Chroniques de l'ethnicité quotidienne chez les Maghrébins français
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- Nombre de pages310
- FormatPDF
- ISBN2-296-40573-8
- EAN9782296405738
- Date de parution01/11/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille15 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Du premier immigrant nord-africain en passant par le Beur, un processus d'ethnicisation s'est progressivement déroulé pour arriver aujourd'hui à la constitution dans le paysage national français du groupe des Maghrébins. A travers cet ouvrage on découvre comment s'est constitué un groupe ethnicisé dont l'identité se conjugue au pluriel et cache derrière une homogénéité apparente une relative hétérogénéité de pratiques et de profils identitaires.
Entre l'assignation ethnique pratiquée par le groupe majoritaire et les particularismes plus ou moins revendiqués dans le cadre de la citoyenneté française, le groupe des Maghrébins se construit dans un perpétuel mouvement de déconstruction - reconstruction. A l'aide d'une méthodologie croisée qui regroupe des questionnaires, des entretiens semi-directifs de recherche et des observations ethnographiques, l'auteur nous fait découvrir au fil de l'ouvrage, la nature des identités maghrébines, et les modes de construction d'une ethnicité appréhendée à partir des interactions quotidiennes des acteurs au sein de l'espace privé et de la sphère publique.
Pour cela l'analyse s'appuie essentiellement sur deux institutions socialisatrices : la famille et l'école et montre que l'ethnicité se construit avant tout dans des rapports de domination et souvent dans une logique où les causes sociales, économiques, culturelles et religieuses font l'objet de confusions et d'amalgames générateurs d'ethnicité. Enfin, l'auteur montre que si l'ethnicité est souvent considérée comme négative et menaçante, elle peut aussi constituer un élément positif d'intégration des groupes dominés et participer au processus de mutation consécutif à la crise du modèle républicain d'intégration.
Entre l'assignation ethnique pratiquée par le groupe majoritaire et les particularismes plus ou moins revendiqués dans le cadre de la citoyenneté française, le groupe des Maghrébins se construit dans un perpétuel mouvement de déconstruction - reconstruction. A l'aide d'une méthodologie croisée qui regroupe des questionnaires, des entretiens semi-directifs de recherche et des observations ethnographiques, l'auteur nous fait découvrir au fil de l'ouvrage, la nature des identités maghrébines, et les modes de construction d'une ethnicité appréhendée à partir des interactions quotidiennes des acteurs au sein de l'espace privé et de la sphère publique.
Pour cela l'analyse s'appuie essentiellement sur deux institutions socialisatrices : la famille et l'école et montre que l'ethnicité se construit avant tout dans des rapports de domination et souvent dans une logique où les causes sociales, économiques, culturelles et religieuses font l'objet de confusions et d'amalgames générateurs d'ethnicité. Enfin, l'auteur montre que si l'ethnicité est souvent considérée comme négative et menaçante, elle peut aussi constituer un élément positif d'intégration des groupes dominés et participer au processus de mutation consécutif à la crise du modèle républicain d'intégration.
Du premier immigrant nord-africain en passant par le Beur, un processus d'ethnicisation s'est progressivement déroulé pour arriver aujourd'hui à la constitution dans le paysage national français du groupe des Maghrébins. A travers cet ouvrage on découvre comment s'est constitué un groupe ethnicisé dont l'identité se conjugue au pluriel et cache derrière une homogénéité apparente une relative hétérogénéité de pratiques et de profils identitaires.
Entre l'assignation ethnique pratiquée par le groupe majoritaire et les particularismes plus ou moins revendiqués dans le cadre de la citoyenneté française, le groupe des Maghrébins se construit dans un perpétuel mouvement de déconstruction - reconstruction. A l'aide d'une méthodologie croisée qui regroupe des questionnaires, des entretiens semi-directifs de recherche et des observations ethnographiques, l'auteur nous fait découvrir au fil de l'ouvrage, la nature des identités maghrébines, et les modes de construction d'une ethnicité appréhendée à partir des interactions quotidiennes des acteurs au sein de l'espace privé et de la sphère publique.
Pour cela l'analyse s'appuie essentiellement sur deux institutions socialisatrices : la famille et l'école et montre que l'ethnicité se construit avant tout dans des rapports de domination et souvent dans une logique où les causes sociales, économiques, culturelles et religieuses font l'objet de confusions et d'amalgames générateurs d'ethnicité. Enfin, l'auteur montre que si l'ethnicité est souvent considérée comme négative et menaçante, elle peut aussi constituer un élément positif d'intégration des groupes dominés et participer au processus de mutation consécutif à la crise du modèle républicain d'intégration.
Entre l'assignation ethnique pratiquée par le groupe majoritaire et les particularismes plus ou moins revendiqués dans le cadre de la citoyenneté française, le groupe des Maghrébins se construit dans un perpétuel mouvement de déconstruction - reconstruction. A l'aide d'une méthodologie croisée qui regroupe des questionnaires, des entretiens semi-directifs de recherche et des observations ethnographiques, l'auteur nous fait découvrir au fil de l'ouvrage, la nature des identités maghrébines, et les modes de construction d'une ethnicité appréhendée à partir des interactions quotidiennes des acteurs au sein de l'espace privé et de la sphère publique.
Pour cela l'analyse s'appuie essentiellement sur deux institutions socialisatrices : la famille et l'école et montre que l'ethnicité se construit avant tout dans des rapports de domination et souvent dans une logique où les causes sociales, économiques, culturelles et religieuses font l'objet de confusions et d'amalgames générateurs d'ethnicité. Enfin, l'auteur montre que si l'ethnicité est souvent considérée comme négative et menaçante, elle peut aussi constituer un élément positif d'intégration des groupes dominés et participer au processus de mutation consécutif à la crise du modèle républicain d'intégration.