Dans l’ombre de Jean Moulin. Un préfet et un policier sous Vichy

Par : Pascal Armata

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  • Nombre de pages246
  • FormatePub
  • ISBN978-2-336-42457-6
  • EAN9782336424576
  • Date de parution25/01/2024
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille6 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierJean-Olivier Viout

Résumé

Chartres, Marseille, Paris, Lyon, Caluire, Saint-Andiol : c'est l'itinéraire commun du préfet-résistant Jean Moulin et du commissaire-résistant Charles Porte. Maintenu dans son poste par Jean Moulin, investi de ses instructions, le commissaire se partage entre arrestations de mis en cause, dont des communistes, et organisation de la Résistance en Eure-et-Loir. Poursuivi par la police de Vichy pour son action contre l'occupant, Porte, radié par Bousquet, est contraint de fuir.
Arrêté par les Allemands, il est condamné à l'enfer des camps, échappant de peu à la mort.             À la libération, il est recherché par la police républicaine pour son action contre les patriotes chartrains. Les autorités légitimes de la Libération le contraignent à une seconde vie dans la clandestinité. Cinq ans s'écouleront jusqu'à son non-lieu et son blanchiment par la commission d'épuration.
Décoré à sept reprises, il est réintégré dans la police à Melun, où il achève sa carrière en 1961.
Chartres, Marseille, Paris, Lyon, Caluire, Saint-Andiol : c'est l'itinéraire commun du préfet-résistant Jean Moulin et du commissaire-résistant Charles Porte. Maintenu dans son poste par Jean Moulin, investi de ses instructions, le commissaire se partage entre arrestations de mis en cause, dont des communistes, et organisation de la Résistance en Eure-et-Loir. Poursuivi par la police de Vichy pour son action contre l'occupant, Porte, radié par Bousquet, est contraint de fuir.
Arrêté par les Allemands, il est condamné à l'enfer des camps, échappant de peu à la mort.             À la libération, il est recherché par la police républicaine pour son action contre les patriotes chartrains. Les autorités légitimes de la Libération le contraignent à une seconde vie dans la clandestinité. Cinq ans s'écouleront jusqu'à son non-lieu et son blanchiment par la commission d'épuration.
Décoré à sept reprises, il est réintégré dans la police à Melun, où il achève sa carrière en 1961.