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- FormatePub
- ISBN978-2-35973-458-4
- EAN9782359734584
- Date de parution14/07/2017
- Protection num.pas de protection
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurRavet-Anceau
Résumé
Nouvelle vie pour Jean Lejambier. Fini la police lilloise, l'ex-lieutenant ouvre une agence de détective privé à Tournai. Première mission pour l'ancien flic : retrouver Jennyfer, une Roubaisienne de dix-huit disparue un mois auparavant. Il ne lui faut pas longtemps pour la rattraper. Surprise : la jeune fille est désormais membre d'un réseau de clandestins régi par la mafia albanaise. Le lendemain de leur rencontre, Jennyfer est retrouvée au fond de la Deûle.
Une balle dans la tête. Dès lors, Jean ne cessera d'être traqué par de mystérieux sbires. Que diable est-il allé faire dans cette galère ?EXTRAITLa gamine, très occupée à mettre des gros cubes en plastique dans sa bouche, ne prêtait aucune attention à ce qui se passait autour d'elle. Jean se baissa, la prit dans ses bras et la mit en face de sa mère. La petite sourit, écarta les bras et Pepper la serra contre elle, mais Amaryllis réclama bien vite d'aller sur le tapis continuer à jouer.- Ton père a appelé, nous devrions manger chez eux ce dimanche.- Non, je n'en ai pas envie.- Pepper, sois un peu raisonnable, ça fait trois semaines qu'ils n'ont pas vu leur petite-fille.- Je n'ai pas envie de les voir, ils m'ennuient, c'était avant qu'il aurait fallu être présents.- Bon, j'irai seul avec la petite alors.- C'est hors de question, je te l'interdis.
Jean regarda à travers la grande baie vitrée, il commençait à pleuvoir. D'un seul coup, le grésil frappa les fenêtres. L'hiver s'annonçait en avance. Les parents de Jean étant disparus, il ne comprenait pas l'attitude de sa compagne avec les siens.- Pepper, je m'ennuie. Elle fut décontenancée par cette réponse. Elle voyait bien que cela n'allait plus ces temps-ci, Jean avait été patient pendant sa dépression mais Pepper avait atteint les limites sans s'en rendre vraiment compte.
Jean prit son imper et sortit sans une autre parole. Comme Pepper lui tournait le dos pour surveiller sa fille, elle n'entendit que le bruit de la porte qui se refermait. Le temps pour elle de réagir, Jean avait déjà démarré la voiture et passé le coin de la rue.À PROPOS DE L'AUTEURNé en 1950 dans le Pas-de-Calais, Pierre Machu a étudié les arts graphiques. C'est dans le services techniques des quotidiens régionaux qu'il a exercé l'essentiel de sa carrière.
Il possède en parallèle des intérêts variés tels que le cinéma d'avant-guerre ou encore la musique des années 60-70. Il pratique également la randonnée. Côté livres, c'est un fervent lecteur de littérature française à la fois moderne (Muriel Barbery) et classique (Céline). Familier de la langue anglaise, il aime lire des romans américains en version originale (Tony Parsons). Il ne se prive pas non plus des versions traduites (James Ellroy, James Lee Burke).
Depuis son départ en préretraite, il peut enfin se consacrer à l'écriture, expérimentant avec bonheur des genres variés.
Une balle dans la tête. Dès lors, Jean ne cessera d'être traqué par de mystérieux sbires. Que diable est-il allé faire dans cette galère ?EXTRAITLa gamine, très occupée à mettre des gros cubes en plastique dans sa bouche, ne prêtait aucune attention à ce qui se passait autour d'elle. Jean se baissa, la prit dans ses bras et la mit en face de sa mère. La petite sourit, écarta les bras et Pepper la serra contre elle, mais Amaryllis réclama bien vite d'aller sur le tapis continuer à jouer.- Ton père a appelé, nous devrions manger chez eux ce dimanche.- Non, je n'en ai pas envie.- Pepper, sois un peu raisonnable, ça fait trois semaines qu'ils n'ont pas vu leur petite-fille.- Je n'ai pas envie de les voir, ils m'ennuient, c'était avant qu'il aurait fallu être présents.- Bon, j'irai seul avec la petite alors.- C'est hors de question, je te l'interdis.
Jean regarda à travers la grande baie vitrée, il commençait à pleuvoir. D'un seul coup, le grésil frappa les fenêtres. L'hiver s'annonçait en avance. Les parents de Jean étant disparus, il ne comprenait pas l'attitude de sa compagne avec les siens.- Pepper, je m'ennuie. Elle fut décontenancée par cette réponse. Elle voyait bien que cela n'allait plus ces temps-ci, Jean avait été patient pendant sa dépression mais Pepper avait atteint les limites sans s'en rendre vraiment compte.
Jean prit son imper et sortit sans une autre parole. Comme Pepper lui tournait le dos pour surveiller sa fille, elle n'entendit que le bruit de la porte qui se refermait. Le temps pour elle de réagir, Jean avait déjà démarré la voiture et passé le coin de la rue.À PROPOS DE L'AUTEURNé en 1950 dans le Pas-de-Calais, Pierre Machu a étudié les arts graphiques. C'est dans le services techniques des quotidiens régionaux qu'il a exercé l'essentiel de sa carrière.
Il possède en parallèle des intérêts variés tels que le cinéma d'avant-guerre ou encore la musique des années 60-70. Il pratique également la randonnée. Côté livres, c'est un fervent lecteur de littérature française à la fois moderne (Muriel Barbery) et classique (Céline). Familier de la langue anglaise, il aime lire des romans américains en version originale (Tony Parsons). Il ne se prive pas non plus des versions traduites (James Ellroy, James Lee Burke).
Depuis son départ en préretraite, il peut enfin se consacrer à l'écriture, expérimentant avec bonheur des genres variés.
Nouvelle vie pour Jean Lejambier. Fini la police lilloise, l'ex-lieutenant ouvre une agence de détective privé à Tournai. Première mission pour l'ancien flic : retrouver Jennyfer, une Roubaisienne de dix-huit disparue un mois auparavant. Il ne lui faut pas longtemps pour la rattraper. Surprise : la jeune fille est désormais membre d'un réseau de clandestins régi par la mafia albanaise. Le lendemain de leur rencontre, Jennyfer est retrouvée au fond de la Deûle.
Une balle dans la tête. Dès lors, Jean ne cessera d'être traqué par de mystérieux sbires. Que diable est-il allé faire dans cette galère ?EXTRAITLa gamine, très occupée à mettre des gros cubes en plastique dans sa bouche, ne prêtait aucune attention à ce qui se passait autour d'elle. Jean se baissa, la prit dans ses bras et la mit en face de sa mère. La petite sourit, écarta les bras et Pepper la serra contre elle, mais Amaryllis réclama bien vite d'aller sur le tapis continuer à jouer.- Ton père a appelé, nous devrions manger chez eux ce dimanche.- Non, je n'en ai pas envie.- Pepper, sois un peu raisonnable, ça fait trois semaines qu'ils n'ont pas vu leur petite-fille.- Je n'ai pas envie de les voir, ils m'ennuient, c'était avant qu'il aurait fallu être présents.- Bon, j'irai seul avec la petite alors.- C'est hors de question, je te l'interdis.
Jean regarda à travers la grande baie vitrée, il commençait à pleuvoir. D'un seul coup, le grésil frappa les fenêtres. L'hiver s'annonçait en avance. Les parents de Jean étant disparus, il ne comprenait pas l'attitude de sa compagne avec les siens.- Pepper, je m'ennuie. Elle fut décontenancée par cette réponse. Elle voyait bien que cela n'allait plus ces temps-ci, Jean avait été patient pendant sa dépression mais Pepper avait atteint les limites sans s'en rendre vraiment compte.
Jean prit son imper et sortit sans une autre parole. Comme Pepper lui tournait le dos pour surveiller sa fille, elle n'entendit que le bruit de la porte qui se refermait. Le temps pour elle de réagir, Jean avait déjà démarré la voiture et passé le coin de la rue.À PROPOS DE L'AUTEURNé en 1950 dans le Pas-de-Calais, Pierre Machu a étudié les arts graphiques. C'est dans le services techniques des quotidiens régionaux qu'il a exercé l'essentiel de sa carrière.
Il possède en parallèle des intérêts variés tels que le cinéma d'avant-guerre ou encore la musique des années 60-70. Il pratique également la randonnée. Côté livres, c'est un fervent lecteur de littérature française à la fois moderne (Muriel Barbery) et classique (Céline). Familier de la langue anglaise, il aime lire des romans américains en version originale (Tony Parsons). Il ne se prive pas non plus des versions traduites (James Ellroy, James Lee Burke).
Depuis son départ en préretraite, il peut enfin se consacrer à l'écriture, expérimentant avec bonheur des genres variés.
Une balle dans la tête. Dès lors, Jean ne cessera d'être traqué par de mystérieux sbires. Que diable est-il allé faire dans cette galère ?EXTRAITLa gamine, très occupée à mettre des gros cubes en plastique dans sa bouche, ne prêtait aucune attention à ce qui se passait autour d'elle. Jean se baissa, la prit dans ses bras et la mit en face de sa mère. La petite sourit, écarta les bras et Pepper la serra contre elle, mais Amaryllis réclama bien vite d'aller sur le tapis continuer à jouer.- Ton père a appelé, nous devrions manger chez eux ce dimanche.- Non, je n'en ai pas envie.- Pepper, sois un peu raisonnable, ça fait trois semaines qu'ils n'ont pas vu leur petite-fille.- Je n'ai pas envie de les voir, ils m'ennuient, c'était avant qu'il aurait fallu être présents.- Bon, j'irai seul avec la petite alors.- C'est hors de question, je te l'interdis.
Jean regarda à travers la grande baie vitrée, il commençait à pleuvoir. D'un seul coup, le grésil frappa les fenêtres. L'hiver s'annonçait en avance. Les parents de Jean étant disparus, il ne comprenait pas l'attitude de sa compagne avec les siens.- Pepper, je m'ennuie. Elle fut décontenancée par cette réponse. Elle voyait bien que cela n'allait plus ces temps-ci, Jean avait été patient pendant sa dépression mais Pepper avait atteint les limites sans s'en rendre vraiment compte.
Jean prit son imper et sortit sans une autre parole. Comme Pepper lui tournait le dos pour surveiller sa fille, elle n'entendit que le bruit de la porte qui se refermait. Le temps pour elle de réagir, Jean avait déjà démarré la voiture et passé le coin de la rue.À PROPOS DE L'AUTEURNé en 1950 dans le Pas-de-Calais, Pierre Machu a étudié les arts graphiques. C'est dans le services techniques des quotidiens régionaux qu'il a exercé l'essentiel de sa carrière.
Il possède en parallèle des intérêts variés tels que le cinéma d'avant-guerre ou encore la musique des années 60-70. Il pratique également la randonnée. Côté livres, c'est un fervent lecteur de littérature française à la fois moderne (Muriel Barbery) et classique (Céline). Familier de la langue anglaise, il aime lire des romans américains en version originale (Tony Parsons). Il ne se prive pas non plus des versions traduites (James Ellroy, James Lee Burke).
Depuis son départ en préretraite, il peut enfin se consacrer à l'écriture, expérimentant avec bonheur des genres variés.
