Cette année, les pommes sont rouges. "C'était la drôle de guerre de mon grand-père"
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- Nombre de pages168
- FormatePub
- ISBN978-2-08-137348-8
- EAN9782081373488
- Date de parution14/10/2015
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Tout commence par un simple carnet de la taille d'un cahier d'écolier, aux lignes régulières, dont Laurent Gerra ne s'est jamais séparé et auquel il a toujours accordé la première place dans son coeur. Il s'agit du Journal de guerre de son grand-père, qui l'a écrit sous ses yeux, lorsqu'il était enfant. Avec quelques ratures ici ou là, le texte a été rédigé d'un seul jet, comme un récit qu'on porte en soi depuis trop longtemps.
Bien des années plus tard, l'humoriste décide de le faire connaître. D'autant que ces souvenirs témoignent de la « drôle de guerre » vécue par tant de Français à partir de l'été 1939. Et voilà que revivent sous nos yeux un autre temps, une autre époque et l'irréductible complicité entre un grand-père et son petit-fils. Car Laurent Gerra a grandi auprès de cet homme qui lui a raconté sa guerre, de la mobilisation à son entrée en résistance, mais aussi la vie, la nature qu'il aimait tant et, sans le savoir, lui a mis le pied à l'étrier en lui offrant un jour, son premier public.
Ce fut le déclic de la passion. Il n'avait pas 5 ans.
Bien des années plus tard, l'humoriste décide de le faire connaître. D'autant que ces souvenirs témoignent de la « drôle de guerre » vécue par tant de Français à partir de l'été 1939. Et voilà que revivent sous nos yeux un autre temps, une autre époque et l'irréductible complicité entre un grand-père et son petit-fils. Car Laurent Gerra a grandi auprès de cet homme qui lui a raconté sa guerre, de la mobilisation à son entrée en résistance, mais aussi la vie, la nature qu'il aimait tant et, sans le savoir, lui a mis le pied à l'étrier en lui offrant un jour, son premier public.
Ce fut le déclic de la passion. Il n'avait pas 5 ans.
Tout commence par un simple carnet de la taille d'un cahier d'écolier, aux lignes régulières, dont Laurent Gerra ne s'est jamais séparé et auquel il a toujours accordé la première place dans son coeur. Il s'agit du Journal de guerre de son grand-père, qui l'a écrit sous ses yeux, lorsqu'il était enfant. Avec quelques ratures ici ou là, le texte a été rédigé d'un seul jet, comme un récit qu'on porte en soi depuis trop longtemps.
Bien des années plus tard, l'humoriste décide de le faire connaître. D'autant que ces souvenirs témoignent de la « drôle de guerre » vécue par tant de Français à partir de l'été 1939. Et voilà que revivent sous nos yeux un autre temps, une autre époque et l'irréductible complicité entre un grand-père et son petit-fils. Car Laurent Gerra a grandi auprès de cet homme qui lui a raconté sa guerre, de la mobilisation à son entrée en résistance, mais aussi la vie, la nature qu'il aimait tant et, sans le savoir, lui a mis le pied à l'étrier en lui offrant un jour, son premier public.
Ce fut le déclic de la passion. Il n'avait pas 5 ans.
Bien des années plus tard, l'humoriste décide de le faire connaître. D'autant que ces souvenirs témoignent de la « drôle de guerre » vécue par tant de Français à partir de l'été 1939. Et voilà que revivent sous nos yeux un autre temps, une autre époque et l'irréductible complicité entre un grand-père et son petit-fils. Car Laurent Gerra a grandi auprès de cet homme qui lui a raconté sa guerre, de la mobilisation à son entrée en résistance, mais aussi la vie, la nature qu'il aimait tant et, sans le savoir, lui a mis le pied à l'étrier en lui offrant un jour, son premier public.
Ce fut le déclic de la passion. Il n'avait pas 5 ans.