Commentaire sur les Vers d'or des pythagoriciens. Traité sur la providence

Par : Hiéroclès d'Alexandrie
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  • Nombre de pages336
  • FormatePub
  • ISBN978-2-251-90745-1
  • EAN9782251907451
  • Date de parution09/03/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLes Belles Lettres
  • TraducteurNoël Aujoulat
  • TraducteurAdrien Lecerf

Résumé

Le Commentaire sur les Vers d'or et le Traité sur la Providence sont deux exemples dignes d'intérêt des écrits des anciens néoplatoniciens. Le premier relève de la littérature exégétique et protreptique et donne l'explication, souvent ingénieuse, d'un court poème issu d'un milieu pythagoricien : il en fait un outil pour le progrès aussi bien moral qu'intellectuel de l'auditeur, en y identifiant des parties spéculatives sur les dieux, les démons et le destin de l'âme ainsi que des préceptes éthiques - sur l'amitié, le respect des parents, l'usage de la nourriture etc.
- destinés à accoutumer l'âme à la pureté et à l'assimiler aux dieux. Le second, connu uniquement par un résumé et des fragments, avait la forme d'une monographie indépendante en sept livres : l'auteur cherchait à y démontrer l'existence de la providence ou théodicée, son rapport au dogme de la réincarnation et sa coopération avec l'action humaine, mais aussi - contre toute attente - l'accord sur le sujet entre les textes sacrés d'Orphée et des Chaldéens, ainsi qu'entre Platon, Aristote et leur tradition philosophique authentique, par opposition tant aux « renégats » issus de l'Académie et du Péripatos, qu'aux philosophes ouvertement athées tels que les Épicuriens.
Le Commentaire sur les Vers d'or et le Traité sur la Providence sont deux exemples dignes d'intérêt des écrits des anciens néoplatoniciens. Le premier relève de la littérature exégétique et protreptique et donne l'explication, souvent ingénieuse, d'un court poème issu d'un milieu pythagoricien : il en fait un outil pour le progrès aussi bien moral qu'intellectuel de l'auditeur, en y identifiant des parties spéculatives sur les dieux, les démons et le destin de l'âme ainsi que des préceptes éthiques - sur l'amitié, le respect des parents, l'usage de la nourriture etc.
- destinés à accoutumer l'âme à la pureté et à l'assimiler aux dieux. Le second, connu uniquement par un résumé et des fragments, avait la forme d'une monographie indépendante en sept livres : l'auteur cherchait à y démontrer l'existence de la providence ou théodicée, son rapport au dogme de la réincarnation et sa coopération avec l'action humaine, mais aussi - contre toute attente - l'accord sur le sujet entre les textes sacrés d'Orphée et des Chaldéens, ainsi qu'entre Platon, Aristote et leur tradition philosophique authentique, par opposition tant aux « renégats » issus de l'Académie et du Péripatos, qu'aux philosophes ouvertement athées tels que les Épicuriens.