguine ou encore Kennedy, auquel il servit d'interprète en 1961.