Darfour. Le silence de l'araignée
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- Nombre de pages208
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-23806-0
- EAN9782296238060
- Date de parution01/09/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Tout le monde parle du Darfour mais bien peu de gens savent où se trouve cette province de l'Ouest soudanais, et encore moins parviennent à comprendre le drame humanitaire qui se joue dans cette région. On parle de génocide sans trop connaître ni les définitions exactes du mot, ni les enjeux réels. Pourquoi des miliciens arabes tuent-t-ils dans d'ignobles circonstances des fermiers noirs? C'est en faisant parler les réfugiés du Darfour au Caire, des leaders de l'opposition jusqu'aux travailleurs les plus démunis, que Fabienne le Houérou tente de dénouer l'affaire.
La politique du gouvernement soudanais face à la crise du Darfour rappelle la violence dont font preuve les araignées. Ces insectes prédateurs tissent une toile dans l'ombre en paralysant leurs proies, dans un premier temps, avant de les faire mourir à petits feux. Pour ce dernier massacre que certains observateurs qualifient d'ethnique, et que d'autres appellent génocide, une pratique réelle du terrain soudanais, dans sa quotidienneté, permet de dire que ce n'est pas le fruit d'une irruption volcanique brutale entre ethnies mais un savant dérapage où la bureaucratie (et les dissensions à l'intérieur des administrations) tient une posture centrale.
Cette plongée dans les mondes exilés, l'auteure l'a faite conjointement par le moyen d'un film documentaire, " Voix du Darfour, Hôtel du Ni! ", visible sur son site www.imagmundi.com. Les réfugiés expliquent les horreurs subies et l'abandon international en forme de descente aux enfers.
La politique du gouvernement soudanais face à la crise du Darfour rappelle la violence dont font preuve les araignées. Ces insectes prédateurs tissent une toile dans l'ombre en paralysant leurs proies, dans un premier temps, avant de les faire mourir à petits feux. Pour ce dernier massacre que certains observateurs qualifient d'ethnique, et que d'autres appellent génocide, une pratique réelle du terrain soudanais, dans sa quotidienneté, permet de dire que ce n'est pas le fruit d'une irruption volcanique brutale entre ethnies mais un savant dérapage où la bureaucratie (et les dissensions à l'intérieur des administrations) tient une posture centrale.
Cette plongée dans les mondes exilés, l'auteure l'a faite conjointement par le moyen d'un film documentaire, " Voix du Darfour, Hôtel du Ni! ", visible sur son site www.imagmundi.com. Les réfugiés expliquent les horreurs subies et l'abandon international en forme de descente aux enfers.
Tout le monde parle du Darfour mais bien peu de gens savent où se trouve cette province de l'Ouest soudanais, et encore moins parviennent à comprendre le drame humanitaire qui se joue dans cette région. On parle de génocide sans trop connaître ni les définitions exactes du mot, ni les enjeux réels. Pourquoi des miliciens arabes tuent-t-ils dans d'ignobles circonstances des fermiers noirs? C'est en faisant parler les réfugiés du Darfour au Caire, des leaders de l'opposition jusqu'aux travailleurs les plus démunis, que Fabienne le Houérou tente de dénouer l'affaire.
La politique du gouvernement soudanais face à la crise du Darfour rappelle la violence dont font preuve les araignées. Ces insectes prédateurs tissent une toile dans l'ombre en paralysant leurs proies, dans un premier temps, avant de les faire mourir à petits feux. Pour ce dernier massacre que certains observateurs qualifient d'ethnique, et que d'autres appellent génocide, une pratique réelle du terrain soudanais, dans sa quotidienneté, permet de dire que ce n'est pas le fruit d'une irruption volcanique brutale entre ethnies mais un savant dérapage où la bureaucratie (et les dissensions à l'intérieur des administrations) tient une posture centrale.
Cette plongée dans les mondes exilés, l'auteure l'a faite conjointement par le moyen d'un film documentaire, " Voix du Darfour, Hôtel du Ni! ", visible sur son site www.imagmundi.com. Les réfugiés expliquent les horreurs subies et l'abandon international en forme de descente aux enfers.
La politique du gouvernement soudanais face à la crise du Darfour rappelle la violence dont font preuve les araignées. Ces insectes prédateurs tissent une toile dans l'ombre en paralysant leurs proies, dans un premier temps, avant de les faire mourir à petits feux. Pour ce dernier massacre que certains observateurs qualifient d'ethnique, et que d'autres appellent génocide, une pratique réelle du terrain soudanais, dans sa quotidienneté, permet de dire que ce n'est pas le fruit d'une irruption volcanique brutale entre ethnies mais un savant dérapage où la bureaucratie (et les dissensions à l'intérieur des administrations) tient une posture centrale.
Cette plongée dans les mondes exilés, l'auteure l'a faite conjointement par le moyen d'un film documentaire, " Voix du Darfour, Hôtel du Ni! ", visible sur son site www.imagmundi.com. Les réfugiés expliquent les horreurs subies et l'abandon international en forme de descente aux enfers.