Ce que la légende nous apprend de l'Histoire. Le Minotaure, la guerre de Troie, Romulus et Rémus... Grammaire de la légende
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages336
- FormatePub
- ISBN978-2-251-92116-7
- EAN9782251921167
- Date de parution07/05/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
Résumé
La légende, corrompue par le mythe ou l'idéologie, ne saurait être tenue pour un document historique, selon un postulat « hypercritique ». Ce livre, à travers huit épisodes bien connus - la guerre de Troie, le Minotaure, les travaux d'Héraclès, Énée en Italie, Romulus et Rémus, l'enlèvement des Sabines, le viol de Lucrèce et les oies du Capitole - cherche au contraire à en réhabiliter la valeur historique.
Il convoque dans l'analyse une archéologie qui n'a que trop peu bousculé le paradigme hypercritique malgré ses avancées spectaculaires, mais aussi l'épigraphie, l'ethnologie ou encore l'anthropologie. L'ouvrage cherche à décoder la trame de la légende et à en extraire l'inaltérable et précieux radical historique, constituant en cela une grammaire de la légende à l'usage de l'historien. Car si la légende est avant tout, au-delà des intentions qui la dévoient et des mythèmes qui l'habillent, un récit historique, il n'est pas une bonne méthode pour l'historien d'aujourd'hui de produire, comme on le voit de plus en plus souvent une histoire tournant complètement voire intentionnellement le dos à la légende.
En disséquant ces huit légendes à l'aide des outils les plus divers et les plus aiguisés de la science, l'auteur nous plonge dans une relecture originale et surprenante du passé où l'on peut enfin librement et loin des contraintes académiques, mais toujours en pleine application de la méthode scientifique, concevoir, entre autres, que la guerre de Troie eut vraiment lieu ou qu'il y eut bien un moment fondateur sur la colline du Palatin à Rome, en un âge romuléen.
Il convoque dans l'analyse une archéologie qui n'a que trop peu bousculé le paradigme hypercritique malgré ses avancées spectaculaires, mais aussi l'épigraphie, l'ethnologie ou encore l'anthropologie. L'ouvrage cherche à décoder la trame de la légende et à en extraire l'inaltérable et précieux radical historique, constituant en cela une grammaire de la légende à l'usage de l'historien. Car si la légende est avant tout, au-delà des intentions qui la dévoient et des mythèmes qui l'habillent, un récit historique, il n'est pas une bonne méthode pour l'historien d'aujourd'hui de produire, comme on le voit de plus en plus souvent une histoire tournant complètement voire intentionnellement le dos à la légende.
En disséquant ces huit légendes à l'aide des outils les plus divers et les plus aiguisés de la science, l'auteur nous plonge dans une relecture originale et surprenante du passé où l'on peut enfin librement et loin des contraintes académiques, mais toujours en pleine application de la méthode scientifique, concevoir, entre autres, que la guerre de Troie eut vraiment lieu ou qu'il y eut bien un moment fondateur sur la colline du Palatin à Rome, en un âge romuléen.
La légende, corrompue par le mythe ou l'idéologie, ne saurait être tenue pour un document historique, selon un postulat « hypercritique ». Ce livre, à travers huit épisodes bien connus - la guerre de Troie, le Minotaure, les travaux d'Héraclès, Énée en Italie, Romulus et Rémus, l'enlèvement des Sabines, le viol de Lucrèce et les oies du Capitole - cherche au contraire à en réhabiliter la valeur historique.
Il convoque dans l'analyse une archéologie qui n'a que trop peu bousculé le paradigme hypercritique malgré ses avancées spectaculaires, mais aussi l'épigraphie, l'ethnologie ou encore l'anthropologie. L'ouvrage cherche à décoder la trame de la légende et à en extraire l'inaltérable et précieux radical historique, constituant en cela une grammaire de la légende à l'usage de l'historien. Car si la légende est avant tout, au-delà des intentions qui la dévoient et des mythèmes qui l'habillent, un récit historique, il n'est pas une bonne méthode pour l'historien d'aujourd'hui de produire, comme on le voit de plus en plus souvent une histoire tournant complètement voire intentionnellement le dos à la légende.
En disséquant ces huit légendes à l'aide des outils les plus divers et les plus aiguisés de la science, l'auteur nous plonge dans une relecture originale et surprenante du passé où l'on peut enfin librement et loin des contraintes académiques, mais toujours en pleine application de la méthode scientifique, concevoir, entre autres, que la guerre de Troie eut vraiment lieu ou qu'il y eut bien un moment fondateur sur la colline du Palatin à Rome, en un âge romuléen.
Il convoque dans l'analyse une archéologie qui n'a que trop peu bousculé le paradigme hypercritique malgré ses avancées spectaculaires, mais aussi l'épigraphie, l'ethnologie ou encore l'anthropologie. L'ouvrage cherche à décoder la trame de la légende et à en extraire l'inaltérable et précieux radical historique, constituant en cela une grammaire de la légende à l'usage de l'historien. Car si la légende est avant tout, au-delà des intentions qui la dévoient et des mythèmes qui l'habillent, un récit historique, il n'est pas une bonne méthode pour l'historien d'aujourd'hui de produire, comme on le voit de plus en plus souvent une histoire tournant complètement voire intentionnellement le dos à la légende.
En disséquant ces huit légendes à l'aide des outils les plus divers et les plus aiguisés de la science, l'auteur nous plonge dans une relecture originale et surprenante du passé où l'on peut enfin librement et loin des contraintes académiques, mais toujours en pleine application de la méthode scientifique, concevoir, entre autres, que la guerre de Troie eut vraiment lieu ou qu'il y eut bien un moment fondateur sur la colline du Palatin à Rome, en un âge romuléen.