Communiquer l'information scientifique. Ethique du journalisme et stratégies des organisations
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- Nombre de pages392
- FormatPDF
- ISBN2-296-32598-X
- EAN9782296325982
- Date de parution01/07/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Longtemps réservée à une élite, qui en était à la fois l'émetteur et le récepteur, La communication de l'information scientifique s'adresse aujourd'hui au grand public. Ce dernier apparaît ainsi de plus en plus sollicité par des messages médiatiques et institutionnels. Ceux-ci sont diffusés par des moyens désormais classiques (presse, campagnes publicitaires, musées, écoles, centres spécialisés...) mais aussi des dispositifs innovants liés aux réseaux numériques.
Les supports se diversifient. La quantité d'information scientifique aujourd'hui reçue par le citoyen croit en proportion. Serait-on donc passé d'une situation de pénurie à une situation inédite de saturation de l'espace public ? Oui et non. Si l'on doit se réjouir de nombreux progrès réalisés dans le domaine de la vulgarisation, une nouvelle écologie des signes s'impose. Car la surabondance actuelle ne se traduit pas nécessairement pas une réduction de l'incertitude et une meilleure compréhension des phénomènes scientifiques.
Bien au contraire, elle suscite souvent la multiplication de simplifications, de redondances et de malentendus. De récentes controverses caricaturales au sujet des catastrophes climatiques, de la sécurité alimentaire ou de la génétique en témoignent : nous demeurons loin d'une meilleure intelligence de la complexité. Dès lors, aucun changement de modèle d'information scientifique ne pourra émerger sans une implication forte des acteurs de sa médiation.
En premier lieu, les journalistes quelle marge de manœuvre reste-t-il à un médiateur socialement habilité à produire une information éthique d'intérêt général soumise à un régime de vérité, face à la prolifération croissante d'informations stratégiques au service d'intérêts particuliers de certaines organisations déterminées par des critères d'efficacité ? Mais la réflexion éthique ne doit pas rester l'apanage des seuls journalistes : sont également visés les pédagogues, les services de communication des institutions, les élus, les associations,...
et les scientifiques eux-mêmes. Cet ouvrage s'adresse en premier lieu aux étudiants, enseignants, documentalistes et professionnels de L'information et de la communication scientifiques. Se sentiront également concernés tous les citoyens soucieux de faire rimer science avec conscience.
Les supports se diversifient. La quantité d'information scientifique aujourd'hui reçue par le citoyen croit en proportion. Serait-on donc passé d'une situation de pénurie à une situation inédite de saturation de l'espace public ? Oui et non. Si l'on doit se réjouir de nombreux progrès réalisés dans le domaine de la vulgarisation, une nouvelle écologie des signes s'impose. Car la surabondance actuelle ne se traduit pas nécessairement pas une réduction de l'incertitude et une meilleure compréhension des phénomènes scientifiques.
Bien au contraire, elle suscite souvent la multiplication de simplifications, de redondances et de malentendus. De récentes controverses caricaturales au sujet des catastrophes climatiques, de la sécurité alimentaire ou de la génétique en témoignent : nous demeurons loin d'une meilleure intelligence de la complexité. Dès lors, aucun changement de modèle d'information scientifique ne pourra émerger sans une implication forte des acteurs de sa médiation.
En premier lieu, les journalistes quelle marge de manœuvre reste-t-il à un médiateur socialement habilité à produire une information éthique d'intérêt général soumise à un régime de vérité, face à la prolifération croissante d'informations stratégiques au service d'intérêts particuliers de certaines organisations déterminées par des critères d'efficacité ? Mais la réflexion éthique ne doit pas rester l'apanage des seuls journalistes : sont également visés les pédagogues, les services de communication des institutions, les élus, les associations,...
et les scientifiques eux-mêmes. Cet ouvrage s'adresse en premier lieu aux étudiants, enseignants, documentalistes et professionnels de L'information et de la communication scientifiques. Se sentiront également concernés tous les citoyens soucieux de faire rimer science avec conscience.
Longtemps réservée à une élite, qui en était à la fois l'émetteur et le récepteur, La communication de l'information scientifique s'adresse aujourd'hui au grand public. Ce dernier apparaît ainsi de plus en plus sollicité par des messages médiatiques et institutionnels. Ceux-ci sont diffusés par des moyens désormais classiques (presse, campagnes publicitaires, musées, écoles, centres spécialisés...) mais aussi des dispositifs innovants liés aux réseaux numériques.
Les supports se diversifient. La quantité d'information scientifique aujourd'hui reçue par le citoyen croit en proportion. Serait-on donc passé d'une situation de pénurie à une situation inédite de saturation de l'espace public ? Oui et non. Si l'on doit se réjouir de nombreux progrès réalisés dans le domaine de la vulgarisation, une nouvelle écologie des signes s'impose. Car la surabondance actuelle ne se traduit pas nécessairement pas une réduction de l'incertitude et une meilleure compréhension des phénomènes scientifiques.
Bien au contraire, elle suscite souvent la multiplication de simplifications, de redondances et de malentendus. De récentes controverses caricaturales au sujet des catastrophes climatiques, de la sécurité alimentaire ou de la génétique en témoignent : nous demeurons loin d'une meilleure intelligence de la complexité. Dès lors, aucun changement de modèle d'information scientifique ne pourra émerger sans une implication forte des acteurs de sa médiation.
En premier lieu, les journalistes quelle marge de manœuvre reste-t-il à un médiateur socialement habilité à produire une information éthique d'intérêt général soumise à un régime de vérité, face à la prolifération croissante d'informations stratégiques au service d'intérêts particuliers de certaines organisations déterminées par des critères d'efficacité ? Mais la réflexion éthique ne doit pas rester l'apanage des seuls journalistes : sont également visés les pédagogues, les services de communication des institutions, les élus, les associations,...
et les scientifiques eux-mêmes. Cet ouvrage s'adresse en premier lieu aux étudiants, enseignants, documentalistes et professionnels de L'information et de la communication scientifiques. Se sentiront également concernés tous les citoyens soucieux de faire rimer science avec conscience.
Les supports se diversifient. La quantité d'information scientifique aujourd'hui reçue par le citoyen croit en proportion. Serait-on donc passé d'une situation de pénurie à une situation inédite de saturation de l'espace public ? Oui et non. Si l'on doit se réjouir de nombreux progrès réalisés dans le domaine de la vulgarisation, une nouvelle écologie des signes s'impose. Car la surabondance actuelle ne se traduit pas nécessairement pas une réduction de l'incertitude et une meilleure compréhension des phénomènes scientifiques.
Bien au contraire, elle suscite souvent la multiplication de simplifications, de redondances et de malentendus. De récentes controverses caricaturales au sujet des catastrophes climatiques, de la sécurité alimentaire ou de la génétique en témoignent : nous demeurons loin d'une meilleure intelligence de la complexité. Dès lors, aucun changement de modèle d'information scientifique ne pourra émerger sans une implication forte des acteurs de sa médiation.
En premier lieu, les journalistes quelle marge de manœuvre reste-t-il à un médiateur socialement habilité à produire une information éthique d'intérêt général soumise à un régime de vérité, face à la prolifération croissante d'informations stratégiques au service d'intérêts particuliers de certaines organisations déterminées par des critères d'efficacité ? Mais la réflexion éthique ne doit pas rester l'apanage des seuls journalistes : sont également visés les pédagogues, les services de communication des institutions, les élus, les associations,...
et les scientifiques eux-mêmes. Cet ouvrage s'adresse en premier lieu aux étudiants, enseignants, documentalistes et professionnels de L'information et de la communication scientifiques. Se sentiront également concernés tous les citoyens soucieux de faire rimer science avec conscience.