Comment meurt une démocratie. La fin de la République de Weimar et l'ascension d'Hitler
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- Nombre de pages512
- FormatePub
- ISBN978-2-8100-1070-7
- EAN9782810010707
- Date de parution02/02/2022
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille962 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurL'artilleur
Résumé
On entend souvent dire qu'Hitler et les nazis sont arrivés au pouvoir par la voie des urnes, en emportant légalement la majorité des suffrages. Or, cette affirmation est fausse. Depuis sa création et pendant toute la durée de la république de Weimar, le parti nazi n'a jamais remporté plus de 37% des voix. Et lorsqu'Hitler fut appelé au poste de chancelier par le président Hindenburg, son parti venait de perdre des sièges au Reichstag au scrutin de novembre 1932.
Que s'est-il donc passé pour que le « caporal bohémien » ait pu prendre le pouvoir de façon démocratique dans les mois qui ont suivi ? C'est ce qu'étudie ici Benjamin Carter Hett dans une enquête précise, vivante et souvent sidérante. Il se penche en particulier sur les manouvres des partis de droite pour instrumentaliser les nazis et relève pour la première fois ce que fut l'impact de la mondialisation sur l'économie allemande de l'aprèsguerre.
Du rôle de la classe moyenne protestante à celui du patronat, il n'élude aucun angle mort et donne une version de la chute de la République bien différente du récit historique habituel. Une histoire qui pourrait avoir des résonances troublantes pour notre époque où la démocratie se retrouve parfois en difficulté et où le chant des sirènes des « hommes forts » retentit de plus en plus souvent.
Que s'est-il donc passé pour que le « caporal bohémien » ait pu prendre le pouvoir de façon démocratique dans les mois qui ont suivi ? C'est ce qu'étudie ici Benjamin Carter Hett dans une enquête précise, vivante et souvent sidérante. Il se penche en particulier sur les manouvres des partis de droite pour instrumentaliser les nazis et relève pour la première fois ce que fut l'impact de la mondialisation sur l'économie allemande de l'aprèsguerre.
Du rôle de la classe moyenne protestante à celui du patronat, il n'élude aucun angle mort et donne une version de la chute de la République bien différente du récit historique habituel. Une histoire qui pourrait avoir des résonances troublantes pour notre époque où la démocratie se retrouve parfois en difficulté et où le chant des sirènes des « hommes forts » retentit de plus en plus souvent.
On entend souvent dire qu'Hitler et les nazis sont arrivés au pouvoir par la voie des urnes, en emportant légalement la majorité des suffrages. Or, cette affirmation est fausse. Depuis sa création et pendant toute la durée de la république de Weimar, le parti nazi n'a jamais remporté plus de 37% des voix. Et lorsqu'Hitler fut appelé au poste de chancelier par le président Hindenburg, son parti venait de perdre des sièges au Reichstag au scrutin de novembre 1932.
Que s'est-il donc passé pour que le « caporal bohémien » ait pu prendre le pouvoir de façon démocratique dans les mois qui ont suivi ? C'est ce qu'étudie ici Benjamin Carter Hett dans une enquête précise, vivante et souvent sidérante. Il se penche en particulier sur les manouvres des partis de droite pour instrumentaliser les nazis et relève pour la première fois ce que fut l'impact de la mondialisation sur l'économie allemande de l'aprèsguerre.
Du rôle de la classe moyenne protestante à celui du patronat, il n'élude aucun angle mort et donne une version de la chute de la République bien différente du récit historique habituel. Une histoire qui pourrait avoir des résonances troublantes pour notre époque où la démocratie se retrouve parfois en difficulté et où le chant des sirènes des « hommes forts » retentit de plus en plus souvent.
Que s'est-il donc passé pour que le « caporal bohémien » ait pu prendre le pouvoir de façon démocratique dans les mois qui ont suivi ? C'est ce qu'étudie ici Benjamin Carter Hett dans une enquête précise, vivante et souvent sidérante. Il se penche en particulier sur les manouvres des partis de droite pour instrumentaliser les nazis et relève pour la première fois ce que fut l'impact de la mondialisation sur l'économie allemande de l'aprèsguerre.
Du rôle de la classe moyenne protestante à celui du patronat, il n'élude aucun angle mort et donne une version de la chute de la République bien différente du récit historique habituel. Une histoire qui pourrait avoir des résonances troublantes pour notre époque où la démocratie se retrouve parfois en difficulté et où le chant des sirènes des « hommes forts » retentit de plus en plus souvent.