Chemin d'avenir. Côte d'Ivoire, la paix soit avec toi !
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- Nombre de pages244
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-18712-2
- EAN9782296187122
- Date de parution01/01/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierClément-Molo Mumvwela
Résumé
Une certaine opinion sur la tragédie ivoirienne croit avoir identifié et trouvé dans la " France chiraquienne " l'instigatrice exclusive de la crise politico-militaire que traverse la Côte d'Ivoire depuis 2002. Il s'agit visiblement d'une approche discutable et même irresponsable qui tente, en réalité, de présenter Soro Guillaume (ancien chef rebelle et actuel Premier ministre) et les ex-rebelles ivoiriens comme des pantins à la solde de l'ancienne puissance colonisatrice.
La thèse que défend l'auteur est que les crises à répétition que connaît la Côte d'Ivoire depuis la mort d'Houphouèt-Boigny en 1993 et qui ont abouti à la guerre de 2002 ne peuvent pas s'expliquer uniquement par la volonté d'une France décidée à ne perdre aucun privilège au profit de nouveaux partenaires économiques de la Côte d'Ivoire. Les vraies raisons sont, pour ainsi dire, endogènes : incohérence politique et refus manifeste des dirigeants successifs à rassembler et à travailler à la coexistence des populations.
Et pourtant, affirme l'auteur, il ne s'agit pas d'une fatalité. Une Côte d'Ivoire faite de coexistence pacifique est à la portée de l'ensemble des Ivoiriens. Mais pour cela, il faudrait que les hommes politiques sortent de la logique du pouvoir à tout prix (souvent au prix du sang des autres) et se réapproprient le sens de l'action politique, de l'intérêt général et du bien commun.
La thèse que défend l'auteur est que les crises à répétition que connaît la Côte d'Ivoire depuis la mort d'Houphouèt-Boigny en 1993 et qui ont abouti à la guerre de 2002 ne peuvent pas s'expliquer uniquement par la volonté d'une France décidée à ne perdre aucun privilège au profit de nouveaux partenaires économiques de la Côte d'Ivoire. Les vraies raisons sont, pour ainsi dire, endogènes : incohérence politique et refus manifeste des dirigeants successifs à rassembler et à travailler à la coexistence des populations.
Et pourtant, affirme l'auteur, il ne s'agit pas d'une fatalité. Une Côte d'Ivoire faite de coexistence pacifique est à la portée de l'ensemble des Ivoiriens. Mais pour cela, il faudrait que les hommes politiques sortent de la logique du pouvoir à tout prix (souvent au prix du sang des autres) et se réapproprient le sens de l'action politique, de l'intérêt général et du bien commun.
Une certaine opinion sur la tragédie ivoirienne croit avoir identifié et trouvé dans la " France chiraquienne " l'instigatrice exclusive de la crise politico-militaire que traverse la Côte d'Ivoire depuis 2002. Il s'agit visiblement d'une approche discutable et même irresponsable qui tente, en réalité, de présenter Soro Guillaume (ancien chef rebelle et actuel Premier ministre) et les ex-rebelles ivoiriens comme des pantins à la solde de l'ancienne puissance colonisatrice.
La thèse que défend l'auteur est que les crises à répétition que connaît la Côte d'Ivoire depuis la mort d'Houphouèt-Boigny en 1993 et qui ont abouti à la guerre de 2002 ne peuvent pas s'expliquer uniquement par la volonté d'une France décidée à ne perdre aucun privilège au profit de nouveaux partenaires économiques de la Côte d'Ivoire. Les vraies raisons sont, pour ainsi dire, endogènes : incohérence politique et refus manifeste des dirigeants successifs à rassembler et à travailler à la coexistence des populations.
Et pourtant, affirme l'auteur, il ne s'agit pas d'une fatalité. Une Côte d'Ivoire faite de coexistence pacifique est à la portée de l'ensemble des Ivoiriens. Mais pour cela, il faudrait que les hommes politiques sortent de la logique du pouvoir à tout prix (souvent au prix du sang des autres) et se réapproprient le sens de l'action politique, de l'intérêt général et du bien commun.
La thèse que défend l'auteur est que les crises à répétition que connaît la Côte d'Ivoire depuis la mort d'Houphouèt-Boigny en 1993 et qui ont abouti à la guerre de 2002 ne peuvent pas s'expliquer uniquement par la volonté d'une France décidée à ne perdre aucun privilège au profit de nouveaux partenaires économiques de la Côte d'Ivoire. Les vraies raisons sont, pour ainsi dire, endogènes : incohérence politique et refus manifeste des dirigeants successifs à rassembler et à travailler à la coexistence des populations.
Et pourtant, affirme l'auteur, il ne s'agit pas d'une fatalité. Une Côte d'Ivoire faite de coexistence pacifique est à la portée de l'ensemble des Ivoiriens. Mais pour cela, il faudrait que les hommes politiques sortent de la logique du pouvoir à tout prix (souvent au prix du sang des autres) et se réapproprient le sens de l'action politique, de l'intérêt général et du bien commun.