Cette bouteille à la mer. L’Atelier des écritures

Par : Jean-claude Lauféron

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  • FormatePub
  • ISBN979-10-405-7929-8
  • EAN9791040579298
  • Date de parution12/05/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille256 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLibrinova

Résumé

Entrer en « L'atelier des écritures », c'est comme monter à bord d'un train dont on ignore la destination. Cet espace accueille diverses personnes avec tout leur bagage. Le train s'ébranle et le voyage commence. L'un des passagers, qui se veut écrivain, exprime son désarroi dans une lettre adressée à une mystérieuse inconnue. Il y manifeste vivement son exaspération vis-à-vis du monde qui l'entoure et son propos donne d'emblée un tour particulier à la rencontre.
Ce cri désespéré de l'écrivain retentit bien au-delà de l'espace confiné qui roule à grand train. À cet égard, le narrateur bienveillant fait appel à plusieurs témoins : Patrice avec sa bouteille à la mer, le docteur Bernard, Samuel Hahnemann et l'homéopathie, Chantal Akerman avec Jeanne Dielman, ainsi qu'Albert Camus avec Meursault. Pendant ce temps l'écrivain décompense, puis retrouve sa verve auprès du moine byzantin, se retourne vers sa chère inconnue et parle de C.
G. Jung, son nouvel ami, lequel montre la dualité qui hante le cour de l'homme et apporte des clés pour lever ses verrous. Puis vient l'heure du repos. L'atelier des écritures ferme sa porte pour apaiser les esprits et ses participants se séparent sur le quai d'une gare inconnue.
Entrer en « L'atelier des écritures », c'est comme monter à bord d'un train dont on ignore la destination. Cet espace accueille diverses personnes avec tout leur bagage. Le train s'ébranle et le voyage commence. L'un des passagers, qui se veut écrivain, exprime son désarroi dans une lettre adressée à une mystérieuse inconnue. Il y manifeste vivement son exaspération vis-à-vis du monde qui l'entoure et son propos donne d'emblée un tour particulier à la rencontre.
Ce cri désespéré de l'écrivain retentit bien au-delà de l'espace confiné qui roule à grand train. À cet égard, le narrateur bienveillant fait appel à plusieurs témoins : Patrice avec sa bouteille à la mer, le docteur Bernard, Samuel Hahnemann et l'homéopathie, Chantal Akerman avec Jeanne Dielman, ainsi qu'Albert Camus avec Meursault. Pendant ce temps l'écrivain décompense, puis retrouve sa verve auprès du moine byzantin, se retourne vers sa chère inconnue et parle de C.
G. Jung, son nouvel ami, lequel montre la dualité qui hante le cour de l'homme et apporte des clés pour lever ses verrous. Puis vient l'heure du repos. L'atelier des écritures ferme sa porte pour apaiser les esprits et ses participants se séparent sur le quai d'une gare inconnue.
Depuis une vingtaine d'années Jean-Claude Lauféron a participé à divers ateliers d'écriture.