Commentaire de Thomas d'Aquin. Tome 1 : Physiques d'Aristote

Par : Guy-François Delaporte

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  • Nombre de pages310
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-20535-2
  • EAN9782296205352
  • Date de parution01/09/2008
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille11 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Pour la première fois en langue française, la traduction du Commentaire des huit livres des Physiques d'Aristote de Thomas d'Aquin, offre la quintessence de ce qu'on a appelé l' " aristotélo-thomisme ". Encore méconnue des spécialistes d'Aristote, l'œuvre constitue pourtant le sommet qui domine toute la tradition philosophique antique et médiévale. Traversant les aléas critiques du modernisme et du scientisme des trois derniers siècles, ce commentaire brille d'une actualité renouvelée grâce à l'évolution des sciences physiques et humaines les plus récentes, avec lesquelles il est étonnamment en accord.
Les Leçons sur la Nature (autre titre du livre) d'Aristote sont le porche d'entrée pour quiconque veut approfondir la philosophie et en vivre. Le métaphysicien reçoit d'elles le modèle méthodologique et l'assise conceptuelle pour sa contemplation ; le moraliste en hérite les principes d'une éthique rationnelle et sociale ; le théologien y puise les fondements naturels de sa discipline. En détachant le contenu philosophique de son apparat méthodologique, cette traduction met singulièrement l'un et l'autre en relief.
La densité de réflexion se voit ainsi libérée des nombreuses coupures techniques, pour permettre une lecture ininterrompue, tandis que l'ordre de progression, dont Thomas d'Aquin avait un tel souci, est exhaussé pour lui-même. L'ensemble se veut donc autant une œuvre de méditation qu'un instrument de travail.
Pour la première fois en langue française, la traduction du Commentaire des huit livres des Physiques d'Aristote de Thomas d'Aquin, offre la quintessence de ce qu'on a appelé l' " aristotélo-thomisme ". Encore méconnue des spécialistes d'Aristote, l'œuvre constitue pourtant le sommet qui domine toute la tradition philosophique antique et médiévale. Traversant les aléas critiques du modernisme et du scientisme des trois derniers siècles, ce commentaire brille d'une actualité renouvelée grâce à l'évolution des sciences physiques et humaines les plus récentes, avec lesquelles il est étonnamment en accord.
Les Leçons sur la Nature (autre titre du livre) d'Aristote sont le porche d'entrée pour quiconque veut approfondir la philosophie et en vivre. Le métaphysicien reçoit d'elles le modèle méthodologique et l'assise conceptuelle pour sa contemplation ; le moraliste en hérite les principes d'une éthique rationnelle et sociale ; le théologien y puise les fondements naturels de sa discipline. En détachant le contenu philosophique de son apparat méthodologique, cette traduction met singulièrement l'un et l'autre en relief.
La densité de réflexion se voit ainsi libérée des nombreuses coupures techniques, pour permettre une lecture ininterrompue, tandis que l'ordre de progression, dont Thomas d'Aquin avait un tel souci, est exhaussé pour lui-même. L'ensemble se veut donc autant une œuvre de méditation qu'un instrument de travail.