Chasse et pâturage dans les forêts du Nord de la France. Pour une archéologie du paysage sylvestre (XIe-XVIe siècles)
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- Nombre de pages316
- FormatPDF
- ISBN2-296-16056-5
- EAN9782296160569
- Date de parution01/12/2006
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierRobert Delort
- PostfacierJean-Jacques Dubois
Résumé
Peut-on comprendre les forêts sans parler de la faune qui s'y trouve ? On l'a longtemps pensé. Autant pour des raisons historiographiques que pour la difficulté du sujet. Après tout, contrairement aux arbres, les animaux courent, pour reprendre Aristote. Il faut donc considérer les écosystèmes forestiers comme des milieux complexes composés d'éléments fixes et mobiles dans lesquels l'homme a son mot à dire depuis longtemps.
Or, la chasse et le pâturage constituent deux relations privilégiées entre l'homme et l'animal. Ce livre en fait la démonstration pour les forêts de plaine de type tempéré du Nord de la France (l'actuelle région Nord-Pas-de-Calais), soit un ensemble de comtés, de villes, de villages, de seigneuries et de forêts que l'on suit du XIe au XVIe siècle. Selon Robert Delort, l'un des intérêts majeurs de cette étude est de démontrer, par des exemples précis et aisément généralisables que les activités humaines telles que l'élevage et la chasse entraînent, dans une mesure dont on méconnaissait l'ampleur, des modifications profondes du paysage forestier.
Or, la chasse et le pâturage constituent deux relations privilégiées entre l'homme et l'animal. Ce livre en fait la démonstration pour les forêts de plaine de type tempéré du Nord de la France (l'actuelle région Nord-Pas-de-Calais), soit un ensemble de comtés, de villes, de villages, de seigneuries et de forêts que l'on suit du XIe au XVIe siècle. Selon Robert Delort, l'un des intérêts majeurs de cette étude est de démontrer, par des exemples précis et aisément généralisables que les activités humaines telles que l'élevage et la chasse entraînent, dans une mesure dont on méconnaissait l'ampleur, des modifications profondes du paysage forestier.
Peut-on comprendre les forêts sans parler de la faune qui s'y trouve ? On l'a longtemps pensé. Autant pour des raisons historiographiques que pour la difficulté du sujet. Après tout, contrairement aux arbres, les animaux courent, pour reprendre Aristote. Il faut donc considérer les écosystèmes forestiers comme des milieux complexes composés d'éléments fixes et mobiles dans lesquels l'homme a son mot à dire depuis longtemps.
Or, la chasse et le pâturage constituent deux relations privilégiées entre l'homme et l'animal. Ce livre en fait la démonstration pour les forêts de plaine de type tempéré du Nord de la France (l'actuelle région Nord-Pas-de-Calais), soit un ensemble de comtés, de villes, de villages, de seigneuries et de forêts que l'on suit du XIe au XVIe siècle. Selon Robert Delort, l'un des intérêts majeurs de cette étude est de démontrer, par des exemples précis et aisément généralisables que les activités humaines telles que l'élevage et la chasse entraînent, dans une mesure dont on méconnaissait l'ampleur, des modifications profondes du paysage forestier.
Or, la chasse et le pâturage constituent deux relations privilégiées entre l'homme et l'animal. Ce livre en fait la démonstration pour les forêts de plaine de type tempéré du Nord de la France (l'actuelle région Nord-Pas-de-Calais), soit un ensemble de comtés, de villes, de villages, de seigneuries et de forêts que l'on suit du XIe au XVIe siècle. Selon Robert Delort, l'un des intérêts majeurs de cette étude est de démontrer, par des exemples précis et aisément généralisables que les activités humaines telles que l'élevage et la chasse entraînent, dans une mesure dont on méconnaissait l'ampleur, des modifications profondes du paysage forestier.