Comptines de la peine d'aimer

Par : Marie-Noëlle Clöes, Jean Poilvet le Guenn

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  • Nombre de pages36
  • FormatePub
  • ISBN2-307-28535-0
  • EAN9782307285359
  • Date de parution01/01/1963
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille543 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Jean...

Résumé

Que Marie-Noëlle Clöes souhaite que riment les soleils et les villes, ce qui est bien plus ambitieux que de vouloir faire rimer les mots, ou même le rêve avec la raison, ou qu'elle entende le ciel chanter ces mêmes refrains éternels que sont les chansons des blés, qu'elle évoque la feuille qui tombe, rougie comme un début d'amour, s'attarde au souvenir d'un petit bistrot de solitude, ou d'un ange qui a perdu ses ailes, sa ceinture et ses amours, et provoque - pour se défendre d'aimer - mille démons, mille sorcières, mille baisers, mille chimères, les refrains et les rengaines des comptines de son enfance semblent ressurgir de son inconscient, pour donner le ton à ses poèmes.
Mais ces comptines n'ont plus la naïveté sans apprêt des rondes qu'elles scandaient, le poète a ensorcelé son enjeu et les premières atteintes de la vie en ont adultéré l'innocence : ce sont des comptines pour grandes personnes, dans l'âme desquelles les mots sont des passants mystérieux, dont le sourire équivoque évoque tout ce qui est à jamais perdu, comme tout ce qui pourrait être encore gagné et ne le sera peut-être jamais.
Que Marie-Noëlle Clöes souhaite que riment les soleils et les villes, ce qui est bien plus ambitieux que de vouloir faire rimer les mots, ou même le rêve avec la raison, ou qu'elle entende le ciel chanter ces mêmes refrains éternels que sont les chansons des blés, qu'elle évoque la feuille qui tombe, rougie comme un début d'amour, s'attarde au souvenir d'un petit bistrot de solitude, ou d'un ange qui a perdu ses ailes, sa ceinture et ses amours, et provoque - pour se défendre d'aimer - mille démons, mille sorcières, mille baisers, mille chimères, les refrains et les rengaines des comptines de son enfance semblent ressurgir de son inconscient, pour donner le ton à ses poèmes.
Mais ces comptines n'ont plus la naïveté sans apprêt des rondes qu'elles scandaient, le poète a ensorcelé son enjeu et les premières atteintes de la vie en ont adultéré l'innocence : ce sont des comptines pour grandes personnes, dans l'âme desquelles les mots sont des passants mystérieux, dont le sourire équivoque évoque tout ce qui est à jamais perdu, comme tout ce qui pourrait être encore gagné et ne le sera peut-être jamais.
Comptines de la peine d'aimer
Marie-Noëlle Clöes, Jean Poilvet le Guenn
E-book
4,99 €