Che vuoi ? N° 14, 2000
Rencontrer le réel
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- Nombre de pages194
- FormatPDF
- ISBN2-296-14983-9
- EAN9782296149830
- Date de parution01/01/1985
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Depuis que Lacan a désigné sous le mot de réel ce à quoi les analystes se confrontaient déjà, et depuis l'origine, on peut suivre l'incidence de cette nomination dans la théorisation, dans ses effets sur la technique et dans ses enjeux dans la formation des analystes. Devenu point de butée, bord de la pratique, ce concept porte les analystes aux limites de l'intime.
Les trois réels de la langue, de la jouissance et du sujet sont répartis par le fantasme alors qu'ils sont confondus dans la psychose où ils produisent ce que Lacan nomme " bruit ".
Dans la rencontre avec la psychose, ce concept offre la cohérence d'une explication. Ailleurs, dans toute cure, la proximité du réel fait advenir la part d'intime où se loge la créativité, à la manière de la réserve que désigne Guillaume Apollinaire : " J'ai tout donné au soleil, tout sauf mon ombre. "
Dans la rencontre avec la psychose, ce concept offre la cohérence d'une explication. Ailleurs, dans toute cure, la proximité du réel fait advenir la part d'intime où se loge la créativité, à la manière de la réserve que désigne Guillaume Apollinaire : " J'ai tout donné au soleil, tout sauf mon ombre. "
Depuis que Lacan a désigné sous le mot de réel ce à quoi les analystes se confrontaient déjà, et depuis l'origine, on peut suivre l'incidence de cette nomination dans la théorisation, dans ses effets sur la technique et dans ses enjeux dans la formation des analystes. Devenu point de butée, bord de la pratique, ce concept porte les analystes aux limites de l'intime.
Les trois réels de la langue, de la jouissance et du sujet sont répartis par le fantasme alors qu'ils sont confondus dans la psychose où ils produisent ce que Lacan nomme " bruit ".
Dans la rencontre avec la psychose, ce concept offre la cohérence d'une explication. Ailleurs, dans toute cure, la proximité du réel fait advenir la part d'intime où se loge la créativité, à la manière de la réserve que désigne Guillaume Apollinaire : " J'ai tout donné au soleil, tout sauf mon ombre. "
Dans la rencontre avec la psychose, ce concept offre la cohérence d'une explication. Ailleurs, dans toute cure, la proximité du réel fait advenir la part d'intime où se loge la créativité, à la manière de la réserve que désigne Guillaume Apollinaire : " J'ai tout donné au soleil, tout sauf mon ombre. "