Cohabiter l'espace public. Conflits d'appropriation et rapports de pouvoir à Montréal et Paris

Par : Antonin Margier

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages198
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7535-8134-0
  • EAN9782753581340
  • Date de parution19/06/2020
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Rennes

Résumé

En s'appuyant sur l'observation de conflits d'appropriation au sein du Village Shaugnessy à Montréal et de la Goutte d'Or à Paris, cet ouvrage interroge les logiques qui organisent la régulation des espaces publics dans des quartiers péricentraux et à vocation résidentielle. À travers des réflexions mêlant géographie sociale, études urbaines et philosophie, l'auteur propose d'analyser ces conflits au prisme de l' « habiter », du chez-soi.
Au-delà des injonctions au vivre-ensemble, il invite ainsi à repenser la cohabitation comme l'élaboration d'un sentiment d'appartenance partagé.
En s'appuyant sur l'observation de conflits d'appropriation au sein du Village Shaugnessy à Montréal et de la Goutte d'Or à Paris, cet ouvrage interroge les logiques qui organisent la régulation des espaces publics dans des quartiers péricentraux et à vocation résidentielle. À travers des réflexions mêlant géographie sociale, études urbaines et philosophie, l'auteur propose d'analyser ces conflits au prisme de l' « habiter », du chez-soi.
Au-delà des injonctions au vivre-ensemble, il invite ainsi à repenser la cohabitation comme l'élaboration d'un sentiment d'appartenance partagé.