Coopération et réciprocité
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- Nombre de pages224
- FormatePub
- ISBN2-13-067602-2
- EAN9782130676027
- Date de parution01/01/1997
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille543 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
La coopération peut-elle émerger spontanément entre des individus égoïstes gouvernés uniquement par la rationalité économique ? Cette question traverse toute la théorie économique depuis ses origines et se trouve renouvelée par les développements récents de la théorie des jeux. La thèse défendue par Laurent Cordonnier est que les conditions à réunir pour fournir une réponse affirmative à cette question, sont si exigeantes qu'il convient d'envisager d'amender la figure de l'homo oconomicus si l'on tient à faire place à la possibilité de l'émergence de la coopération, même dans les situations économiques les plus simples, tel l'échange de deux biens entre deux individus.
L'ouvrage se déroule comme une discussion autour du fameux dilemme du prisonnier. Ce jeu permet, en effet, d'organiser une confrontation entre les principes d'action à l'ouvre dans la réciprocité archaïque - le don-contredon - et la rationalité économique qui est censée fournir le principe de l'échange marchand. D'où il ressort qu'on ne saurait concevoir, dans bien des cas, la coopération entre les individus sans leur prêter une certaine autonomie ou capacité d'initiative.
Des qualités qui définissent les individus en opposition à l'agent réactif de la théorie économique, qui attend toujours que les contraintes de son environnement lui indiquent ce qu'il a de mieux à faire.
L'ouvrage se déroule comme une discussion autour du fameux dilemme du prisonnier. Ce jeu permet, en effet, d'organiser une confrontation entre les principes d'action à l'ouvre dans la réciprocité archaïque - le don-contredon - et la rationalité économique qui est censée fournir le principe de l'échange marchand. D'où il ressort qu'on ne saurait concevoir, dans bien des cas, la coopération entre les individus sans leur prêter une certaine autonomie ou capacité d'initiative.
Des qualités qui définissent les individus en opposition à l'agent réactif de la théorie économique, qui attend toujours que les contraintes de son environnement lui indiquent ce qu'il a de mieux à faire.
La coopération peut-elle émerger spontanément entre des individus égoïstes gouvernés uniquement par la rationalité économique ? Cette question traverse toute la théorie économique depuis ses origines et se trouve renouvelée par les développements récents de la théorie des jeux. La thèse défendue par Laurent Cordonnier est que les conditions à réunir pour fournir une réponse affirmative à cette question, sont si exigeantes qu'il convient d'envisager d'amender la figure de l'homo oconomicus si l'on tient à faire place à la possibilité de l'émergence de la coopération, même dans les situations économiques les plus simples, tel l'échange de deux biens entre deux individus.
L'ouvrage se déroule comme une discussion autour du fameux dilemme du prisonnier. Ce jeu permet, en effet, d'organiser une confrontation entre les principes d'action à l'ouvre dans la réciprocité archaïque - le don-contredon - et la rationalité économique qui est censée fournir le principe de l'échange marchand. D'où il ressort qu'on ne saurait concevoir, dans bien des cas, la coopération entre les individus sans leur prêter une certaine autonomie ou capacité d'initiative.
Des qualités qui définissent les individus en opposition à l'agent réactif de la théorie économique, qui attend toujours que les contraintes de son environnement lui indiquent ce qu'il a de mieux à faire.
L'ouvrage se déroule comme une discussion autour du fameux dilemme du prisonnier. Ce jeu permet, en effet, d'organiser une confrontation entre les principes d'action à l'ouvre dans la réciprocité archaïque - le don-contredon - et la rationalité économique qui est censée fournir le principe de l'échange marchand. D'où il ressort qu'on ne saurait concevoir, dans bien des cas, la coopération entre les individus sans leur prêter une certaine autonomie ou capacité d'initiative.
Des qualités qui définissent les individus en opposition à l'agent réactif de la théorie économique, qui attend toujours que les contraintes de son environnement lui indiquent ce qu'il a de mieux à faire.