Conquérants & chroniqueurs espagnols en pays Maya (1517-1697). Découvertes
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- Nombre de pages512
- FormatePub
- ISBN978-2-251-91192-2
- EAN9782251911922
- Date de parution27/04/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
Résumé
« Francisco Hernández de Córdoba fut nommé chef de l'expédition [...] il s'en alla donner dans une terre inconnue que les nôtres n'avaient pas encore découverte. Il y avait là des marais salants, situés près d'un cap qu'il appela Cap des Femmes parce qu'il y trouva des tours de pierre avec des gradins au sommet desquelles il y avait des chapelles couvertes de bois et de paille contenant des idoles bien rangées qui présentaient un aspect féminin.
Les Espagnols s'émerveillèrent devant ces édifices de pierre tels qu'ils n'en avaient jamais rencontrés jusqu'alors, ainsi qu'à la vue des habitants qui étaient richement et élégamment vêtus de petites chemises et de capes de coton, blanches ou colorées, et qui se paraient de plumages, de boucles d'oreille, de broches et de bijoux d'or et d'argent. [...] Poussant plus avant, les Espagnols rencontrèrent des hommes qui, lorsqu'il leur fut demandé quel était le nom du gros village situé près de là, répondirent tectetan, ce qui signifie « je ne vous comprends pas ».
Les Espagnols pensèrent que tel était le nom de ce lieu et, déformant le mot, l'appelèrent Yucatán, qui lui est toujours resté. » (Francisco Lopez de Gómara, Histoire générale des Indes) À travers les témoignages des grands conquérants et chroniqueurs espagnols du XVIe siècle comme Cortés, Bernal Díaz del Castillo, Gómara, Oviedo, Diego de Landa ou Bartolomé de Las Casas - pour certains traduits pour la première fois en français -, François Baldy nous fait revivre les grandes découvertes et surtout celle du Yucatán (1517-1519).
Les Espagnols s'émerveillèrent devant ces édifices de pierre tels qu'ils n'en avaient jamais rencontrés jusqu'alors, ainsi qu'à la vue des habitants qui étaient richement et élégamment vêtus de petites chemises et de capes de coton, blanches ou colorées, et qui se paraient de plumages, de boucles d'oreille, de broches et de bijoux d'or et d'argent. [...] Poussant plus avant, les Espagnols rencontrèrent des hommes qui, lorsqu'il leur fut demandé quel était le nom du gros village situé près de là, répondirent tectetan, ce qui signifie « je ne vous comprends pas ».
Les Espagnols pensèrent que tel était le nom de ce lieu et, déformant le mot, l'appelèrent Yucatán, qui lui est toujours resté. » (Francisco Lopez de Gómara, Histoire générale des Indes) À travers les témoignages des grands conquérants et chroniqueurs espagnols du XVIe siècle comme Cortés, Bernal Díaz del Castillo, Gómara, Oviedo, Diego de Landa ou Bartolomé de Las Casas - pour certains traduits pour la première fois en français -, François Baldy nous fait revivre les grandes découvertes et surtout celle du Yucatán (1517-1519).
« Francisco Hernández de Córdoba fut nommé chef de l'expédition [...] il s'en alla donner dans une terre inconnue que les nôtres n'avaient pas encore découverte. Il y avait là des marais salants, situés près d'un cap qu'il appela Cap des Femmes parce qu'il y trouva des tours de pierre avec des gradins au sommet desquelles il y avait des chapelles couvertes de bois et de paille contenant des idoles bien rangées qui présentaient un aspect féminin.
Les Espagnols s'émerveillèrent devant ces édifices de pierre tels qu'ils n'en avaient jamais rencontrés jusqu'alors, ainsi qu'à la vue des habitants qui étaient richement et élégamment vêtus de petites chemises et de capes de coton, blanches ou colorées, et qui se paraient de plumages, de boucles d'oreille, de broches et de bijoux d'or et d'argent. [...] Poussant plus avant, les Espagnols rencontrèrent des hommes qui, lorsqu'il leur fut demandé quel était le nom du gros village situé près de là, répondirent tectetan, ce qui signifie « je ne vous comprends pas ».
Les Espagnols pensèrent que tel était le nom de ce lieu et, déformant le mot, l'appelèrent Yucatán, qui lui est toujours resté. » (Francisco Lopez de Gómara, Histoire générale des Indes) À travers les témoignages des grands conquérants et chroniqueurs espagnols du XVIe siècle comme Cortés, Bernal Díaz del Castillo, Gómara, Oviedo, Diego de Landa ou Bartolomé de Las Casas - pour certains traduits pour la première fois en français -, François Baldy nous fait revivre les grandes découvertes et surtout celle du Yucatán (1517-1519).
Les Espagnols s'émerveillèrent devant ces édifices de pierre tels qu'ils n'en avaient jamais rencontrés jusqu'alors, ainsi qu'à la vue des habitants qui étaient richement et élégamment vêtus de petites chemises et de capes de coton, blanches ou colorées, et qui se paraient de plumages, de boucles d'oreille, de broches et de bijoux d'or et d'argent. [...] Poussant plus avant, les Espagnols rencontrèrent des hommes qui, lorsqu'il leur fut demandé quel était le nom du gros village situé près de là, répondirent tectetan, ce qui signifie « je ne vous comprends pas ».
Les Espagnols pensèrent que tel était le nom de ce lieu et, déformant le mot, l'appelèrent Yucatán, qui lui est toujours resté. » (Francisco Lopez de Gómara, Histoire générale des Indes) À travers les témoignages des grands conquérants et chroniqueurs espagnols du XVIe siècle comme Cortés, Bernal Díaz del Castillo, Gómara, Oviedo, Diego de Landa ou Bartolomé de Las Casas - pour certains traduits pour la première fois en français -, François Baldy nous fait revivre les grandes découvertes et surtout celle du Yucatán (1517-1519).