Cette chose indispensable qui reste invisible et que je sais voir et entendre. Correspondance 1962 - 1988

Par : Anna Waisman, André Neher
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  • Nombre de pages256
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-84162-649-6
  • EAN9782841626496
  • Date de parution07/04/2023
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille13 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurL'Eclat
  • Directeur de publicationSibylle Blumenfeld
  • PréfacierCarine Brenner
  • PréfacierNelly Hansson

Résumé

« Ces merveilleuses lettres, cher André Neher, sont le symbole de toutes les fraternités à tous les stades et degrés de l'homme. Elles sont les clés de l'avenir du monde ; elles savent si bien synthétiser par la pureté, l'équilibre, l'harmonie, que le respect et la considération sont primordiaux pour la survie de l'espèce humaine. Me croirez-vous si je vous disais que nous nous parlons elles et moi un langage combien secret, exclusif, fait de subtilités, de complicité et d'amour ? » Farouchement autodidacte, Anna Waisman (1928-1995) a pris la sculpture à bras-le-corps à partir de la fin des années cinquante, pour composer, pendant plus de trente ans, les « lettres » personnelles d'un alphabet hébraïque, d'où elle a fait surgir les infinités de sens contenues dans ses formes, ses repliements, ses envolées.
À ces « objets abstraits » que sont les lettres hébraïques, « visibles et palpables » d'un côté, « expression d'une réalité spirituelle fondamentale » de l'autre, Anna Waisman confie toute son intelligence du judaïsme et sa foi intuitive et profonde. « J'ai découvert le judaïsme en sculptant les lettres hébraïques dans la pierre », écrit-elle. Et le dialogue qu'elle établit, à partir de 1962, avec André et Renée Neher, la conforte dans ses intuitions, la rattache à un judaïsme ouvert et recréé, la rassure dans le chemin qu'elle parcourt le long des vides et des pleins d'un alphabet qu'elle découvre et comprend en même temps qu'elle le sculpte.
À ce titre, ce livre est un document exceptionnel d'une amitié stellaire entre l'artiste Anna Waisman et l'homme de pensée, André Neher. Née à Strasbourg en 1928, Anna Waisman, ancienne danseuse étoile, se consacre à la scuplture à partir de 1958. Elle exposera à Paris, à New York et à Jérusalem. Elle disparaît en 1995 laissant plus d'un millier d'ouvres. André Neher (1914-1988) a marqué profondément les études juives en France, depuis Amos.
Contribution à l'étude du prophétisme (1950). Depuis sa disparition, son ouvre suscite un intérêt croissant.
« Ces merveilleuses lettres, cher André Neher, sont le symbole de toutes les fraternités à tous les stades et degrés de l'homme. Elles sont les clés de l'avenir du monde ; elles savent si bien synthétiser par la pureté, l'équilibre, l'harmonie, que le respect et la considération sont primordiaux pour la survie de l'espèce humaine. Me croirez-vous si je vous disais que nous nous parlons elles et moi un langage combien secret, exclusif, fait de subtilités, de complicité et d'amour ? » Farouchement autodidacte, Anna Waisman (1928-1995) a pris la sculpture à bras-le-corps à partir de la fin des années cinquante, pour composer, pendant plus de trente ans, les « lettres » personnelles d'un alphabet hébraïque, d'où elle a fait surgir les infinités de sens contenues dans ses formes, ses repliements, ses envolées.
À ces « objets abstraits » que sont les lettres hébraïques, « visibles et palpables » d'un côté, « expression d'une réalité spirituelle fondamentale » de l'autre, Anna Waisman confie toute son intelligence du judaïsme et sa foi intuitive et profonde. « J'ai découvert le judaïsme en sculptant les lettres hébraïques dans la pierre », écrit-elle. Et le dialogue qu'elle établit, à partir de 1962, avec André et Renée Neher, la conforte dans ses intuitions, la rattache à un judaïsme ouvert et recréé, la rassure dans le chemin qu'elle parcourt le long des vides et des pleins d'un alphabet qu'elle découvre et comprend en même temps qu'elle le sculpte.
À ce titre, ce livre est un document exceptionnel d'une amitié stellaire entre l'artiste Anna Waisman et l'homme de pensée, André Neher. Née à Strasbourg en 1928, Anna Waisman, ancienne danseuse étoile, se consacre à la scuplture à partir de 1958. Elle exposera à Paris, à New York et à Jérusalem. Elle disparaît en 1995 laissant plus d'un millier d'ouvres. André Neher (1914-1988) a marqué profondément les études juives en France, depuis Amos.
Contribution à l'étude du prophétisme (1950). Depuis sa disparition, son ouvre suscite un intérêt croissant.