Chanson bretonne suivi de L'enfant et la guerre. Deux contes

Par : Jean-Marie-Gustave Le Clézio

Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages160
  • FormatePub
  • ISBN978-2-07-289501-2
  • EAN9782072895012
  • Date de parution12/03/2020
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEditions Gallimard

Résumé

Ce livre évoque des souvenirs de séjours réguliers que Le Clézio a passés dans la ville de Sainte Marine, à l'embouchure du fleuve Odet, dans le Finistère, lors de son enfance entre 1948 et 1954. Bien que l'auteur se défende de respecter une chronologie, le texte poursuit néanmoins l'ordre de la mémoire, allant de l'enfance vers la maturité. Le lieu de Sainte Marine est placé sous le signe de la mère.
La Bretagne, et particulièrement le pays bigouden, que Simone Le Clézio aimait par dessus tout, ce pays où elle a reçu la demande en mariage de son père, ou elle a accouché de son frère et où elle est revenue se réfugier trois mois après la naissance de l'auteur à Nice, à cause de la seconde guerre mondiale. Au fil des chapitres, qui sont présentés comme des « chansons », le narrateur fait revivre une époque où Sainte Marine n'avait pas encore été arraisonnée par les boutiques, les carrefours giratoires, ni les bistrots en tout genre.
À travers ces « chansons », l'auteur propose un vrai récit sur son enfance en Bretagne, qui s'enrichit également d'une réflexion plus large sur les changements de la géographie bretonne. Malgré son dépit face à ces bouleversements, Le Clézio ne cultive pas le goût de la nostalgie, car pour l'auteur « la nostalgie n'est pas un sentiment honorable ». Son intention est plutôt de rendre compte de la magie ancienne dont il fut le témoin, par les mots empruntés à la langue bretonne et les motifs d'une nature magnifique.
Le texte est bercé par une douceur pastorale, qui fait vibrer les images des moissons en été, la chaleur des fêtes de nuit à Sainte Marine ou la beauté simple d'un verger en fleur - autant une ode à la campagne éternelle que la réminiscence de souvenirs intimes.
Ce livre évoque des souvenirs de séjours réguliers que Le Clézio a passés dans la ville de Sainte Marine, à l'embouchure du fleuve Odet, dans le Finistère, lors de son enfance entre 1948 et 1954. Bien que l'auteur se défende de respecter une chronologie, le texte poursuit néanmoins l'ordre de la mémoire, allant de l'enfance vers la maturité. Le lieu de Sainte Marine est placé sous le signe de la mère.
La Bretagne, et particulièrement le pays bigouden, que Simone Le Clézio aimait par dessus tout, ce pays où elle a reçu la demande en mariage de son père, ou elle a accouché de son frère et où elle est revenue se réfugier trois mois après la naissance de l'auteur à Nice, à cause de la seconde guerre mondiale. Au fil des chapitres, qui sont présentés comme des « chansons », le narrateur fait revivre une époque où Sainte Marine n'avait pas encore été arraisonnée par les boutiques, les carrefours giratoires, ni les bistrots en tout genre.
À travers ces « chansons », l'auteur propose un vrai récit sur son enfance en Bretagne, qui s'enrichit également d'une réflexion plus large sur les changements de la géographie bretonne. Malgré son dépit face à ces bouleversements, Le Clézio ne cultive pas le goût de la nostalgie, car pour l'auteur « la nostalgie n'est pas un sentiment honorable ». Son intention est plutôt de rendre compte de la magie ancienne dont il fut le témoin, par les mots empruntés à la langue bretonne et les motifs d'une nature magnifique.
Le texte est bercé par une douceur pastorale, qui fait vibrer les images des moissons en été, la chaleur des fêtes de nuit à Sainte Marine ou la beauté simple d'un verger en fleur - autant une ode à la campagne éternelle que la réminiscence de souvenirs intimes.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Armelle PDecitre Annecy
5/5
Un délicieux voyage dans l'enfance de l'auteur
De sa belle écriture, l'auteur nous entraine dans ses souvenirs d'enfance. De l'authenticité et de l'émotion dans l'évocation de la vie d'un enfant dans la "vraie" Bretagne qui n'était pas encore celle des touristes. Le second texte est un témoignage touchant d'une génération qui a vécu la guerre dès le plus jeune âge. Une leçon d'histoire pleine de charme .
De sa belle écriture, l'auteur nous entraine dans ses souvenirs d'enfance. De l'authenticité et de l'émotion dans l'évocation de la vie d'un enfant dans la "vraie" Bretagne qui n'était pas encore celle des touristes. Le second texte est un témoignage touchant d'une génération qui a vécu la guerre dès le plus jeune âge. Une leçon d'histoire pleine de charme .
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
J. M. G. Le Clézio est né à Nice le 13 avril 1940. Il est originaire d'une famille de Bretagne émigrée à l'île Maurice au XVIIe siècle. Il a poursuivi des études au collège littéraire universitaire de Nice et est docteur ès lettres. Malgré de nombreux voyages, J. M. G. Le Clézio n'a jamais cessé d'écrire depuis l'âge de sept ou huit ans : poèmes, contes, récits, nouvelles, dont aucun n'avait été publié avant "Le Procès-verbal", son premier roman paru en septembre 1963 et qui obtint le prix Renaudot. Influencée par ses origines familiales mêlées, par ses voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, son oeuvre compte une cinquantaine d'ouvrages. En 1980, il a reçu le grand prix Paul-Morand décerné par l'Académie française pour son roman "Désert". En 2008, l'Académie suédoise a attribué à J. M. G. Le Clézio le prix Nobel de littérature, célébrant "l'écrivain de la rupture, de l'aventure poétique et de l'extase sensuelle, l'explorateur d'une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante".
L'enfant du désert
Pierre Rabhi
E-book
6,99 €
L'Africain
2.5/5
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
Poche
6,20 €
L'Africain
2.5/5
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
E-book
5,99 €
L'Africain
2.5/5
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
Poche
8,00 €
Enfances d'ici et d'ailleurs
Annie Ernaux, Paula Jacques, Jean-Marie-Gustave Le Clézio, Henri Lopes
Poche
3,90 €
L'invention de Morel
4.3/5
Adolfo Bioy Casares
E-book
8,99 €
Etoile errante
4/5
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
Poche
9,50 €
Identité nomade
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
Grand Format
16,50 €
Identité nomade
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
E-book
11,99 €
Désert
4.5/5
3.6/5
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
Poche
10,00 €
Diego et Frida
3.6/5
Jean-Marie-Gustave Le Clézio
Poche
10,00 €