Ces assassins qui ont voulu changer l'histoire
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- Nombre de pages358
- FormatePub
- ISBN2-259-24035-6
- EAN9782259240352
- Date de parution31/12/1998
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPlon (réédition numérique FeniXX...
Résumé
Le pouvoir procure la plus suave, la plus pernicieuse des dépendances. Il peut même obnubiler l'esprit, agissant alors en poison chez les potentats installés aux commandes. Parfois, il favorise aussi des comportements aberrants chez ceux qui rêvent de les abattre, afin de prendre leur place. Les meurtres de ce genre ont escorté tous les âges dans le monde, notamment en France. Ils ont, en particulier, profondément marqué les temps modernes.
De 1800 à nos jours, pas un règne, pas un régime politique sans ses drames de sang. La chronique a, le plus souvent, attribué ces actes à des isolés, qualifiés d'hallucinés. Au vrai, chacun des attentats analysés dans cet ouvrage, a résulté d'une intrigue, qui a masqué une affaire d'État, qui a pesé sur l'histoire. Les crimes politiques comportent tous, et toujours, une part de mystère. Parce qu'ils sont essentiellement commis par procuration.
Par des assassins, presque tous atteints du syndrome Ravaillac, qui les prédispose à une manipulation aisée. Cette douzaine de dossiers, d'énigmes encore urticantes, le démontre. Dire le secret des faits s'imposait.
De 1800 à nos jours, pas un règne, pas un régime politique sans ses drames de sang. La chronique a, le plus souvent, attribué ces actes à des isolés, qualifiés d'hallucinés. Au vrai, chacun des attentats analysés dans cet ouvrage, a résulté d'une intrigue, qui a masqué une affaire d'État, qui a pesé sur l'histoire. Les crimes politiques comportent tous, et toujours, une part de mystère. Parce qu'ils sont essentiellement commis par procuration.
Par des assassins, presque tous atteints du syndrome Ravaillac, qui les prédispose à une manipulation aisée. Cette douzaine de dossiers, d'énigmes encore urticantes, le démontre. Dire le secret des faits s'imposait.
Le pouvoir procure la plus suave, la plus pernicieuse des dépendances. Il peut même obnubiler l'esprit, agissant alors en poison chez les potentats installés aux commandes. Parfois, il favorise aussi des comportements aberrants chez ceux qui rêvent de les abattre, afin de prendre leur place. Les meurtres de ce genre ont escorté tous les âges dans le monde, notamment en France. Ils ont, en particulier, profondément marqué les temps modernes.
De 1800 à nos jours, pas un règne, pas un régime politique sans ses drames de sang. La chronique a, le plus souvent, attribué ces actes à des isolés, qualifiés d'hallucinés. Au vrai, chacun des attentats analysés dans cet ouvrage, a résulté d'une intrigue, qui a masqué une affaire d'État, qui a pesé sur l'histoire. Les crimes politiques comportent tous, et toujours, une part de mystère. Parce qu'ils sont essentiellement commis par procuration.
Par des assassins, presque tous atteints du syndrome Ravaillac, qui les prédispose à une manipulation aisée. Cette douzaine de dossiers, d'énigmes encore urticantes, le démontre. Dire le secret des faits s'imposait.
De 1800 à nos jours, pas un règne, pas un régime politique sans ses drames de sang. La chronique a, le plus souvent, attribué ces actes à des isolés, qualifiés d'hallucinés. Au vrai, chacun des attentats analysés dans cet ouvrage, a résulté d'une intrigue, qui a masqué une affaire d'État, qui a pesé sur l'histoire. Les crimes politiques comportent tous, et toujours, une part de mystère. Parce qu'ils sont essentiellement commis par procuration.
Par des assassins, presque tous atteints du syndrome Ravaillac, qui les prédispose à une manipulation aisée. Cette douzaine de dossiers, d'énigmes encore urticantes, le démontre. Dire le secret des faits s'imposait.