CONTES ET VIOLENCE. Enfants et adultes face aux valeurs sous-jacentes du conte
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- Nombre de pages232
- FormatPDF
- ISBN2-13-072195-8
- EAN9782130721956
- Date de parution31/12/1998
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille46 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
La violence, phénomène de société et sujet de préoccupation très médiatisé, doit-elle toujours faire peur ? Quand il s'agit des enfants et de leur éducation, la tentation est grande de protéger leur regard de toute violence. au risque de ne pas les préparer à y faire face. Mais sait-on vraiment ce qu'en pensent les enfants eux-mêmes ? Ont-ils si peur de la violence, qu'ils ne puissent voir qu'elle est parfois nécessaire ? L'hypothèse de ce travail va en sens inverse : parions que ce sont les éducateurs, plus que les élèves, qui ont peur.
Pour sonder les réactions des uns et des autres, un conte de Grimm, « Jean-le-fidèle », où un père est amené à sacrifier ses enfants par fidélité à un serviteur, a été raconté dans des classes. Un dialogue a ensuite eu lieu, portant - notamment - sur les valeurs sous-jacentes du conte, au-delà de la violence. Les réponses obtenues sont souvent surprenantes. Pour éclairer les perspectives ouvertes par cette enquête, une approche plus théorique est d'abord proposée.
Elle consiste à savoir, d'une part, quel lien peut être pensé entre les contes et la violence, d'autre part, quelle logique suivent les valeurs morales et la violence elle-même à l'intérieur du conte choisi pour ce travail, par une analyse originale du destin des valeurs dans le récit. Tout éducateur, parent autant qu'enseignant, peut réfléchir sur les réponses culturelles que réclame le phénomène de la violence.
Pour sonder les réactions des uns et des autres, un conte de Grimm, « Jean-le-fidèle », où un père est amené à sacrifier ses enfants par fidélité à un serviteur, a été raconté dans des classes. Un dialogue a ensuite eu lieu, portant - notamment - sur les valeurs sous-jacentes du conte, au-delà de la violence. Les réponses obtenues sont souvent surprenantes. Pour éclairer les perspectives ouvertes par cette enquête, une approche plus théorique est d'abord proposée.
Elle consiste à savoir, d'une part, quel lien peut être pensé entre les contes et la violence, d'autre part, quelle logique suivent les valeurs morales et la violence elle-même à l'intérieur du conte choisi pour ce travail, par une analyse originale du destin des valeurs dans le récit. Tout éducateur, parent autant qu'enseignant, peut réfléchir sur les réponses culturelles que réclame le phénomène de la violence.
La violence, phénomène de société et sujet de préoccupation très médiatisé, doit-elle toujours faire peur ? Quand il s'agit des enfants et de leur éducation, la tentation est grande de protéger leur regard de toute violence. au risque de ne pas les préparer à y faire face. Mais sait-on vraiment ce qu'en pensent les enfants eux-mêmes ? Ont-ils si peur de la violence, qu'ils ne puissent voir qu'elle est parfois nécessaire ? L'hypothèse de ce travail va en sens inverse : parions que ce sont les éducateurs, plus que les élèves, qui ont peur.
Pour sonder les réactions des uns et des autres, un conte de Grimm, « Jean-le-fidèle », où un père est amené à sacrifier ses enfants par fidélité à un serviteur, a été raconté dans des classes. Un dialogue a ensuite eu lieu, portant - notamment - sur les valeurs sous-jacentes du conte, au-delà de la violence. Les réponses obtenues sont souvent surprenantes. Pour éclairer les perspectives ouvertes par cette enquête, une approche plus théorique est d'abord proposée.
Elle consiste à savoir, d'une part, quel lien peut être pensé entre les contes et la violence, d'autre part, quelle logique suivent les valeurs morales et la violence elle-même à l'intérieur du conte choisi pour ce travail, par une analyse originale du destin des valeurs dans le récit. Tout éducateur, parent autant qu'enseignant, peut réfléchir sur les réponses culturelles que réclame le phénomène de la violence.
Pour sonder les réactions des uns et des autres, un conte de Grimm, « Jean-le-fidèle », où un père est amené à sacrifier ses enfants par fidélité à un serviteur, a été raconté dans des classes. Un dialogue a ensuite eu lieu, portant - notamment - sur les valeurs sous-jacentes du conte, au-delà de la violence. Les réponses obtenues sont souvent surprenantes. Pour éclairer les perspectives ouvertes par cette enquête, une approche plus théorique est d'abord proposée.
Elle consiste à savoir, d'une part, quel lien peut être pensé entre les contes et la violence, d'autre part, quelle logique suivent les valeurs morales et la violence elle-même à l'intérieur du conte choisi pour ce travail, par une analyse originale du destin des valeurs dans le récit. Tout éducateur, parent autant qu'enseignant, peut réfléchir sur les réponses culturelles que réclame le phénomène de la violence.