Chiisme et Etat. Les clercs à l'épreuve de la modernité
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages542
- FormatPDF
- ISBN978-2-271-07768-4
- EAN9782271077684
- Date de parution17/05/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurCNRS EDITIONS
Résumé
Le nouveau régime iranien va-t-il a¿ contre-courant de la modernité, comme on le pense généralement ? Comment appréhender la fusion des pouvoirs religieux et politique, institutionnalisée en Iran par la " guidance du juriste " ? C'est cet évènement inédit, doctrinal et institutionnel, qu'explore cet ouvrage, dépassant les apparentes antinomies entre le religieux et le politique et mesurant le renouvellement sans précédent du droit et de la pensée chiite.
La nouvelle constitution de 1979 constitue ici un épisode important et significatif : dans quel cadre l'action du juriste religieux doit-elle s'appliquer ? Ce juriste dispose-t-il des mêmes pouvoirs que le Prophète et les Imâms ? Le pouvoir et la souveraineté sont-ils enracinés dans le peuple ? Tels sont quelques-uns des termes du débat que Constance Arminjon restitue et analyse dans toute sa complexité.
La fondation de la République islamique d'Iran a donné aux clercs les moyens de ne plus être les témoins passifs d'une modernité perçue comme exogène et a constitué une de leurs réponses aux contraintes menaçant l'institution religieuse. Au-delà du cas iranien, l'auteur prend en compte l'importance des clercs d'Iraq et l'originalité du chiisme libanais. C'est ainsi tout un laboratoire politique et une modernité religieuse plurielle et paradoxale, que nous présente cet ouvrage.
La nouvelle constitution de 1979 constitue ici un épisode important et significatif : dans quel cadre l'action du juriste religieux doit-elle s'appliquer ? Ce juriste dispose-t-il des mêmes pouvoirs que le Prophète et les Imâms ? Le pouvoir et la souveraineté sont-ils enracinés dans le peuple ? Tels sont quelques-uns des termes du débat que Constance Arminjon restitue et analyse dans toute sa complexité.
La fondation de la République islamique d'Iran a donné aux clercs les moyens de ne plus être les témoins passifs d'une modernité perçue comme exogène et a constitué une de leurs réponses aux contraintes menaçant l'institution religieuse. Au-delà du cas iranien, l'auteur prend en compte l'importance des clercs d'Iraq et l'originalité du chiisme libanais. C'est ainsi tout un laboratoire politique et une modernité religieuse plurielle et paradoxale, que nous présente cet ouvrage.
Le nouveau régime iranien va-t-il a¿ contre-courant de la modernité, comme on le pense généralement ? Comment appréhender la fusion des pouvoirs religieux et politique, institutionnalisée en Iran par la " guidance du juriste " ? C'est cet évènement inédit, doctrinal et institutionnel, qu'explore cet ouvrage, dépassant les apparentes antinomies entre le religieux et le politique et mesurant le renouvellement sans précédent du droit et de la pensée chiite.
La nouvelle constitution de 1979 constitue ici un épisode important et significatif : dans quel cadre l'action du juriste religieux doit-elle s'appliquer ? Ce juriste dispose-t-il des mêmes pouvoirs que le Prophète et les Imâms ? Le pouvoir et la souveraineté sont-ils enracinés dans le peuple ? Tels sont quelques-uns des termes du débat que Constance Arminjon restitue et analyse dans toute sa complexité.
La fondation de la République islamique d'Iran a donné aux clercs les moyens de ne plus être les témoins passifs d'une modernité perçue comme exogène et a constitué une de leurs réponses aux contraintes menaçant l'institution religieuse. Au-delà du cas iranien, l'auteur prend en compte l'importance des clercs d'Iraq et l'originalité du chiisme libanais. C'est ainsi tout un laboratoire politique et une modernité religieuse plurielle et paradoxale, que nous présente cet ouvrage.
La nouvelle constitution de 1979 constitue ici un épisode important et significatif : dans quel cadre l'action du juriste religieux doit-elle s'appliquer ? Ce juriste dispose-t-il des mêmes pouvoirs que le Prophète et les Imâms ? Le pouvoir et la souveraineté sont-ils enracinés dans le peuple ? Tels sont quelques-uns des termes du débat que Constance Arminjon restitue et analyse dans toute sa complexité.
La fondation de la République islamique d'Iran a donné aux clercs les moyens de ne plus être les témoins passifs d'une modernité perçue comme exogène et a constitué une de leurs réponses aux contraintes menaçant l'institution religieuse. Au-delà du cas iranien, l'auteur prend en compte l'importance des clercs d'Iraq et l'originalité du chiisme libanais. C'est ainsi tout un laboratoire politique et une modernité religieuse plurielle et paradoxale, que nous présente cet ouvrage.