Chine, banquier du monde

Par : Claude Meyer
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages350
  • FormatePub
  • ISBN978-2-213-67311-0
  • EAN9782213673110
  • Date de parution15/01/2014
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille575 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFayard

Résumé

Pays émergent, la Chine est déjà le premier créancier étranger des Etats-Unis, malgré un revenu nominal par tête huit fois inférieur. La moitié de ses réserves de change suffiraient à rembourser la dette de la Grèce, du Portugal, de l'Irlande et de l'Espagne réunis ; l'autre moitié lui permettrait d'acheter tout l'or détenu par les Banques centrales de la planète, ou encore de s'offrir à la fois Google, Apple, Microsoft, IBM et tous les immeubles de Manhattan.
Moins d'une décennie après son entrée à l'OMC, la Chine est le premier exportateur mondial, inondant de ses produits des milliards de consommateurs à travers le monde. Ce n'est pourtant que la partie émergée de sa montée en puissance dans l'économie mondiale. Car ce sont aussi ses capitaux qu'elle exporte à grande échelle, forte de gigantesques réserves de change représentant l'équivalent de la production annuelle de l'Allemagne.
Ressources naturelles, entreprises étrangères, Bons du Trésor américain, rien ne semble échapper à la boulimie d'acquisitions qui, depuis quelques années, projette le dragon chinois aux quatre coins de la planète. A quelles sources s'alimente cette puissance financière ? Quels objectifs la Chine poursuit-elle dans ses acquisitions à l'étranger ? Le yuan va-t-il détrôner le dollar ? Après la domination commerciale, l'expansion financière chinoise est-elle la nouvelle étape d'un dessein hégémonique face à l'affaiblissement de l'Occident ? Claude Meyer s'efforce ici de répondre à ces questions sans procès d'intention, mais aussi sans concessions.
Pays émergent, la Chine est déjà le premier créancier étranger des Etats-Unis, malgré un revenu nominal par tête huit fois inférieur. La moitié de ses réserves de change suffiraient à rembourser la dette de la Grèce, du Portugal, de l'Irlande et de l'Espagne réunis ; l'autre moitié lui permettrait d'acheter tout l'or détenu par les Banques centrales de la planète, ou encore de s'offrir à la fois Google, Apple, Microsoft, IBM et tous les immeubles de Manhattan.
Moins d'une décennie après son entrée à l'OMC, la Chine est le premier exportateur mondial, inondant de ses produits des milliards de consommateurs à travers le monde. Ce n'est pourtant que la partie émergée de sa montée en puissance dans l'économie mondiale. Car ce sont aussi ses capitaux qu'elle exporte à grande échelle, forte de gigantesques réserves de change représentant l'équivalent de la production annuelle de l'Allemagne.
Ressources naturelles, entreprises étrangères, Bons du Trésor américain, rien ne semble échapper à la boulimie d'acquisitions qui, depuis quelques années, projette le dragon chinois aux quatre coins de la planète. A quelles sources s'alimente cette puissance financière ? Quels objectifs la Chine poursuit-elle dans ses acquisitions à l'étranger ? Le yuan va-t-il détrôner le dollar ? Après la domination commerciale, l'expansion financière chinoise est-elle la nouvelle étape d'un dessein hégémonique face à l'affaiblissement de l'Occident ? Claude Meyer s'efforce ici de répondre à ces questions sans procès d'intention, mais aussi sans concessions.