Cuba, quelle transition ?
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- Nombre de pages194
- FormatPDF
- ISBN2-296-19534-2
- EAN9782296195349
- Date de parution01/01/2001
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Après la chute de l'Union soviétique, l'économie cubaine s'est retrouvée dans une situation catastrophique, aggravée par le poids de l'embargo américain. Plus de 10 ans après, le régime cubain est toujours en place. Cela a signifié des adaptations dans tous les domaines, économiques, politiques, sociaux, culturels. Un grand débat interne a eu lieu, à la fois critique, analytique et prospectif. Ce volume en rend compte dans différents secteurs : l'économie et l'ouverture au marché interne et externe, la politique et le processus de démocratisation, la culture et la production artistique, la société civile et les initiatives nouvelles.
Peu connu à l'extérieur, mené par des intellectuels cubains, ce débat a contribué à construire une transition intéressante, différente de celle de la Chine ou du Vietnam. Ces pays ont adopté une politique de plus grande ouverture au marché, avec l'idée de réguler ce dernier au moyen d'un Etat fort, mais il semble que le véritable régulateur soit devenu le marché, destiné à accélérer le développement des forces productives.
A Cuba, même si le processus est semblable, le contrôle du marché reste plus étroit. Le pays n'a pas à se soumettre aux injonctions de la Banque mondiale ou du FMI et l'embargo américain empêche une invasion massive de biens de consommation en provenance du grand voisin. Cependant, s'agit-il d'une transition vers le capitalisme ou transition vers une autre étape du socialisme ? La question est posée.
Peu connu à l'extérieur, mené par des intellectuels cubains, ce débat a contribué à construire une transition intéressante, différente de celle de la Chine ou du Vietnam. Ces pays ont adopté une politique de plus grande ouverture au marché, avec l'idée de réguler ce dernier au moyen d'un Etat fort, mais il semble que le véritable régulateur soit devenu le marché, destiné à accélérer le développement des forces productives.
A Cuba, même si le processus est semblable, le contrôle du marché reste plus étroit. Le pays n'a pas à se soumettre aux injonctions de la Banque mondiale ou du FMI et l'embargo américain empêche une invasion massive de biens de consommation en provenance du grand voisin. Cependant, s'agit-il d'une transition vers le capitalisme ou transition vers une autre étape du socialisme ? La question est posée.
Après la chute de l'Union soviétique, l'économie cubaine s'est retrouvée dans une situation catastrophique, aggravée par le poids de l'embargo américain. Plus de 10 ans après, le régime cubain est toujours en place. Cela a signifié des adaptations dans tous les domaines, économiques, politiques, sociaux, culturels. Un grand débat interne a eu lieu, à la fois critique, analytique et prospectif. Ce volume en rend compte dans différents secteurs : l'économie et l'ouverture au marché interne et externe, la politique et le processus de démocratisation, la culture et la production artistique, la société civile et les initiatives nouvelles.
Peu connu à l'extérieur, mené par des intellectuels cubains, ce débat a contribué à construire une transition intéressante, différente de celle de la Chine ou du Vietnam. Ces pays ont adopté une politique de plus grande ouverture au marché, avec l'idée de réguler ce dernier au moyen d'un Etat fort, mais il semble que le véritable régulateur soit devenu le marché, destiné à accélérer le développement des forces productives.
A Cuba, même si le processus est semblable, le contrôle du marché reste plus étroit. Le pays n'a pas à se soumettre aux injonctions de la Banque mondiale ou du FMI et l'embargo américain empêche une invasion massive de biens de consommation en provenance du grand voisin. Cependant, s'agit-il d'une transition vers le capitalisme ou transition vers une autre étape du socialisme ? La question est posée.
Peu connu à l'extérieur, mené par des intellectuels cubains, ce débat a contribué à construire une transition intéressante, différente de celle de la Chine ou du Vietnam. Ces pays ont adopté une politique de plus grande ouverture au marché, avec l'idée de réguler ce dernier au moyen d'un Etat fort, mais il semble que le véritable régulateur soit devenu le marché, destiné à accélérer le développement des forces productives.
A Cuba, même si le processus est semblable, le contrôle du marché reste plus étroit. Le pays n'a pas à se soumettre aux injonctions de la Banque mondiale ou du FMI et l'embargo américain empêche une invasion massive de biens de consommation en provenance du grand voisin. Cependant, s'agit-il d'une transition vers le capitalisme ou transition vers une autre étape du socialisme ? La question est posée.