Condition ouvrière et intégration sociale
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- Nombre de pages254
- FormatPDF
- ISBN2-7082-5159-7
- EAN9782708251595
- Date de parution01/01/1967
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille60 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurÉditions de l'Atelier (réédition...
Résumé
Plus de dix ans d'expansion économique et de progrès technique sont-ils parvenus à modifier les conditions de vie des ouvriers ? C'est ce qu'a cherché à savoir l'auteur en menant cette enquête auprès d'ouvriers de la banlieue parisienne. L'analyse psycho-sociologique des comportements et des attitudes observés met en évidence une confrontation entre deux échelles de besoins, d'aspirations et de valeurs qui supposent deux modes de vie différents.
La première, l'ancienne, se fonde sur la solidarité collective et sous-entend des valeurs telles que la coopération, l'entraide, etc. ; la seconde, la nouvelle, provient du système capitaliste en expansion et propose des valeurs telles que la consommation de masse, le profit, l'argent. En dépit des hésitations à opter pour l'un ou l'autre de ces systèmes, cette confrontation n'a pas bouleversé fondamentalement l'ancien mode de vie.
La persistance des valeurs traditionnelles en milieu ouvrier est due en partie au fait que le système social et économique prévalant dans la société contemporaine rejette encore à l'extérieur le groupe des ouvriers. Ainsi, ces dix ans d'expansion économique et de progrès technique ne sont pas parvenus à changer la position traditionnelle des ouvriers au bas de la structure sociale et leur manque de participation réelle à cette évolution les maintient dans une position marginale.
La première, l'ancienne, se fonde sur la solidarité collective et sous-entend des valeurs telles que la coopération, l'entraide, etc. ; la seconde, la nouvelle, provient du système capitaliste en expansion et propose des valeurs telles que la consommation de masse, le profit, l'argent. En dépit des hésitations à opter pour l'un ou l'autre de ces systèmes, cette confrontation n'a pas bouleversé fondamentalement l'ancien mode de vie.
La persistance des valeurs traditionnelles en milieu ouvrier est due en partie au fait que le système social et économique prévalant dans la société contemporaine rejette encore à l'extérieur le groupe des ouvriers. Ainsi, ces dix ans d'expansion économique et de progrès technique ne sont pas parvenus à changer la position traditionnelle des ouvriers au bas de la structure sociale et leur manque de participation réelle à cette évolution les maintient dans une position marginale.
Plus de dix ans d'expansion économique et de progrès technique sont-ils parvenus à modifier les conditions de vie des ouvriers ? C'est ce qu'a cherché à savoir l'auteur en menant cette enquête auprès d'ouvriers de la banlieue parisienne. L'analyse psycho-sociologique des comportements et des attitudes observés met en évidence une confrontation entre deux échelles de besoins, d'aspirations et de valeurs qui supposent deux modes de vie différents.
La première, l'ancienne, se fonde sur la solidarité collective et sous-entend des valeurs telles que la coopération, l'entraide, etc. ; la seconde, la nouvelle, provient du système capitaliste en expansion et propose des valeurs telles que la consommation de masse, le profit, l'argent. En dépit des hésitations à opter pour l'un ou l'autre de ces systèmes, cette confrontation n'a pas bouleversé fondamentalement l'ancien mode de vie.
La persistance des valeurs traditionnelles en milieu ouvrier est due en partie au fait que le système social et économique prévalant dans la société contemporaine rejette encore à l'extérieur le groupe des ouvriers. Ainsi, ces dix ans d'expansion économique et de progrès technique ne sont pas parvenus à changer la position traditionnelle des ouvriers au bas de la structure sociale et leur manque de participation réelle à cette évolution les maintient dans une position marginale.
La première, l'ancienne, se fonde sur la solidarité collective et sous-entend des valeurs telles que la coopération, l'entraide, etc. ; la seconde, la nouvelle, provient du système capitaliste en expansion et propose des valeurs telles que la consommation de masse, le profit, l'argent. En dépit des hésitations à opter pour l'un ou l'autre de ces systèmes, cette confrontation n'a pas bouleversé fondamentalement l'ancien mode de vie.
La persistance des valeurs traditionnelles en milieu ouvrier est due en partie au fait que le système social et économique prévalant dans la société contemporaine rejette encore à l'extérieur le groupe des ouvriers. Ainsi, ces dix ans d'expansion économique et de progrès technique ne sont pas parvenus à changer la position traditionnelle des ouvriers au bas de la structure sociale et leur manque de participation réelle à cette évolution les maintient dans une position marginale.