D'amours... et d'autres. Nouvelles
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- Nombre de pages143
- FormatePub
- ISBN2-402-05345-3
- EAN9782402053457
- Date de parution01/01/1991
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille32 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Autr...
Résumé
Peut-on, aujourd'hui, parler d'amour sans faire rire ? Peut-on, parlant d'amour, être direct sans être vulgaire et, surtout, sans être banal ? En douze superbes nouvelles, Jean Rambaud nous donne une définitive réponse. Il y a, dans ce livre, une circulation d'air frais qui tient les personnages en état d'apesanteur. Ce sont pourtant des êtres simples, parfois frustes, mais leur banalité n'est qu'apparente.
Ce qui les distingue des autres, c'est leur faculté de lévitation, réelle ou métaphorique, qui les tient sur les marges d'un merveilleux familier à peine suggéré. Ce sont des personnages en marche, en vol. On ne s'étonnera pas de voir apparaître, dans certaines pages, la silhouette claudicante de « l'homme aux semelles de vent » dont une citation clôt le livre. « Ma journée est faite ; je quitte l'Europe.
L'air marin brûlera mes poumons, les climats perdus me tanneront. Tu ne sais ni où tu vas, ni pourquoi tu vas » (A. R.). Le style est nerveux, ironique. Il cache une sensibilité d'écorché vif, et l'on peut dire de Rambaud ce qu'il écrit lui-même à propos de l'un de ses personnages dans une des nouvelles où, miracle, il ne se passe presque rien : « Homère savait parler, mais pas pour ne rien dire ».
D'amours et d'autres, ou le bonheur du lecteur.
Ce qui les distingue des autres, c'est leur faculté de lévitation, réelle ou métaphorique, qui les tient sur les marges d'un merveilleux familier à peine suggéré. Ce sont des personnages en marche, en vol. On ne s'étonnera pas de voir apparaître, dans certaines pages, la silhouette claudicante de « l'homme aux semelles de vent » dont une citation clôt le livre. « Ma journée est faite ; je quitte l'Europe.
L'air marin brûlera mes poumons, les climats perdus me tanneront. Tu ne sais ni où tu vas, ni pourquoi tu vas » (A. R.). Le style est nerveux, ironique. Il cache une sensibilité d'écorché vif, et l'on peut dire de Rambaud ce qu'il écrit lui-même à propos de l'un de ses personnages dans une des nouvelles où, miracle, il ne se passe presque rien : « Homère savait parler, mais pas pour ne rien dire ».
D'amours et d'autres, ou le bonheur du lecteur.
Peut-on, aujourd'hui, parler d'amour sans faire rire ? Peut-on, parlant d'amour, être direct sans être vulgaire et, surtout, sans être banal ? En douze superbes nouvelles, Jean Rambaud nous donne une définitive réponse. Il y a, dans ce livre, une circulation d'air frais qui tient les personnages en état d'apesanteur. Ce sont pourtant des êtres simples, parfois frustes, mais leur banalité n'est qu'apparente.
Ce qui les distingue des autres, c'est leur faculté de lévitation, réelle ou métaphorique, qui les tient sur les marges d'un merveilleux familier à peine suggéré. Ce sont des personnages en marche, en vol. On ne s'étonnera pas de voir apparaître, dans certaines pages, la silhouette claudicante de « l'homme aux semelles de vent » dont une citation clôt le livre. « Ma journée est faite ; je quitte l'Europe.
L'air marin brûlera mes poumons, les climats perdus me tanneront. Tu ne sais ni où tu vas, ni pourquoi tu vas » (A. R.). Le style est nerveux, ironique. Il cache une sensibilité d'écorché vif, et l'on peut dire de Rambaud ce qu'il écrit lui-même à propos de l'un de ses personnages dans une des nouvelles où, miracle, il ne se passe presque rien : « Homère savait parler, mais pas pour ne rien dire ».
D'amours et d'autres, ou le bonheur du lecteur.
Ce qui les distingue des autres, c'est leur faculté de lévitation, réelle ou métaphorique, qui les tient sur les marges d'un merveilleux familier à peine suggéré. Ce sont des personnages en marche, en vol. On ne s'étonnera pas de voir apparaître, dans certaines pages, la silhouette claudicante de « l'homme aux semelles de vent » dont une citation clôt le livre. « Ma journée est faite ; je quitte l'Europe.
L'air marin brûlera mes poumons, les climats perdus me tanneront. Tu ne sais ni où tu vas, ni pourquoi tu vas » (A. R.). Le style est nerveux, ironique. Il cache une sensibilité d'écorché vif, et l'on peut dire de Rambaud ce qu'il écrit lui-même à propos de l'un de ses personnages dans une des nouvelles où, miracle, il ne se passe presque rien : « Homère savait parler, mais pas pour ne rien dire ».
D'amours et d'autres, ou le bonheur du lecteur.