Ceux qui devraient demander pardon. La légende noire espagnole et l'hégémonie anglo-saxonne
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- Nombre de pages496
- FormatePub
- ISBN978-2-8100-1232-9
- EAN9782810012329
- Date de parution16/10/2024
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurL'artilleur
Résumé
Dans ce livre sans précédent, Marcelo Gullo Omodeo montre qu'au « tribunal de l'histoire » l'Espagne catholique a été l'objet de jugements partiaux et de faux témoignages. Pendant plus de quatre siècles, à l'initiative des puissances anglo-saxonnes, de très nombreux pays ont exigé que l'Espagne demande pardon pour de prétendus crimes commis lors de la conquête du Nouveau Monde. Plus tard et jusqu'à aujourd'hui, l'Espagne sera aussi accusée d'avoir brimé les droits des populations indigènes.
Démasquant ces mensonges « politiques », Marcelo Gullo rassemble ici les éléments qui ont permis à la recherche historique de savoir précisément ce qu'était l'Amérique avant l'arrivée des Espagnols : un enfer où régnaient les sacrifices humains, le cannibalisme, l'esclavage et la prostitution de masse. Il fait aussi la lumière sur les origines de l'indigénisme hispanophobe, montrant qu'il n'a été qu'une construction néocoloniale au profit de l'impérialisme anglo-saxon et des puissances financières.
Enfin, il rappelle à l'inverse la cruauté et les crimes génocidaires flagrants qui ont marqué les colonisations anglaises, américaines, hollandaises ou allemandes. Si l'Espagne n'a pas à demander pardon pour la conquête de l'Amérique car ce fut l'une des plus belles tentatives de faire prévaloir la justice et les valeurs chrétiennes à une époque sanguinaire, il est en revanche certain que nombre de pays anglo-saxons devraient ressentir bien davantage l'obligation de procéder à un sérieux examen de conscience nationale.
Historien et politologue argentin, spécialiste des relations internationales, auteur d'une dizaine de livres et de très nombreux articles, Marcelo Gullo Omodeo a enseigné pendant plusieurs décennies à l'École supérieure de guerre de Buenos Aires et dans diverses universités d'Argentine et du Pérou. Carmen Iglesias, qui préface cet ouvrage majeur, est directrice de l'Académie Royale d'Histoire d'Espagne.
Démasquant ces mensonges « politiques », Marcelo Gullo rassemble ici les éléments qui ont permis à la recherche historique de savoir précisément ce qu'était l'Amérique avant l'arrivée des Espagnols : un enfer où régnaient les sacrifices humains, le cannibalisme, l'esclavage et la prostitution de masse. Il fait aussi la lumière sur les origines de l'indigénisme hispanophobe, montrant qu'il n'a été qu'une construction néocoloniale au profit de l'impérialisme anglo-saxon et des puissances financières.
Enfin, il rappelle à l'inverse la cruauté et les crimes génocidaires flagrants qui ont marqué les colonisations anglaises, américaines, hollandaises ou allemandes. Si l'Espagne n'a pas à demander pardon pour la conquête de l'Amérique car ce fut l'une des plus belles tentatives de faire prévaloir la justice et les valeurs chrétiennes à une époque sanguinaire, il est en revanche certain que nombre de pays anglo-saxons devraient ressentir bien davantage l'obligation de procéder à un sérieux examen de conscience nationale.
Historien et politologue argentin, spécialiste des relations internationales, auteur d'une dizaine de livres et de très nombreux articles, Marcelo Gullo Omodeo a enseigné pendant plusieurs décennies à l'École supérieure de guerre de Buenos Aires et dans diverses universités d'Argentine et du Pérou. Carmen Iglesias, qui préface cet ouvrage majeur, est directrice de l'Académie Royale d'Histoire d'Espagne.
Dans ce livre sans précédent, Marcelo Gullo Omodeo montre qu'au « tribunal de l'histoire » l'Espagne catholique a été l'objet de jugements partiaux et de faux témoignages. Pendant plus de quatre siècles, à l'initiative des puissances anglo-saxonnes, de très nombreux pays ont exigé que l'Espagne demande pardon pour de prétendus crimes commis lors de la conquête du Nouveau Monde. Plus tard et jusqu'à aujourd'hui, l'Espagne sera aussi accusée d'avoir brimé les droits des populations indigènes.
Démasquant ces mensonges « politiques », Marcelo Gullo rassemble ici les éléments qui ont permis à la recherche historique de savoir précisément ce qu'était l'Amérique avant l'arrivée des Espagnols : un enfer où régnaient les sacrifices humains, le cannibalisme, l'esclavage et la prostitution de masse. Il fait aussi la lumière sur les origines de l'indigénisme hispanophobe, montrant qu'il n'a été qu'une construction néocoloniale au profit de l'impérialisme anglo-saxon et des puissances financières.
Enfin, il rappelle à l'inverse la cruauté et les crimes génocidaires flagrants qui ont marqué les colonisations anglaises, américaines, hollandaises ou allemandes. Si l'Espagne n'a pas à demander pardon pour la conquête de l'Amérique car ce fut l'une des plus belles tentatives de faire prévaloir la justice et les valeurs chrétiennes à une époque sanguinaire, il est en revanche certain que nombre de pays anglo-saxons devraient ressentir bien davantage l'obligation de procéder à un sérieux examen de conscience nationale.
Historien et politologue argentin, spécialiste des relations internationales, auteur d'une dizaine de livres et de très nombreux articles, Marcelo Gullo Omodeo a enseigné pendant plusieurs décennies à l'École supérieure de guerre de Buenos Aires et dans diverses universités d'Argentine et du Pérou. Carmen Iglesias, qui préface cet ouvrage majeur, est directrice de l'Académie Royale d'Histoire d'Espagne.
Démasquant ces mensonges « politiques », Marcelo Gullo rassemble ici les éléments qui ont permis à la recherche historique de savoir précisément ce qu'était l'Amérique avant l'arrivée des Espagnols : un enfer où régnaient les sacrifices humains, le cannibalisme, l'esclavage et la prostitution de masse. Il fait aussi la lumière sur les origines de l'indigénisme hispanophobe, montrant qu'il n'a été qu'une construction néocoloniale au profit de l'impérialisme anglo-saxon et des puissances financières.
Enfin, il rappelle à l'inverse la cruauté et les crimes génocidaires flagrants qui ont marqué les colonisations anglaises, américaines, hollandaises ou allemandes. Si l'Espagne n'a pas à demander pardon pour la conquête de l'Amérique car ce fut l'une des plus belles tentatives de faire prévaloir la justice et les valeurs chrétiennes à une époque sanguinaire, il est en revanche certain que nombre de pays anglo-saxons devraient ressentir bien davantage l'obligation de procéder à un sérieux examen de conscience nationale.
Historien et politologue argentin, spécialiste des relations internationales, auteur d'une dizaine de livres et de très nombreux articles, Marcelo Gullo Omodeo a enseigné pendant plusieurs décennies à l'École supérieure de guerre de Buenos Aires et dans diverses universités d'Argentine et du Pérou. Carmen Iglesias, qui préface cet ouvrage majeur, est directrice de l'Académie Royale d'Histoire d'Espagne.