Coucher de soleil sur La Havane. La Cuba de Castro 1959-2007
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- Nombre de pages524
- FormatePub
- ISBN978-2-08-123374-4
- EAN9782081233744
- Date de parution13/04/2010
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Avec l'affaiblissement de Fidel Castro et la possibilité d'un changement de régime, l'intérêt porté à Cuba a été décuplé dans le monde. Sans doute la disparition de Castro, le plus ancien chef d'Etat du monde, serait en soi une nouvelle importante. Castro est lié à tout un pan de l'histoire du XXe siècle, fascinant et presque étrange par sa mythologie, ses enjeux et ses conflits. Castro, c'est le monde de la guérilla, celui des luttes révolutionnaires dans le Tiers Monde, du soutien que des intellectuels comme Sartre, Norman Mailer ou Octavio Paz lui apportaient ; c'est le monde bipolaire où deux superpuissances, les Etats-Unis et l'URSS, se disputaient la planète.
Puis c'est la chute du Mur de Berlin, l'isolement de l'île et les difficultés accrues pour le peuple cubain. Mais au-delà de Castro, des images de révolution joyeuse, d'expéditions lointaines pour étendre les rivages de la révolution, de la Bolivie à l'Ethiopie, que va-t-on perdre ? Une île rouge, une sorte d'Albanie caraïbe ? Ou la recherche passionnée d'une identité nationale ? Voire d'un pouvoir personnel quasi absolu ? Une demi-siècle à tenir tête à l'Oncle Sam, voilà qui mérite un coup de chapeau.
Mais faut-il se réjouir de la fin d'une tyrannie, même héroïque ou regretter la disparition de cette voix discordante qui dénonçait encore et toujours un certain ordre international ?
Puis c'est la chute du Mur de Berlin, l'isolement de l'île et les difficultés accrues pour le peuple cubain. Mais au-delà de Castro, des images de révolution joyeuse, d'expéditions lointaines pour étendre les rivages de la révolution, de la Bolivie à l'Ethiopie, que va-t-on perdre ? Une île rouge, une sorte d'Albanie caraïbe ? Ou la recherche passionnée d'une identité nationale ? Voire d'un pouvoir personnel quasi absolu ? Une demi-siècle à tenir tête à l'Oncle Sam, voilà qui mérite un coup de chapeau.
Mais faut-il se réjouir de la fin d'une tyrannie, même héroïque ou regretter la disparition de cette voix discordante qui dénonçait encore et toujours un certain ordre international ?
Avec l'affaiblissement de Fidel Castro et la possibilité d'un changement de régime, l'intérêt porté à Cuba a été décuplé dans le monde. Sans doute la disparition de Castro, le plus ancien chef d'Etat du monde, serait en soi une nouvelle importante. Castro est lié à tout un pan de l'histoire du XXe siècle, fascinant et presque étrange par sa mythologie, ses enjeux et ses conflits. Castro, c'est le monde de la guérilla, celui des luttes révolutionnaires dans le Tiers Monde, du soutien que des intellectuels comme Sartre, Norman Mailer ou Octavio Paz lui apportaient ; c'est le monde bipolaire où deux superpuissances, les Etats-Unis et l'URSS, se disputaient la planète.
Puis c'est la chute du Mur de Berlin, l'isolement de l'île et les difficultés accrues pour le peuple cubain. Mais au-delà de Castro, des images de révolution joyeuse, d'expéditions lointaines pour étendre les rivages de la révolution, de la Bolivie à l'Ethiopie, que va-t-on perdre ? Une île rouge, une sorte d'Albanie caraïbe ? Ou la recherche passionnée d'une identité nationale ? Voire d'un pouvoir personnel quasi absolu ? Une demi-siècle à tenir tête à l'Oncle Sam, voilà qui mérite un coup de chapeau.
Mais faut-il se réjouir de la fin d'une tyrannie, même héroïque ou regretter la disparition de cette voix discordante qui dénonçait encore et toujours un certain ordre international ?
Puis c'est la chute du Mur de Berlin, l'isolement de l'île et les difficultés accrues pour le peuple cubain. Mais au-delà de Castro, des images de révolution joyeuse, d'expéditions lointaines pour étendre les rivages de la révolution, de la Bolivie à l'Ethiopie, que va-t-on perdre ? Une île rouge, une sorte d'Albanie caraïbe ? Ou la recherche passionnée d'une identité nationale ? Voire d'un pouvoir personnel quasi absolu ? Une demi-siècle à tenir tête à l'Oncle Sam, voilà qui mérite un coup de chapeau.
Mais faut-il se réjouir de la fin d'une tyrannie, même héroïque ou regretter la disparition de cette voix discordante qui dénonçait encore et toujours un certain ordre international ?