Commissaire Marquanteur et l'architecte de la mort : France polar

Par : Alfred Bekker
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  • Nombre de pages100
  • FormatePub
  • ISBN978-3-7452-4244-7
  • EAN9783745242447
  • Date de parution24/07/2025
  • Protection num.pas de protection
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlfredbooks

Résumé

C'était un de ces matins où l'air au-dessus de Marseille était recouvert d'un mince voile de poussière et de sel. Le soleil n'avait pas encore décidé s'il allait commencer la journée en brillant ou dans la brume. Je me tenais à la fenêtre de mon bureau au commissariat central de La Canebière, mon premier café de la journée à la main, et j'observais la vie qui s'animait lentement dehors. La ville était comme moi : elle avait besoin de temps pour se mettre en route. Je m'appelle Pierre Marquanteur, commissaire de la FoPoCri - la Force de Police Criminelle - de Marseille.
La plupart des gens m'appellent simplement Marquanteur, et je préfère ainsi. Dans cette ville, les titres ne sont que de la poudre aux yeux. Ce qui compte, c'est ce que vous faites quand il le faut. Ce matin-là, j'étais arrivé tôt au bureau. Trop tôt, selon mon collègue François Leroc, qui fit irruption avec un sac de croissants et une chemise froissée. « Vous n'êtes tout de même pas venu de votre plein gré avant huit heures, Pierre ? » demanda-t-il en se laissant tomber sur la chaise en face de mon bureau. « Le sommeil est surestimé », ai-je murmuré en prenant une gorgée de café.
« De plus, Marteau a appelé. Il veut nous voir immédiatement. »
C'était un de ces matins où l'air au-dessus de Marseille était recouvert d'un mince voile de poussière et de sel. Le soleil n'avait pas encore décidé s'il allait commencer la journée en brillant ou dans la brume. Je me tenais à la fenêtre de mon bureau au commissariat central de La Canebière, mon premier café de la journée à la main, et j'observais la vie qui s'animait lentement dehors. La ville était comme moi : elle avait besoin de temps pour se mettre en route. Je m'appelle Pierre Marquanteur, commissaire de la FoPoCri - la Force de Police Criminelle - de Marseille.
La plupart des gens m'appellent simplement Marquanteur, et je préfère ainsi. Dans cette ville, les titres ne sont que de la poudre aux yeux. Ce qui compte, c'est ce que vous faites quand il le faut. Ce matin-là, j'étais arrivé tôt au bureau. Trop tôt, selon mon collègue François Leroc, qui fit irruption avec un sac de croissants et une chemise froissée. « Vous n'êtes tout de même pas venu de votre plein gré avant huit heures, Pierre ? » demanda-t-il en se laissant tomber sur la chaise en face de mon bureau. « Le sommeil est surestimé », ai-je murmuré en prenant une gorgée de café.
« De plus, Marteau a appelé. Il veut nous voir immédiatement. »