Corps, travail et statut social. L'apport de la paléoanthropologie funéraire aux sciences historiques
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- Nombre de pages212
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-2766-8
- EAN9782757427668
- Date de parution16/01/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
Le corps humain constitue un témoin privilégié des activités et du mode de vie des individus. Alors que l'archéologie funéraire fournit des données trop souvent insatisfaisantes sur l'identité des défunts, l'étude paléoanthropologique (en particulier paléopathologique) des ossements apporte en effet des éléments nouveaux et complémentaires aux recherches basées sur l'identification professionnelle et sociale des individus.
La volonté d'appréhender les populations anciennes comme des ensembles non plus homogènes mais, au contraire, composites, nécessite un traitement plus approfondi de toutes les données disponibles. En réunissant les contributions d'anthropologues, de paléopathologistes, d'archéologues, d'historiens, d'iconographes et de philologues, cet ouvrage permet, au travers de développements théoriques et d'études de cas, de poser les jalons méthodologiques de l'identification socioprofessionnelle des défunts.
Ces résultats soulignent l'apport de la paléoanthropologie aux sciences historiques et l'intérêt de la conjugaison des compétences des différents spécialistes. Le sujet, bien que d'une grande richesse, n'a été que très peu exploité jusqu'ici. Cet ouvrage constitue ainsi la première synthèse méthodologique sur l'identification professionnelle et sociale des défunts par le biais de l'anthropologie physique, tout en soulignant l'intérêt de la démarche sur le plan plus large des études historiques et sociales.
La volonté d'appréhender les populations anciennes comme des ensembles non plus homogènes mais, au contraire, composites, nécessite un traitement plus approfondi de toutes les données disponibles. En réunissant les contributions d'anthropologues, de paléopathologistes, d'archéologues, d'historiens, d'iconographes et de philologues, cet ouvrage permet, au travers de développements théoriques et d'études de cas, de poser les jalons méthodologiques de l'identification socioprofessionnelle des défunts.
Ces résultats soulignent l'apport de la paléoanthropologie aux sciences historiques et l'intérêt de la conjugaison des compétences des différents spécialistes. Le sujet, bien que d'une grande richesse, n'a été que très peu exploité jusqu'ici. Cet ouvrage constitue ainsi la première synthèse méthodologique sur l'identification professionnelle et sociale des défunts par le biais de l'anthropologie physique, tout en soulignant l'intérêt de la démarche sur le plan plus large des études historiques et sociales.
Le corps humain constitue un témoin privilégié des activités et du mode de vie des individus. Alors que l'archéologie funéraire fournit des données trop souvent insatisfaisantes sur l'identité des défunts, l'étude paléoanthropologique (en particulier paléopathologique) des ossements apporte en effet des éléments nouveaux et complémentaires aux recherches basées sur l'identification professionnelle et sociale des individus.
La volonté d'appréhender les populations anciennes comme des ensembles non plus homogènes mais, au contraire, composites, nécessite un traitement plus approfondi de toutes les données disponibles. En réunissant les contributions d'anthropologues, de paléopathologistes, d'archéologues, d'historiens, d'iconographes et de philologues, cet ouvrage permet, au travers de développements théoriques et d'études de cas, de poser les jalons méthodologiques de l'identification socioprofessionnelle des défunts.
Ces résultats soulignent l'apport de la paléoanthropologie aux sciences historiques et l'intérêt de la conjugaison des compétences des différents spécialistes. Le sujet, bien que d'une grande richesse, n'a été que très peu exploité jusqu'ici. Cet ouvrage constitue ainsi la première synthèse méthodologique sur l'identification professionnelle et sociale des défunts par le biais de l'anthropologie physique, tout en soulignant l'intérêt de la démarche sur le plan plus large des études historiques et sociales.
La volonté d'appréhender les populations anciennes comme des ensembles non plus homogènes mais, au contraire, composites, nécessite un traitement plus approfondi de toutes les données disponibles. En réunissant les contributions d'anthropologues, de paléopathologistes, d'archéologues, d'historiens, d'iconographes et de philologues, cet ouvrage permet, au travers de développements théoriques et d'études de cas, de poser les jalons méthodologiques de l'identification socioprofessionnelle des défunts.
Ces résultats soulignent l'apport de la paléoanthropologie aux sciences historiques et l'intérêt de la conjugaison des compétences des différents spécialistes. Le sujet, bien que d'une grande richesse, n'a été que très peu exploité jusqu'ici. Cet ouvrage constitue ainsi la première synthèse méthodologique sur l'identification professionnelle et sociale des défunts par le biais de l'anthropologie physique, tout en soulignant l'intérêt de la démarche sur le plan plus large des études historiques et sociales.