Cinéma, service public. Créteil 68-76

Par : Françoise Audé, Olivier Barrot, Jean-François Camus

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  • Nombre de pages192
  • FormatePub
  • ISBN2-348-03259-7
  • EAN9782348032592
  • Date de parution01/01/1977
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille52 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...

Résumé

Conçues comme instrument d'une politique de décentralisation et mises en place aux débuts du gaullisme, les Maisons de la culture ont suscité quelques espoirs de modifier les rapports entre la culture et les masses. Le mode de fonctionnement de ces lourds organismes, subventionnés nationalement et localement, leur indépendance de principe et l'indépendance de leurs animateurs semblaient des garanties suffisantes.
Il en a été tout autrement. Elles ont été mises en cause certes, dans une période de crise économique, pour des motifs financiers, mais également politiques : des accusations fondamentales, relatives à l'échec de leur mission leur ont été adressées, sans d'ailleurs qu'autre chose leur soit opposé. Aujourd'hui, il n'est plus question de développement, mais d'abandon. À Créteil, sept années de "préfiguration" ont précédé l'ouverture, au début de 1975, d'un bâtiment prestigieux, unique dans la région parisienne.
Dans ce cadre s'intégrait le travail approfondi de la section cinéma. Convaincus de la prééminence du cinéma comme véhicule d'action culturelle et de dévoilement politique, ses animateurs ont tenté de défricher des voies spécifiques, en contact permanent avec divers publics : avec celui des associations de toutes catégories, avec et pour les enfants ; recherche historique, organisation de manifestations diverses.
De cette politique de service public audiovisuel, brutalement interrompue au printemps 1976 rendent compte ses promoteurs. Leur livre se veut à la fois réflexion théorique et manuel pratique.
Conçues comme instrument d'une politique de décentralisation et mises en place aux débuts du gaullisme, les Maisons de la culture ont suscité quelques espoirs de modifier les rapports entre la culture et les masses. Le mode de fonctionnement de ces lourds organismes, subventionnés nationalement et localement, leur indépendance de principe et l'indépendance de leurs animateurs semblaient des garanties suffisantes.
Il en a été tout autrement. Elles ont été mises en cause certes, dans une période de crise économique, pour des motifs financiers, mais également politiques : des accusations fondamentales, relatives à l'échec de leur mission leur ont été adressées, sans d'ailleurs qu'autre chose leur soit opposé. Aujourd'hui, il n'est plus question de développement, mais d'abandon. À Créteil, sept années de "préfiguration" ont précédé l'ouverture, au début de 1975, d'un bâtiment prestigieux, unique dans la région parisienne.
Dans ce cadre s'intégrait le travail approfondi de la section cinéma. Convaincus de la prééminence du cinéma comme véhicule d'action culturelle et de dévoilement politique, ses animateurs ont tenté de défricher des voies spécifiques, en contact permanent avec divers publics : avec celui des associations de toutes catégories, avec et pour les enfants ; recherche historique, organisation de manifestations diverses.
De cette politique de service public audiovisuel, brutalement interrompue au printemps 1976 rendent compte ses promoteurs. Leur livre se veut à la fois réflexion théorique et manuel pratique.
Le XXe siècle des femmes
Françoise Audé, Caroline Helfter, Laurence Klejman, Florence Montreynaud, Monique Perrot-Lanaud
E-book
11,99 €