Ceci n'est pas une tragédie. L'écriture de David Markson
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- Nombre de pages304
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-84788-418-0
- EAN9782847884180
- Date de parution30/01/2014
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurENS Éditions
Résumé
Première monographie consacrée à cet écrivain américain particulièrement novateur, Ceci n'est pas une tragédie présente l'ensemble de son ouvre, de 1956 à 2007. David Markson renouvelle la forme romanesque pour dire quelque chose de notre époque, de la fragmentation de sa culture, de son questionnement, de ses triomphes et de ses échecs. Depuis son roman parodique du Far West et les romans policiers des années 1960, ou encore ses expériences avec l'écriture sous contrainte dans les années 1970, jusqu'aux récits les plus récents, dont La Maîtresse de Wittgenstein et Arrêter d'écrire, Markson joue avec la forme romanesque, qu'il parodie, fragmente et redéfinit.
Proche de la monodie de la tragédie grecque, mais sans la cohérence d'un cosmos balisé, sa voix narrative dresse un pacte autobiographique particulier, dépassant l'individu, dans le monde incertain d'après la Shoah. Entre l'hyper-roman à la manière d'Italo Calvino et le murmure beckettien d'une voix proche du silence, Markson trouve une expression singulière, troublante, intime : celle de nos aspirations et de nos doutes.
Proche de la monodie de la tragédie grecque, mais sans la cohérence d'un cosmos balisé, sa voix narrative dresse un pacte autobiographique particulier, dépassant l'individu, dans le monde incertain d'après la Shoah. Entre l'hyper-roman à la manière d'Italo Calvino et le murmure beckettien d'une voix proche du silence, Markson trouve une expression singulière, troublante, intime : celle de nos aspirations et de nos doutes.
Première monographie consacrée à cet écrivain américain particulièrement novateur, Ceci n'est pas une tragédie présente l'ensemble de son ouvre, de 1956 à 2007. David Markson renouvelle la forme romanesque pour dire quelque chose de notre époque, de la fragmentation de sa culture, de son questionnement, de ses triomphes et de ses échecs. Depuis son roman parodique du Far West et les romans policiers des années 1960, ou encore ses expériences avec l'écriture sous contrainte dans les années 1970, jusqu'aux récits les plus récents, dont La Maîtresse de Wittgenstein et Arrêter d'écrire, Markson joue avec la forme romanesque, qu'il parodie, fragmente et redéfinit.
Proche de la monodie de la tragédie grecque, mais sans la cohérence d'un cosmos balisé, sa voix narrative dresse un pacte autobiographique particulier, dépassant l'individu, dans le monde incertain d'après la Shoah. Entre l'hyper-roman à la manière d'Italo Calvino et le murmure beckettien d'une voix proche du silence, Markson trouve une expression singulière, troublante, intime : celle de nos aspirations et de nos doutes.
Proche de la monodie de la tragédie grecque, mais sans la cohérence d'un cosmos balisé, sa voix narrative dresse un pacte autobiographique particulier, dépassant l'individu, dans le monde incertain d'après la Shoah. Entre l'hyper-roman à la manière d'Italo Calvino et le murmure beckettien d'une voix proche du silence, Markson trouve une expression singulière, troublante, intime : celle de nos aspirations et de nos doutes.