Ceci n'est pas une dictature
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- Nombre de pages200
- FormatePub
- ISBN978-2-7555-0469-9
- EAN9782755504699
- Date de parution21/09/2011
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille225 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
Dans quel régime vivons-nous ? Depuis l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne et la réforme constitutionnelle en 2007, les Français savent que leurs dirigeants se sont assis sur leur volonté. Ils ont dit Non au TCE en 2005, mais leurs députés ont voté à 96 % Oui au traité de Lisbonne. Le Parlement n'est même plus une chambre d'enregistrement, vidé qu'il est de ses prérogatives par les structures européennes qui décident des règles et des lois.
Il n'exerce plus le rôle qui lui est conféré théoriquement par les électeurs. Le système des partis sans Parlement, en quelque sorte ! Grâce aux sondages, on tente de fabriquer la pensée de citoyens déboussolés ; on perfectionne les méthodes pour leur laisser croire que leurs opinions sont celles de la classe dirigeante. Le mépris de celle-ci à l'égard du peuple est d'autant plus violent qu'il est assis sur la certitude de détenir la vérité.
La crise économique, révélatrice des fautes incroyables des banques, aurait pu permettre une remise à plat des institutions. Au contraire, on accélère les « réformes » dans le même sens. Non, ceci n'est pas une dictature. Parler de marche vers la dictature est exagéré, ou inapproprié, car il n'y a pas de dictateur, mais comment qualifier autrement l'évolution actuelle
Il n'exerce plus le rôle qui lui est conféré théoriquement par les électeurs. Le système des partis sans Parlement, en quelque sorte ! Grâce aux sondages, on tente de fabriquer la pensée de citoyens déboussolés ; on perfectionne les méthodes pour leur laisser croire que leurs opinions sont celles de la classe dirigeante. Le mépris de celle-ci à l'égard du peuple est d'autant plus violent qu'il est assis sur la certitude de détenir la vérité.
La crise économique, révélatrice des fautes incroyables des banques, aurait pu permettre une remise à plat des institutions. Au contraire, on accélère les « réformes » dans le même sens. Non, ceci n'est pas une dictature. Parler de marche vers la dictature est exagéré, ou inapproprié, car il n'y a pas de dictateur, mais comment qualifier autrement l'évolution actuelle
Dans quel régime vivons-nous ? Depuis l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne et la réforme constitutionnelle en 2007, les Français savent que leurs dirigeants se sont assis sur leur volonté. Ils ont dit Non au TCE en 2005, mais leurs députés ont voté à 96 % Oui au traité de Lisbonne. Le Parlement n'est même plus une chambre d'enregistrement, vidé qu'il est de ses prérogatives par les structures européennes qui décident des règles et des lois.
Il n'exerce plus le rôle qui lui est conféré théoriquement par les électeurs. Le système des partis sans Parlement, en quelque sorte ! Grâce aux sondages, on tente de fabriquer la pensée de citoyens déboussolés ; on perfectionne les méthodes pour leur laisser croire que leurs opinions sont celles de la classe dirigeante. Le mépris de celle-ci à l'égard du peuple est d'autant plus violent qu'il est assis sur la certitude de détenir la vérité.
La crise économique, révélatrice des fautes incroyables des banques, aurait pu permettre une remise à plat des institutions. Au contraire, on accélère les « réformes » dans le même sens. Non, ceci n'est pas une dictature. Parler de marche vers la dictature est exagéré, ou inapproprié, car il n'y a pas de dictateur, mais comment qualifier autrement l'évolution actuelle
Il n'exerce plus le rôle qui lui est conféré théoriquement par les électeurs. Le système des partis sans Parlement, en quelque sorte ! Grâce aux sondages, on tente de fabriquer la pensée de citoyens déboussolés ; on perfectionne les méthodes pour leur laisser croire que leurs opinions sont celles de la classe dirigeante. Le mépris de celle-ci à l'égard du peuple est d'autant plus violent qu'il est assis sur la certitude de détenir la vérité.
La crise économique, révélatrice des fautes incroyables des banques, aurait pu permettre une remise à plat des institutions. Au contraire, on accélère les « réformes » dans le même sens. Non, ceci n'est pas une dictature. Parler de marche vers la dictature est exagéré, ou inapproprié, car il n'y a pas de dictateur, mais comment qualifier autrement l'évolution actuelle