CLICHES DE LA FEMME EXOTIQUE. Un regard sur la littérature coloniale française entre 1871 et 1914
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages368
- FormatPDF
- ISBN2-296-42218-7
- EAN9782296422186
- Date de parution01/11/2000
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Pourquoi la femme exotique ? Dans la littérature coloniale elle occupe une place de premier rang. Symbole du pays étranger à conquérir ou à assujettir, elle est également - en tant que partenaire sexuelle - le moyen par lequel le personnage du colon approche cet Autre qu'est l'indigène. Les personnages rencontrés à travers ces pages sont figés dans les formes toutes faites du cliché colonial. C'est pourquoi l'auteur propose moins une histoire de la femme " exotique " ou " colonisée " qu'une analyse des mécanismes qui ont permis, à cette époque, de concevoir l'Autre et d'écrire l'altérité.
Pourquoi la femme exotique ? Dans la littérature coloniale elle occupe une place de premier rang. Symbole du pays étranger à conquérir ou à assujettir, elle est également - en tant que partenaire sexuelle - le moyen par lequel le personnage du colon approche cet Autre qu'est l'indigène. Les personnages rencontrés à travers ces pages sont figés dans les formes toutes faites du cliché colonial. C'est pourquoi l'auteur propose moins une histoire de la femme " exotique " ou " colonisée " qu'une analyse des mécanismes qui ont permis, à cette époque, de concevoir l'Autre et d'écrire l'altérité.