Communardes ! - Nous ne dirons rien de leurs femelles
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- Nombre de pages56
- FormatEpub fixed layout
- ISBN978-2-331-01964-7
- EAN9782331019647
- Date de parution24/02/2016
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille44 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurVents d'Ouest
Résumé
La révolution n'est pas qu'une affaire d'hommes... Marie n'est pas une intellectuelle, ni une aristocrate, encore moins une militante. La Commune, elle aurait pu ne pas la vivre, et continuer à accumuler de la rancour et de l'amertume dans sa vie de servante, d'ouvrière à la journée. Seulement, la Commune est là et, avec elle, une occasion en or de régler les comptes, de laisser sortir enfin cette froide colère qui lui tord le ventre, de redresser la tête, de faire payer ceux qui ont fait de sa meilleure amie Eugénie : un fantôme dont le rire dément résonne dans une crypte de damnées.
La Commune promet que les lâches et les oppresseurs d'hier vont payer. Ça tombe bien, Marie en connaît quelques-uns. Et elle est prête à se salir les mains...
La Commune promet que les lâches et les oppresseurs d'hier vont payer. Ça tombe bien, Marie en connaît quelques-uns. Et elle est prête à se salir les mains...
La révolution n'est pas qu'une affaire d'hommes... Marie n'est pas une intellectuelle, ni une aristocrate, encore moins une militante. La Commune, elle aurait pu ne pas la vivre, et continuer à accumuler de la rancour et de l'amertume dans sa vie de servante, d'ouvrière à la journée. Seulement, la Commune est là et, avec elle, une occasion en or de régler les comptes, de laisser sortir enfin cette froide colère qui lui tord le ventre, de redresser la tête, de faire payer ceux qui ont fait de sa meilleure amie Eugénie : un fantôme dont le rire dément résonne dans une crypte de damnées.
La Commune promet que les lâches et les oppresseurs d'hier vont payer. Ça tombe bien, Marie en connaît quelques-uns. Et elle est prête à se salir les mains...
La Commune promet que les lâches et les oppresseurs d'hier vont payer. Ça tombe bien, Marie en connaît quelques-uns. Et elle est prête à se salir les mains...