Charles Péguy, témoin de l’Espérance pour le monde actuel. Réflexions sur Le Porche du mystère de la deuxième vertu
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- Nombre de pages210
- FormatePub
- ISBN978-2-336-52310-1
- EAN9782336523101
- Date de parution08/05/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Si l'Espérance se situe au cour même de la vie spirituelle de Charles Péguy, il n'en demeure pas moins que ses deux autres sours théologales s'y trouvent, comme emboîtées. Or, si ces dernières (Foi, Espérance et Charité) se suffisent à elles-mêmes, il nous a plu de les couronner par la Fraternité. Péguy parle aux hommes et femmes de notre temps, chrétiens ou non. Il est essentiellement notre contemporain.
Nous pouvons reconnaître en lui un frère chercheur de Dieu, dans le concret d'un monde en fracture. Ainsi sa poétique dramatique semble-t-elle se situer, dans un labour incessant du texte, à contre-courant de nos impératifs de vitesse mondaine et des impératifs de lectures rapides. L'esprit souffle par l'esthétique de la plume, pour mettre à jour la vérité du cour par la beauté d'un rythme bondissant de résurgence en résurgence.
Finalement, Péguy échapperait-il à toute récupération politique ou religieuse ? Chercherait-il à fonder une poétique du silence, relevant d'une manducation intime de la Parole, pour dire aux hommes et femmes de ce monde, de garder haut l'oriflamme de l'Espérance ? Le seul péché étant celui du désespoir auquel l'esprit du monde nous incline. Après le concile Vatican 2, il s'agit de témoigner, en ces temps chaotiques, de la force de cette « petite fille » si fragile.
Nous pouvons reconnaître en lui un frère chercheur de Dieu, dans le concret d'un monde en fracture. Ainsi sa poétique dramatique semble-t-elle se situer, dans un labour incessant du texte, à contre-courant de nos impératifs de vitesse mondaine et des impératifs de lectures rapides. L'esprit souffle par l'esthétique de la plume, pour mettre à jour la vérité du cour par la beauté d'un rythme bondissant de résurgence en résurgence.
Finalement, Péguy échapperait-il à toute récupération politique ou religieuse ? Chercherait-il à fonder une poétique du silence, relevant d'une manducation intime de la Parole, pour dire aux hommes et femmes de ce monde, de garder haut l'oriflamme de l'Espérance ? Le seul péché étant celui du désespoir auquel l'esprit du monde nous incline. Après le concile Vatican 2, il s'agit de témoigner, en ces temps chaotiques, de la force de cette « petite fille » si fragile.
Si l'Espérance se situe au cour même de la vie spirituelle de Charles Péguy, il n'en demeure pas moins que ses deux autres sours théologales s'y trouvent, comme emboîtées. Or, si ces dernières (Foi, Espérance et Charité) se suffisent à elles-mêmes, il nous a plu de les couronner par la Fraternité. Péguy parle aux hommes et femmes de notre temps, chrétiens ou non. Il est essentiellement notre contemporain.
Nous pouvons reconnaître en lui un frère chercheur de Dieu, dans le concret d'un monde en fracture. Ainsi sa poétique dramatique semble-t-elle se situer, dans un labour incessant du texte, à contre-courant de nos impératifs de vitesse mondaine et des impératifs de lectures rapides. L'esprit souffle par l'esthétique de la plume, pour mettre à jour la vérité du cour par la beauté d'un rythme bondissant de résurgence en résurgence.
Finalement, Péguy échapperait-il à toute récupération politique ou religieuse ? Chercherait-il à fonder une poétique du silence, relevant d'une manducation intime de la Parole, pour dire aux hommes et femmes de ce monde, de garder haut l'oriflamme de l'Espérance ? Le seul péché étant celui du désespoir auquel l'esprit du monde nous incline. Après le concile Vatican 2, il s'agit de témoigner, en ces temps chaotiques, de la force de cette « petite fille » si fragile.
Nous pouvons reconnaître en lui un frère chercheur de Dieu, dans le concret d'un monde en fracture. Ainsi sa poétique dramatique semble-t-elle se situer, dans un labour incessant du texte, à contre-courant de nos impératifs de vitesse mondaine et des impératifs de lectures rapides. L'esprit souffle par l'esthétique de la plume, pour mettre à jour la vérité du cour par la beauté d'un rythme bondissant de résurgence en résurgence.
Finalement, Péguy échapperait-il à toute récupération politique ou religieuse ? Chercherait-il à fonder une poétique du silence, relevant d'une manducation intime de la Parole, pour dire aux hommes et femmes de ce monde, de garder haut l'oriflamme de l'Espérance ? Le seul péché étant celui du désespoir auquel l'esprit du monde nous incline. Après le concile Vatican 2, il s'agit de témoigner, en ces temps chaotiques, de la force de cette « petite fille » si fragile.