Commissaire Marquanteur et l'organisation ZARGON : polar français
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- Nombre de pages100
- FormatePub
- ISBN978-3-7452-4103-7
- EAN9783745241037
- Date de parution10/05/2025
- Protection num.pas de protection
- Taille864 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlfredbooks
Résumé
Marseille s'est réveillée pour une nouvelle journée d'été, le soleil levant projetant de longues ombres sur la ville portuaire, baignant les maisons de pierre et la mer azur dans une lumière dorée. L'énergie vibrante de cette ville était quelque chose dont je ne m'étais jamais lassé malgré mes nombreuses années de service. Mais aujourd'hui, je n'ai pas eu le temps d'apprécier la beauté de la ville.
Aujourd'hui, François et moi avions du travail, un travail qui pourrait sauver notre ville d'un danger imminent. Il était près de 20 heures quand mon téléphone portable a sonné. La voix à l'autre bout appartenait à mon collègue et ami de longue date, François Leroc. "Pierre, on a un problème au vieux port. Tu devrais venir voir par toi-même". J'ai enfilé ma vieille veste en cuir, que j'avais portée lors d'innombrables missions, et je me suis mis en route.
Le Vieux-Port est le cour de Marseille. La nuit, c'était un lieu animé, éclairé par les bars et les cafés, mais le matin, il était calme et paisible. Et pourtant, quelque chose ne tournait pas rond aujourd'hui, je l'ai tout de suite senti.
Aujourd'hui, François et moi avions du travail, un travail qui pourrait sauver notre ville d'un danger imminent. Il était près de 20 heures quand mon téléphone portable a sonné. La voix à l'autre bout appartenait à mon collègue et ami de longue date, François Leroc. "Pierre, on a un problème au vieux port. Tu devrais venir voir par toi-même". J'ai enfilé ma vieille veste en cuir, que j'avais portée lors d'innombrables missions, et je me suis mis en route.
Le Vieux-Port est le cour de Marseille. La nuit, c'était un lieu animé, éclairé par les bars et les cafés, mais le matin, il était calme et paisible. Et pourtant, quelque chose ne tournait pas rond aujourd'hui, je l'ai tout de suite senti.
Marseille s'est réveillée pour une nouvelle journée d'été, le soleil levant projetant de longues ombres sur la ville portuaire, baignant les maisons de pierre et la mer azur dans une lumière dorée. L'énergie vibrante de cette ville était quelque chose dont je ne m'étais jamais lassé malgré mes nombreuses années de service. Mais aujourd'hui, je n'ai pas eu le temps d'apprécier la beauté de la ville.
Aujourd'hui, François et moi avions du travail, un travail qui pourrait sauver notre ville d'un danger imminent. Il était près de 20 heures quand mon téléphone portable a sonné. La voix à l'autre bout appartenait à mon collègue et ami de longue date, François Leroc. "Pierre, on a un problème au vieux port. Tu devrais venir voir par toi-même". J'ai enfilé ma vieille veste en cuir, que j'avais portée lors d'innombrables missions, et je me suis mis en route.
Le Vieux-Port est le cour de Marseille. La nuit, c'était un lieu animé, éclairé par les bars et les cafés, mais le matin, il était calme et paisible. Et pourtant, quelque chose ne tournait pas rond aujourd'hui, je l'ai tout de suite senti.
Aujourd'hui, François et moi avions du travail, un travail qui pourrait sauver notre ville d'un danger imminent. Il était près de 20 heures quand mon téléphone portable a sonné. La voix à l'autre bout appartenait à mon collègue et ami de longue date, François Leroc. "Pierre, on a un problème au vieux port. Tu devrais venir voir par toi-même". J'ai enfilé ma vieille veste en cuir, que j'avais portée lors d'innombrables missions, et je me suis mis en route.
Le Vieux-Port est le cour de Marseille. La nuit, c'était un lieu animé, éclairé par les bars et les cafés, mais le matin, il était calme et paisible. Et pourtant, quelque chose ne tournait pas rond aujourd'hui, je l'ai tout de suite senti.