Claude Simon, l'avidité de vivre

Par : Marie Hartmann
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  • Nombre de pages272
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-38185-231-7
  • EAN9782381852317
  • Date de parution13/03/2024
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Caen

Résumé

On présente souvent l'ouvre de Claude Simon comme austère et difficile d'accès, cet essai en montre l'aspect ludique, érotique et critique. Il est consacré au Jardin des Plantes et aux roses - femmes, fleurs, couleurs - qui s'y trouvent. Ce point de départ ouvre sur une relecture de l'ensemble de l'ouvre pour en montrer la capacité de renouvellement et la lutte contre l'avancée de la mort qui s'effectuent plus encore dans les derniers romans.
Prenant acte de l'inversion de la signification de la mélancolie, définie comme « avidité de vivre », il en tire la conséquence d'une forme retrouvée de joie de vivre, que Le Jardin des Plantes manifeste. En raison de ce nouveau rapport à la vie, Claude Simon décrit également un nouveau rapport aux femmes. Alors qu'auparavant, le sexe et la mort s'identifiaient, place est faite au plaisir. Cet accroissement de la vie procuré par une vision plus enjouée et par le désir a des points de convergence avec les recherches surréalistes.
Ce travail les fait apparaître. Enfin, revenant sur un autre tabou des anciens néo-romanciers, cet essai montre la dimension politique de l'écriture de Claude Simon.
On présente souvent l'ouvre de Claude Simon comme austère et difficile d'accès, cet essai en montre l'aspect ludique, érotique et critique. Il est consacré au Jardin des Plantes et aux roses - femmes, fleurs, couleurs - qui s'y trouvent. Ce point de départ ouvre sur une relecture de l'ensemble de l'ouvre pour en montrer la capacité de renouvellement et la lutte contre l'avancée de la mort qui s'effectuent plus encore dans les derniers romans.
Prenant acte de l'inversion de la signification de la mélancolie, définie comme « avidité de vivre », il en tire la conséquence d'une forme retrouvée de joie de vivre, que Le Jardin des Plantes manifeste. En raison de ce nouveau rapport à la vie, Claude Simon décrit également un nouveau rapport aux femmes. Alors qu'auparavant, le sexe et la mort s'identifiaient, place est faite au plaisir. Cet accroissement de la vie procuré par une vision plus enjouée et par le désir a des points de convergence avec les recherches surréalistes.
Ce travail les fait apparaître. Enfin, revenant sur un autre tabou des anciens néo-romanciers, cet essai montre la dimension politique de l'écriture de Claude Simon.