Chroniques gaillardes. De Clotilde à Joséphine, les grands frissons de la petite Histoire
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- Nombre de pages180
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-36572-990-1
- EAN9782365729901
- Date de parution27/12/2012
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurCPE
Résumé
L'Histoire, celle qu'on dit grande, est truffée d'anecdotes surprenantes qui, souvent, expliquent à mots couverts le pourquoi et le comment des événements décisifs. Il est superflu de rappeler qu'au théâtre des Illustres Figures, les drames, comme les comédies, se jouent davantage en coulisse que sur scène. Les exemples ne manquent pas. Ainsi, sans l'inconstance de certaines belles endormies, la plupart de nos princes charmants n'auraient jamais cherché noise à leur entourage.
De même sait-on qu'avant d'ensanglanter les champs de bataille, bien des guerres en dentelle furent déclarées au secret des alcôves royales. Mais les historiographes patentés ne sauraient se faire l'écho de ces turpitudes inavouables. Aux manigances d'antichambre, piteuses débandades et bassesses lamentables, ils préfèrent les hauts faits, les éclatantes victoires et les glorieuses postures. *Gérard Boutet*, lui, s'amuse des historiettes du temps jadis : elles l'invitent à musarder dans les siècles passés pour y chaparder, à la manière d'un voleur de pommes, quelques épisodes savoureux.
Dans ce volume, le raconteur d'histoires prend un malin plaisir à croquer les fruits oubliés, plutôt qu'à ripailler au banquet de la galerie. Les protagonistes y perdent en munificence ce qu'ils gagnent en véridicité.
De même sait-on qu'avant d'ensanglanter les champs de bataille, bien des guerres en dentelle furent déclarées au secret des alcôves royales. Mais les historiographes patentés ne sauraient se faire l'écho de ces turpitudes inavouables. Aux manigances d'antichambre, piteuses débandades et bassesses lamentables, ils préfèrent les hauts faits, les éclatantes victoires et les glorieuses postures. *Gérard Boutet*, lui, s'amuse des historiettes du temps jadis : elles l'invitent à musarder dans les siècles passés pour y chaparder, à la manière d'un voleur de pommes, quelques épisodes savoureux.
Dans ce volume, le raconteur d'histoires prend un malin plaisir à croquer les fruits oubliés, plutôt qu'à ripailler au banquet de la galerie. Les protagonistes y perdent en munificence ce qu'ils gagnent en véridicité.
L'Histoire, celle qu'on dit grande, est truffée d'anecdotes surprenantes qui, souvent, expliquent à mots couverts le pourquoi et le comment des événements décisifs. Il est superflu de rappeler qu'au théâtre des Illustres Figures, les drames, comme les comédies, se jouent davantage en coulisse que sur scène. Les exemples ne manquent pas. Ainsi, sans l'inconstance de certaines belles endormies, la plupart de nos princes charmants n'auraient jamais cherché noise à leur entourage.
De même sait-on qu'avant d'ensanglanter les champs de bataille, bien des guerres en dentelle furent déclarées au secret des alcôves royales. Mais les historiographes patentés ne sauraient se faire l'écho de ces turpitudes inavouables. Aux manigances d'antichambre, piteuses débandades et bassesses lamentables, ils préfèrent les hauts faits, les éclatantes victoires et les glorieuses postures. *Gérard Boutet*, lui, s'amuse des historiettes du temps jadis : elles l'invitent à musarder dans les siècles passés pour y chaparder, à la manière d'un voleur de pommes, quelques épisodes savoureux.
Dans ce volume, le raconteur d'histoires prend un malin plaisir à croquer les fruits oubliés, plutôt qu'à ripailler au banquet de la galerie. Les protagonistes y perdent en munificence ce qu'ils gagnent en véridicité.
De même sait-on qu'avant d'ensanglanter les champs de bataille, bien des guerres en dentelle furent déclarées au secret des alcôves royales. Mais les historiographes patentés ne sauraient se faire l'écho de ces turpitudes inavouables. Aux manigances d'antichambre, piteuses débandades et bassesses lamentables, ils préfèrent les hauts faits, les éclatantes victoires et les glorieuses postures. *Gérard Boutet*, lui, s'amuse des historiettes du temps jadis : elles l'invitent à musarder dans les siècles passés pour y chaparder, à la manière d'un voleur de pommes, quelques épisodes savoureux.
Dans ce volume, le raconteur d'histoires prend un malin plaisir à croquer les fruits oubliés, plutôt qu'à ripailler au banquet de la galerie. Les protagonistes y perdent en munificence ce qu'ils gagnent en véridicité.


















