Ce que le poète dit au philosophe. Yves Bonnefoy, la pensée du poème
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- Nombre de pages86
- FormatePub
- ISBN978-2-84398-544-7
- EAN9782843985447
- Date de parution02/05/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions Apogée
Résumé
Au livre X de La République, Platon dénonce l'incapacité de la poésie à dire la vérité et chasse les poètes de sa République idéale. Depuis cet exil inaugural, ce refoulement originaire, le rapport conflictuel de la philosophie à la poésie n'a cessé de travailler l'histoire de la pensée occidentale.
Yves Bonnefoy - auteur d'une oeuvre magistrale - s'est appuyé sur son écriture poétique pour interroger cette relation.
Il intitule son premier recueil : Anti-Platon. Mais c'est au dialogue des écritures pourtant que toute son oeuvre ne cesse d'inviter. Que dit alors le poète au philosophe ? À quelles conditions la pensée philosophique peut-elle se saisir de la parole poétique, c'est-à-dire en comprendre la contingence et l'éphémère, en percevoir la force et la blessure ?
Il intitule son premier recueil : Anti-Platon. Mais c'est au dialogue des écritures pourtant que toute son oeuvre ne cesse d'inviter. Que dit alors le poète au philosophe ? À quelles conditions la pensée philosophique peut-elle se saisir de la parole poétique, c'est-à-dire en comprendre la contingence et l'éphémère, en percevoir la force et la blessure ?
Au livre X de La République, Platon dénonce l'incapacité de la poésie à dire la vérité et chasse les poètes de sa République idéale. Depuis cet exil inaugural, ce refoulement originaire, le rapport conflictuel de la philosophie à la poésie n'a cessé de travailler l'histoire de la pensée occidentale.
Yves Bonnefoy - auteur d'une oeuvre magistrale - s'est appuyé sur son écriture poétique pour interroger cette relation.
Il intitule son premier recueil : Anti-Platon. Mais c'est au dialogue des écritures pourtant que toute son oeuvre ne cesse d'inviter. Que dit alors le poète au philosophe ? À quelles conditions la pensée philosophique peut-elle se saisir de la parole poétique, c'est-à-dire en comprendre la contingence et l'éphémère, en percevoir la force et la blessure ?
Il intitule son premier recueil : Anti-Platon. Mais c'est au dialogue des écritures pourtant que toute son oeuvre ne cesse d'inviter. Que dit alors le poète au philosophe ? À quelles conditions la pensée philosophique peut-elle se saisir de la parole poétique, c'est-à-dire en comprendre la contingence et l'éphémère, en percevoir la force et la blessure ?
