Cinq deuils de guerre (1914-1918)
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- Nombre de pages251
- FormatePub
- ISBN979-10-210-2798-5
- EAN9791021027985
- Date de parution21/09/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille717 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurTallandier
Résumé
Entre 1914 et 1918, la Grande Guerre a fauché près de dix millions d'Européens. La mort de masse fut souvent une mort sans sépulture, privant les survivants du corps de ceux qu'ils avaient aimés. Ainsi la Première Guerre mondiale a-t-elle souvent suscité des deuils interminables, dont la trace n'est pas effacée aujourd'hui encore, près d'un siècle après la fin des combats. Cette dimension intime de la perte nous est peu connue et les rares destins individuels que l'on puisse vraiment restituer laissent apparaître que chaque deuil fut unique.
Il y eut autant de deuils de guerre, tous irréductiblement différents, qu'il y eut de veuves, d'orphelins, de parents, d'amis composant les cercles de deuils. Ces cinq récits de vies endeuillées dévoilent la spirale de douleur qui se noua autour de chaque mort à la guerre. Ils renvoient aux portraits jaunis conservés dans nos familles, au souvenir des femmes vêtues de noir, à une mémoire de la souffrance pudiquement enfouie : la nôtre.
Il y eut autant de deuils de guerre, tous irréductiblement différents, qu'il y eut de veuves, d'orphelins, de parents, d'amis composant les cercles de deuils. Ces cinq récits de vies endeuillées dévoilent la spirale de douleur qui se noua autour de chaque mort à la guerre. Ils renvoient aux portraits jaunis conservés dans nos familles, au souvenir des femmes vêtues de noir, à une mémoire de la souffrance pudiquement enfouie : la nôtre.
Entre 1914 et 1918, la Grande Guerre a fauché près de dix millions d'Européens. La mort de masse fut souvent une mort sans sépulture, privant les survivants du corps de ceux qu'ils avaient aimés. Ainsi la Première Guerre mondiale a-t-elle souvent suscité des deuils interminables, dont la trace n'est pas effacée aujourd'hui encore, près d'un siècle après la fin des combats. Cette dimension intime de la perte nous est peu connue et les rares destins individuels que l'on puisse vraiment restituer laissent apparaître que chaque deuil fut unique.
Il y eut autant de deuils de guerre, tous irréductiblement différents, qu'il y eut de veuves, d'orphelins, de parents, d'amis composant les cercles de deuils. Ces cinq récits de vies endeuillées dévoilent la spirale de douleur qui se noua autour de chaque mort à la guerre. Ils renvoient aux portraits jaunis conservés dans nos familles, au souvenir des femmes vêtues de noir, à une mémoire de la souffrance pudiquement enfouie : la nôtre.
Il y eut autant de deuils de guerre, tous irréductiblement différents, qu'il y eut de veuves, d'orphelins, de parents, d'amis composant les cercles de deuils. Ces cinq récits de vies endeuillées dévoilent la spirale de douleur qui se noua autour de chaque mort à la guerre. Ils renvoient aux portraits jaunis conservés dans nos familles, au souvenir des femmes vêtues de noir, à une mémoire de la souffrance pudiquement enfouie : la nôtre.